Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Ouest France
par Thierry Chèze
Carmen Jaquier signe ici un récit initiatique d'une sensualité envoûtante autour de la découverte du désir.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper Hadjian
Si Foudre est empreint d’érotisme, Carmen Jaquier se tient loin du cliché de la jeune prude qui se dévergonde. Elle dépeint avec une précision pudique la découverte qu’une simple caresse peut piquer (étonnante scène sensuelle avec des orties), suspendre une histoire ou la détourner de son cours.
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
La beauté se tient d’ailleurs dans une caméra qui caresse longuement – souvent en plan-séquence – les corps comme la végétation dans ce qu’ils ont de plus éphémère et irremplaçable. Elle s’accorde au sensible. Le parti pris esthétique révèle la matière, les vibrations, les couleurs, à mesure que le désir circule et donne à sentir et ressentir la plénitude même de l’amour.
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Catholique, mais hédoniste, le premier long métrage de C. Jaquier repose sur l’exploration visuelle de la sensualité plus que sur son scénario. Derrière l’apparente austérité du thème religieux, Foudre invite à sentir la caresse du vent et à jouir sans entrave.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Le film-révélation de Carmen Jaquier frappe droit au cœur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett et Garance Fragne
Si ces thèmes nous sont familiers, la belle vigueur de la mise en scène – avec ses plans bucoliques semblant chacun renfermer une énigme –, et sa captation du désir féminin font de Carmen Jaquier une digne héritière du cinéma de Jane Campion.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Première
par Lucie Chiquer
Dans une danse endiablée, la réalisatrice Carmen Jaquier tournoie autour de son actrice (Lilith Grasmug, d’une expressivité rare) et nous livre un coming of age onirique dont il est impossible de détourner les yeux. Saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Séverine Danflous
Un premier film d’une beauté incandescente.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
aVoir-aLire.com
par Anaëlle Paccard
Un film intense, à l’esthétique crépusculaire, qui retrace le parcours d’une émancipation féminine et féministe par le territoire, celui du corps et des paysages qui sont intimement liés par une mise en scène d’une sensualité poétique et fascinante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Marianne
par Olivier De Bruyn
Cette histoire d'émancipation témoigne du talent formel de la cinéaste, mais peut laisser de marbre avec ses insistances et son esprit de sérieux imperturbable.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé Loisirs
par C.B.
Pas totalement abouti, mais ambitieux et envoûtant, le film utilise très bien les magnifiques paysages montagnards.
Télérama
par Cécile Mury
Foudre nous fait oublier ses menues fragilités (quelques longueurs, une voix off très récitée, et parfois maladroite) pour nous frapper au cœur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Jean-Loup Bourget
Le recours trop évident à des préoccupations et à des musiques anachroniques déçoit le spectateur qui s’intéresse au parcours d’Élisabeth (remarquable Lilith Grasmug) et qui admire la qualité visuelle du film.
Ouest France
Carmen Jaquier signe ici un récit initiatique d'une sensualité envoûtante autour de la découverte du désir.
Cahiers du Cinéma
Si Foudre est empreint d’érotisme, Carmen Jaquier se tient loin du cliché de la jeune prude qui se dévergonde. Elle dépeint avec une précision pudique la découverte qu’une simple caresse peut piquer (étonnante scène sensuelle avec des orties), suspendre une histoire ou la détourner de son cours.
La Septième Obsession
La beauté se tient d’ailleurs dans une caméra qui caresse longuement – souvent en plan-séquence – les corps comme la végétation dans ce qu’ils ont de plus éphémère et irremplaçable. Elle s’accorde au sensible. Le parti pris esthétique révèle la matière, les vibrations, les couleurs, à mesure que le désir circule et donne à sentir et ressentir la plénitude même de l’amour.
Les Fiches du Cinéma
Catholique, mais hédoniste, le premier long métrage de C. Jaquier repose sur l’exploration visuelle de la sensualité plus que sur son scénario. Derrière l’apparente austérité du thème religieux, Foudre invite à sentir la caresse du vent et à jouir sans entrave.
Les Inrockuptibles
Le film-révélation de Carmen Jaquier frappe droit au cœur.
Marie Claire
Si ces thèmes nous sont familiers, la belle vigueur de la mise en scène – avec ses plans bucoliques semblant chacun renfermer une énigme –, et sa captation du désir féminin font de Carmen Jaquier une digne héritière du cinéma de Jane Campion.
Première
Dans une danse endiablée, la réalisatrice Carmen Jaquier tournoie autour de son actrice (Lilith Grasmug, d’une expressivité rare) et nous livre un coming of age onirique dont il est impossible de détourner les yeux. Saisissant.
Transfuge
Un premier film d’une beauté incandescente.
aVoir-aLire.com
Un film intense, à l’esthétique crépusculaire, qui retrace le parcours d’une émancipation féminine et féministe par le territoire, celui du corps et des paysages qui sont intimement liés par une mise en scène d’une sensualité poétique et fascinante.
Marianne
Cette histoire d'émancipation témoigne du talent formel de la cinéaste, mais peut laisser de marbre avec ses insistances et son esprit de sérieux imperturbable.
Télé Loisirs
Pas totalement abouti, mais ambitieux et envoûtant, le film utilise très bien les magnifiques paysages montagnards.
Télérama
Foudre nous fait oublier ses menues fragilités (quelques longueurs, une voix off très récitée, et parfois maladroite) pour nous frapper au cœur.
Positif
Le recours trop évident à des préoccupations et à des musiques anachroniques déçoit le spectateur qui s’intéresse au parcours d’Élisabeth (remarquable Lilith Grasmug) et qui admire la qualité visuelle du film.