Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Positif
par Nicolas Geneix
Un époustouflant opéra rock sensoriel.
20 Minutes
par Caroline Vié
« Inu-oh » évoque l’amitié de ce binôme créatif avec une grande originalité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Audrey Jeamart
Yuasa se démarque dans le style adopté, déluge d’effets visuels et auditifs, rehaussés par une dimension comédie musicale irrésistible, d’un kitsch assumé, et seyant parfaitement aux propriétés de l’animation, qui elle seule peut donner chair à cette fantaisie bigarrée, entre beauté formelle traditionnelle et recherche expérimentale.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Déborah Lechner
Inu-Oh est une proposition radicale détonante, une déflagration sonore et visuelle ainsi qu'une vraie expérience de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par X. L.
Scènes de concerts dantesques, couleurs explosant comme un arc-en-ciel sous acide : c’est une œuvre musicale folle, exubérante, démesurée, queer et fluide. On ne reverra pas cela avant longtemps.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Film d’animation décoiffant, « Inu-Oh » est une fable opératique et politique relatant l’histoire d’amitié entre un chanteur difforme et un moine musicien aveugle dans le Japon du Moyen Âge.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Simon Cherner
Le prodige de l'animation japonaise Masaaki Yuasa s'aventure dans un ballet audacieux, entre film musical et conte historique. Rock et déjanté, le spectacle défrise.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ce maelström narratif irracontable est surtout prétexte à déchaîner le génie graphique de Masaaki Yuasa, affolant les lignes et les perspectives par son dynamisme échevelé, propice aux déformations optiques et aux métamorphoses.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Une pépite.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Masaaki Yuasa réalise un petit bijou de film d’animation qui célèbre la créativité de grands noms du théâtre nô.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marie Klock
Dans un tourbillon jouissif sur fonds de légende médiévale, Masaaki Yuasa livre une comédie musicale géniale et déchaînée malgré un final un peu trop chargé niveau sonore.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Laurent Duroche
Inu-Oh ne repose pas uniquement sur les prouesses musicales et visuelles de ses protagonistes ou la façon virtuose dont Yuasa les matérialise. Si les aventures de Inu-Oh et Tomona s'inscrivent dans un cadre historique et politique qui porte les thématiques du film, celui-ci trouve son coeur dans la relation entre les deux garçons [...].
Ouest France
par Thierry Cheze
La musique transcende le conte et le transforme en opéra-rock tonique et poétique sublimé par la beauté de l'animation.
Première
par Estelle Aubin
C’est poétique, historique (d’aucuns diraient nostalgique), sensible, étonnant, dynamique et l’on en passe. Vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Joseph Boinay
Le résultat ne ressemble pourtant qu’à lui-même : entre la sagesse du mythe et la fureur de l’opéra rock, Yuasa ne choisit pas ; en jaillit une épopée folle et merveilleuse, qui devrait entrer au panthéon de l’animation japonaise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Maud Gacel
À partir de cette reconstitution médiévale très documentée, Yuasa bascule brutalement vers une mise en scène d’opéra rock. Pendant 30 minutes ininterrompues, des danseurs enchaînent des mouvements de breakdance sur des accords de guitare électrique. Le récit s’arrête, cède la place à des numéros musicaux à l’animation impressionnante.
Critikat.com
par Marin Gérard
Si Yuasa n'évite pas le caractère ronronnant de la répétition musicale, il fait des scènes de concert un pur espace de liberté formelle, abondant de phénomènes magiques et d'explosions de couleurs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
En dépit des qualités plastiques évidentes de cette comédie musicale singulière et radicale, le récit s’avère hermétique, décousu, confus et déroutant, impossible d’éprouver de l’empathie pour les personnages, aussi extravagants soient-ils.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
Un époustouflant opéra rock sensoriel.
20 Minutes
« Inu-oh » évoque l’amitié de ce binôme créatif avec une grande originalité.
Culturopoing.com
Yuasa se démarque dans le style adopté, déluge d’effets visuels et auditifs, rehaussés par une dimension comédie musicale irrésistible, d’un kitsch assumé, et seyant parfaitement aux propriétés de l’animation, qui elle seule peut donner chair à cette fantaisie bigarrée, entre beauté formelle traditionnelle et recherche expérimentale.
Ecran Large
Inu-Oh est une proposition radicale détonante, une déflagration sonore et visuelle ainsi qu'une vraie expérience de cinéma.
L'Obs
Scènes de concerts dantesques, couleurs explosant comme un arc-en-ciel sous acide : c’est une œuvre musicale folle, exubérante, démesurée, queer et fluide. On ne reverra pas cela avant longtemps.
La Croix
Film d’animation décoiffant, « Inu-Oh » est une fable opératique et politique relatant l’histoire d’amitié entre un chanteur difforme et un moine musicien aveugle dans le Japon du Moyen Âge.
Le Figaro
Le prodige de l'animation japonaise Masaaki Yuasa s'aventure dans un ballet audacieux, entre film musical et conte historique. Rock et déjanté, le spectacle défrise.
Le Monde
Ce maelström narratif irracontable est surtout prétexte à déchaîner le génie graphique de Masaaki Yuasa, affolant les lignes et les perspectives par son dynamisme échevelé, propice aux déformations optiques et aux métamorphoses.
Le Parisien
Une pépite.
Les Fiches du Cinéma
Masaaki Yuasa réalise un petit bijou de film d’animation qui célèbre la créativité de grands noms du théâtre nô.
Libération
Dans un tourbillon jouissif sur fonds de légende médiévale, Masaaki Yuasa livre une comédie musicale géniale et déchaînée malgré un final un peu trop chargé niveau sonore.
Mad Movies
Inu-Oh ne repose pas uniquement sur les prouesses musicales et visuelles de ses protagonistes ou la façon virtuose dont Yuasa les matérialise. Si les aventures de Inu-Oh et Tomona s'inscrivent dans un cadre historique et politique qui porte les thématiques du film, celui-ci trouve son coeur dans la relation entre les deux garçons [...].
Ouest France
La musique transcende le conte et le transforme en opéra-rock tonique et poétique sublimé par la beauté de l'animation.
Première
C’est poétique, historique (d’aucuns diraient nostalgique), sensible, étonnant, dynamique et l’on en passe. Vertigineux.
Télérama
Le résultat ne ressemble pourtant qu’à lui-même : entre la sagesse du mythe et la fureur de l’opéra rock, Yuasa ne choisit pas ; en jaillit une épopée folle et merveilleuse, qui devrait entrer au panthéon de l’animation japonaise.
Cahiers du Cinéma
À partir de cette reconstitution médiévale très documentée, Yuasa bascule brutalement vers une mise en scène d’opéra rock. Pendant 30 minutes ininterrompues, des danseurs enchaînent des mouvements de breakdance sur des accords de guitare électrique. Le récit s’arrête, cède la place à des numéros musicaux à l’animation impressionnante.
Critikat.com
Si Yuasa n'évite pas le caractère ronronnant de la répétition musicale, il fait des scènes de concert un pur espace de liberté formelle, abondant de phénomènes magiques et d'explosions de couleurs.
Le Journal du Dimanche
En dépit des qualités plastiques évidentes de cette comédie musicale singulière et radicale, le récit s’avère hermétique, décousu, confus et déroutant, impossible d’éprouver de l’empathie pour les personnages, aussi extravagants soient-ils.