J’ai été voir ce film au ciné étant un grand fan de film de ce genre je savais pas à quoi m’attendre avec ce film
Et puis j’avais un peu peur étant un film français car j’en garde de mauvais souvenirs de ces derniers
Au final j’ai adoré le film l’histoire est très originale je trouve et puis même le film nous fait penser par plusieurs avis on ne sait plus où se positionner réellement avec un plot twist à la fin qui m’a personnellement surpris mais que j’ai adoré seul petit défaut sa durée trop court je trouve
Félicitations pour ce superbe film ! 🎥 C’est vraiment une œuvre marquante, du début à la fin, on est captivés. La qualité de la production, la mise en scène et le jeu des acteurs sont exceptionnels. C’est un véritable bijou cinématographique, et ça se voit que le producteur a mis tout son savoir-faire et sa passion dans ce projet. Bravo à toute l’équipe pour cette réalisation, et une force particulière au producteur pour cette réussite incroyable ! 👌🏽
Ce film est une réelle claque ! Abel Danan a su nous plonger dans une atmosphère angoissante avec Yara (Lina El Arabi) confinée chez elle, vivant des moments terrifiants. Nous n’arrivons pas à savoir si c’est dans sa tête ou si le surnaturel s’en mêle. Ce huis clos oppressant et l’ambiance suffocante sont tellement bien réalisés qu’on se sent aussi piégé que Yara. Un grand bravo à Lina El Arabi, sans qui, le film n’aurait pas été le même. Et également à Abel Danan qui confirme parfaitement son talent en alliant horreur et émotion.
Un magnifique et très beau film que je viens de voir au cinéma.il est vraiment très bien réalisé et interprété.je vais aller le revoir une deuxième fois.
Même si l'idée est bonne, DANAN ne parvient pas à emmener son héroïne à fond dans un parcours dramatique qui aurait du etre impactant, mais qui reste simplement un joli exercice de style esthétique
Premier long-métrage de Abel Danan, La Damnée reprend un concept bien souvent utilisée dans les films d'horreur : une personne seule dans un appartement ou une maison, assaillie par des manifestations étranges, imputables éventuellement à son délabrement mentale. Ici, dans cet environnement en vase clos, le film y ajoute un dehors contaminé par un virus et une héroïne souffrant d'agoraphobie. Tout est en place pour une atmosphère de plus en plus poisseuse où il est impossible de distinguer la réalité de ce qu'il advient dans la tête du personnage principal, une étudiante marocaine inscrite à la Sorbonne. Côté ambiance, le film est réussi, grâce à une mise en scène viscérale, quasi cronenbergienne, et à des effets sonores particulièrement travaillés. Sans compter la prestation de Lina El Arabi (vue notamment dans Noces et Divertimento), impressionnante, qui est presque constamment à l'écran et dans tous les états possibles. spoiler: Cette histoire de malédiction et/ou d'hallucinations, prend sa source profonde dans le"folklore" des sorcières au Maroc qui, soit dit en passant, est une manifestation ancienne des violences faites aux femmes. En définitive, derrière le film de genre, se dissimulent d'autres histoires puissantes, sociales, familiales et patriarcales.
Vu en avant première à Gérardmer, le film est pour son premier tier vraiment étonnant, l'histoire jouant sur l'ambiguïté de son personnage principal. Est-elle folle car elle ne prend plus son traitement, est-elle infectée par le virus ou est-elle possédée ? Dans un huis clos crasseux, l'ambiance glauque s'installe et l'histoire nous tiens en haleine. Mais toute la subtilité est balayer d'un coup pour se transformer en un film de possession beaucoup trop convenu, pas très maitrisé sans le sel de l'ambiguïté du début. Dommage car l'actrice principale était vraiment excellente !