Mizrahim, les oubliés de la Terre Promise : Critique presse
Mizrahim, les oubliés de la Terre Promise
Note moyenne
3,7
14 titres de presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Humanité
L'Obs
La Croix
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Positif
Télérama
Cahiers du Cinéma
Les Inrockuptibles
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Fille de Mizrahim, Michale Boganim raconte, sans colère, le combat de ces citoyens de seconde zone d’Israël. Elle leur rend justice. Elle leur redonne leur juste place. Un travail de mémoire poignant.
L'Humanité
par Romane Draperi
Plus que de simples transitions entre divers tableaux, les chants marocains juifs sont le fil rouge du film. Entre villes parcourues, enfants d’immigrés interviewés et souvenirs personnels confiés, Michale Boganim éclaire les fantômes du passé qui planent sur une Terre promise en proie à la désillusion.
L'Obs
par François Forestier
Quelque part entre l’introspection et l’enquête, le film examine le racisme larvé et pose la question : pourquoi la Terre promise n’était pas promise à tous ? L’émotion est palpable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Damien Fabre
C’est cette histoire que nous raconte la réalisatrice Michale Boganim dans son très beau documentaire. Il n’est pourtant pas question d’une description historique ou d’une analyse sociologique, mais bel et bien d’une histoire sensible d’exploration mémorielle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un travail de mémoire poignant.
Le Figaro
par B. P.
La Terre promise s'est transformée en désillusion. La réalisatrice Michale Boganim, dans ce beau documentaire, donne la parole à des Mizrahim, ou juifs orientaux, qui se souviennent des discriminations subies dans les années 1950, à leur arrivée en Israël.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un passionnant documentaire qui fait le récit d’un racisme structurel dont la violence se mesure à travers des témoignages révoltants.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un beau documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une enquête inouïe et édifiante sur l’ostracisme dont furent victimes, dès leur arrivée en Israël, les Mizrahim, juifs de culture arabe, auxquels appartient Michale Boganim dont le père fut militant des Panthères noires qui luttèrent pour leurs droits.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Ophir Levy
Avec ses entretiens filmés dans un mouvement continu, comme si la caméra n’obéissait qu’à son rythme intrinsèque, Mizrahim, les oubliés de la Terre promise traduit une forme de non-coïncidence à soi-même éprouvée par ceux qui, dans leur propre pays, se sentent en perpétuel exil.
Télérama
par François Ekchajzer
Ce road-movie documentaire nous conduit d’une ville à l’autre, de rencontre en rencontre, et éclaire l’histoire de ces injustices persistantes, dans un Israël méconnu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Élisabeth Lequeret
Devant la caméra, plusieurs générations racontent comment, l’accès aux études et aux universités leur étant barré, elles restèrent en bas de l’échelle, fournissant à leur corps défendant les bras nécessaires à la construction de la nouvelle nation.
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Encore groggy, le récit semble émerger après un long évanouissement et tente de se redresser dans un lent mouvement de récupération, de réactiver une histoire mal préservée et donc extrêmement précieuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Le résultat ne manque pas d’intérêt mais pâtit tout à la fois d’une absence de travail sur sa forme et ici et là de trous d’air dans la pédagogie pour convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
Fille de Mizrahim, Michale Boganim raconte, sans colère, le combat de ces citoyens de seconde zone d’Israël. Elle leur rend justice. Elle leur redonne leur juste place. Un travail de mémoire poignant.
L'Humanité
Plus que de simples transitions entre divers tableaux, les chants marocains juifs sont le fil rouge du film. Entre villes parcourues, enfants d’immigrés interviewés et souvenirs personnels confiés, Michale Boganim éclaire les fantômes du passé qui planent sur une Terre promise en proie à la désillusion.
L'Obs
Quelque part entre l’introspection et l’enquête, le film examine le racisme larvé et pose la question : pourquoi la Terre promise n’était pas promise à tous ? L’émotion est palpable.
La Croix
C’est cette histoire que nous raconte la réalisatrice Michale Boganim dans son très beau documentaire. Il n’est pourtant pas question d’une description historique ou d’une analyse sociologique, mais bel et bien d’une histoire sensible d’exploration mémorielle.
Le Dauphiné Libéré
Un travail de mémoire poignant.
Le Figaro
La Terre promise s'est transformée en désillusion. La réalisatrice Michale Boganim, dans ce beau documentaire, donne la parole à des Mizrahim, ou juifs orientaux, qui se souviennent des discriminations subies dans les années 1950, à leur arrivée en Israël.
Le Journal du Dimanche
Un passionnant documentaire qui fait le récit d’un racisme structurel dont la violence se mesure à travers des témoignages révoltants.
Le Monde
Un beau documentaire.
Les Fiches du Cinéma
Une enquête inouïe et édifiante sur l’ostracisme dont furent victimes, dès leur arrivée en Israël, les Mizrahim, juifs de culture arabe, auxquels appartient Michale Boganim dont le père fut militant des Panthères noires qui luttèrent pour leurs droits.
Positif
Avec ses entretiens filmés dans un mouvement continu, comme si la caméra n’obéissait qu’à son rythme intrinsèque, Mizrahim, les oubliés de la Terre promise traduit une forme de non-coïncidence à soi-même éprouvée par ceux qui, dans leur propre pays, se sentent en perpétuel exil.
Télérama
Ce road-movie documentaire nous conduit d’une ville à l’autre, de rencontre en rencontre, et éclaire l’histoire de ces injustices persistantes, dans un Israël méconnu.
Cahiers du Cinéma
Devant la caméra, plusieurs générations racontent comment, l’accès aux études et aux universités leur étant barré, elles restèrent en bas de l’échelle, fournissant à leur corps défendant les bras nécessaires à la construction de la nouvelle nation.
Les Inrockuptibles
Encore groggy, le récit semble émerger après un long évanouissement et tente de se redresser dans un lent mouvement de récupération, de réactiver une histoire mal préservée et donc extrêmement précieuse.
Première
Le résultat ne manque pas d’intérêt mais pâtit tout à la fois d’une absence de travail sur sa forme et ici et là de trous d’air dans la pédagogie pour convaincre.