Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un film aussi beau sur le fond que dans la forme, sensible et poétique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Lou Lampros, charme brut et mélancolie butée, porte l’esprit d’une jeunesse sans illusion qui refuse d’être sacrifiée. Elle fait de sa fragilité sa force. A l’image de ce film hypersensible, tourné sans un rond mais avec grâce, dans un Paris spectral, traversé par les fantômes de sa violence (tentes Quechua, sirènes de police…).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Antoinette Boulat sait où elle va. Même si elle fait mine de s’égarer en chemin, comme son personnage. Elle dessine ainsi un beau nuancier de cinéma, qui n’atteint pas toujours son plein accomplissement. Mais elle a conscience qu’une mise en scène est une sorte de diapason qu’il faut édifier tout au long de l’histoire qu’elle accompagne.
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Antoinette Boulat dresse avec sensibilité le portrait existentiel d’une jeunesse et d’une ville désenchantées.
Ouest France
par La Rédaction
Un périple envoûtant qui révèle une comédienne somptueuse : Lou Lampros.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Fiction à la fois dure et sensuelle, Ma nuit s'avère moins intrigante par un sujet et un personnage assez conventionnels que par le fond de son cadre.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Sandra Onana
S’il passe à un cheveu de succomber à la photogénie du mal-être de la jeunesse, Ma Nuit cherche et trouve parfois comment regarder cette manière butée, détachée et flippée d’être au monde. Il se jette à l’eau.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O’Neill
Une écriture plus incisive n’aurait pas nui au lien avec le genre « balade » de Ma Nuit, ni à ses instants de poésie auxquels l’actrice Lou Lampros a si largement contribué.
Première
par Thierry Chèze
Antoinette Boulat y filme l’ennui avec une grâce sensible qui rappelle La Fille seule de Jacquot. Et elle propulse au premier plan une comédienne fascinante : Lou Lampros, dont l’intensité dans les moments de silence vous hante longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Déambulation inquiète sous l’influence d’Antonioni, réflexion sur le monde laissé aujourd’hui à la jeunesse, Ma nuit séduit par sa photographie (les visages et la ville) et agace par instants — une chute et un plongeon dans la Seine, tels des passages obligés. C’est gracieux, mais ténu, sur un fil…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
(…) Puisque rien n’est à la hauteur du deuil, rien dans Ma nuit ne consiste, pas même un saut à deux dans le canal glacé, et la traversée cotonneuse s’avère jeu à somme nulle.
Critikat.com
par Thomas Grignon
L’écart entre le point de vue de la cinéaste et la jeunesse qu’elle ambitionne de filmer ne cesse de s’accroître à mesure que le film avance, faute d’une mise en scène inspirée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Trop de "jolis" plans répétitifs sur un visage dépressif... Restent la présence magnétique de Tom Mercier et de belles scènes nocturnes.
Franceinfo Culture
Un film aussi beau sur le fond que dans la forme, sensible et poétique.
L'Obs
Lou Lampros, charme brut et mélancolie butée, porte l’esprit d’une jeunesse sans illusion qui refuse d’être sacrifiée. Elle fait de sa fragilité sa force. A l’image de ce film hypersensible, tourné sans un rond mais avec grâce, dans un Paris spectral, traversé par les fantômes de sa violence (tentes Quechua, sirènes de police…).
La Septième Obsession
Antoinette Boulat sait où elle va. Même si elle fait mine de s’égarer en chemin, comme son personnage. Elle dessine ainsi un beau nuancier de cinéma, qui n’atteint pas toujours son plein accomplissement. Mais elle a conscience qu’une mise en scène est une sorte de diapason qu’il faut édifier tout au long de l’histoire qu’elle accompagne.
Les Fiches du Cinéma
Antoinette Boulat dresse avec sensibilité le portrait existentiel d’une jeunesse et d’une ville désenchantées.
Ouest France
Un périple envoûtant qui révèle une comédienne somptueuse : Lou Lampros.
Les Echos
Fiction à la fois dure et sensuelle, Ma nuit s'avère moins intrigante par un sujet et un personnage assez conventionnels que par le fond de son cadre.
Libération
S’il passe à un cheveu de succomber à la photogénie du mal-être de la jeunesse, Ma Nuit cherche et trouve parfois comment regarder cette manière butée, détachée et flippée d’être au monde. Il se jette à l’eau.
Positif
Une écriture plus incisive n’aurait pas nui au lien avec le genre « balade » de Ma Nuit, ni à ses instants de poésie auxquels l’actrice Lou Lampros a si largement contribué.
Première
Antoinette Boulat y filme l’ennui avec une grâce sensible qui rappelle La Fille seule de Jacquot. Et elle propulse au premier plan une comédienne fascinante : Lou Lampros, dont l’intensité dans les moments de silence vous hante longtemps.
Télérama
Déambulation inquiète sous l’influence d’Antonioni, réflexion sur le monde laissé aujourd’hui à la jeunesse, Ma nuit séduit par sa photographie (les visages et la ville) et agace par instants — une chute et un plongeon dans la Seine, tels des passages obligés. C’est gracieux, mais ténu, sur un fil…
Cahiers du Cinéma
(…) Puisque rien n’est à la hauteur du deuil, rien dans Ma nuit ne consiste, pas même un saut à deux dans le canal glacé, et la traversée cotonneuse s’avère jeu à somme nulle.
Critikat.com
L’écart entre le point de vue de la cinéaste et la jeunesse qu’elle ambitionne de filmer ne cesse de s’accroître à mesure que le film avance, faute d’une mise en scène inspirée.
Le Monde
Trop de "jolis" plans répétitifs sur un visage dépressif... Restent la présence magnétique de Tom Mercier et de belles scènes nocturnes.