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    Sundown
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    3,2
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    89 critiques spectateurs

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    Marie Drevet
    Marie Drevet

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 août 2022
    Le non-dit et sa puissance.magnifique avec un peu d'heures heureuses , simplement mais si difficiles à obtenir.
    Laurette S
    Laurette S

    23 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 août 2022
    Note moyenne parce qu'au premier abord c'est un film un peu ennuyeux, agaçant à force du manque de dialogues. Mais tout s'éclaire, si on peut dire, car le film est très sombre. Un homme renonce à des funérailles familiales en France et préfère rester à Acapulco vivre une aventure amoureuse. Souverain égoïsme, indifférence et crise existentielle ? Finalement la réalité hyperviolente du Mexique le rattrape. Et l'on apprend son secret. Si lourd à porter soit il, l'apparente nonchalance du personnage ne parvient pas à nous le rendre sympathique. Mais c'est sûrement ce que voulait le cinéaste.
    Regard00
    Regard00

    10 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 août 2022
    "Sundown" est un film d'atmosphère, Tim Roth y est excellent, c'est pas un chef-d'œuvre, mais un film intéressant à voir.
    Opera R
    Opera R

    14 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 août 2022
    Voici un film étrange qui ne manque de tenir le spectateur en éveil. Dès le départ, les pistes sont brouillées et nous entraînent vers des suppositions qui se révèlent ensuite erronées : les personnages, leurs rapports et leur situation ne sont pas ce que l'on croit qu'ils sont au début du film. Cela conduit l'intrigue vers un changement progressif de ton : peinture mondaine d'une famille de milliardaires en vacances dans un luxueux hôtel d'Acapulco durant les quinze premières minutes, cela devient rapidement un drame familial, puis une chronique existentielle qui tient à la fois de Camus et de Garcia Marquez, puis un documentaire sociologique sur la mafia mexicaine, pour se terminer par une tragédie familiale et individuelle. Les effets de surprise et ces ruptures de tonalité maintiennent l'intérêt, même si la fin, dévoilant les raisons qui motivent le héros, remarquablement incarné par Tim Roth (il a quelque chose du Meursault de l'Etranger, en plus vieux), est très attendue et grossièrement annoncée. Le moins que l'on puisse dire est que Michel Franco ne s'est pas trop creusé les méninges pour expliquer les agissements de son personnage. Mais le film est assez envoûtant, ne serait-ce que pas le peu de dialogue, l'absence de tout jeu outrancier et le cadre étrange de cette plage d'Acapulco, à la fois enchanteur et inquiétant.
    Jipéhel
    Jipéhel

    58 abonnés 277 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 août 2022
    BCBG « attachiant…. »

    J’ai eu beaucoup de mal à me passionner à ce drame signé par le mexicain Michel Franco dont j’avais plutôt apprécié le Despues de Lucia en 2012. Mais cette fois, ces 83 minutes m’ont laissé dans une profonde expectative. Une riche famille anglaise passe de luxueuses vacances à Acapulco quand l’annonce d’un décès les force à rentrer d’urgence à Londres. Au moment d’embarquer, Neil affirme qu’il a oublié son passeport dans sa chambre d’hôtel. En rentrant de l’aéroport, il demande à son taxi de le déposer dans une modeste « pension » d’Acapulco... Le moins qu’on puisse dire, c’est que cette histoire de famille ne fait pas dans le trépidant. En tout cas, outre le fait que le personnage central ne respire pas la joie de vivre, il a des motivations qui m’échappent, d’où un scénario bancal et un final qui laisse pantois. Raté.
    Michel Franco a écrit son film alors qu'il traversait une profonde crise existentielle, pendant laquelle il a pour la première fois réalisé que l'existence n’est pas éternelle… Tu parles d’un scoop ! Ce qui ressort, c’est que la magnifique Acapulco, n’est plus le paradis que l’on a connu, mais est même devenue une des villes les plus dangereuses du monde. Donc, pour résumé, ce film est en 3 parties. D’abord, vacances de la richissime famille Benett dans une résidence de grand luxe où il s’ennuie avec une belle constance. 2ème partie, la fugue du frangin pour une longue séance de sea, sex and sun, dans les bras d’une ravissante jeune mexicaine. Bref, on s’ennuie toujours autant. Et d’un seul coup dans la 3ème et dernière partie, tout s’accélère tellement que ça en devient ridicule. En 20 minutes, spoiler: on aura droit à une tentative de rapt, un meurtre, un séjour en prison, un cancer et… vraisemblablement un suicide
    . Le señor Franco a peut-être un tantinet chargé la mule. Trop incohérent, trop mal construit, trop… chiant pour qu’on y croit.
    L’excellent Tim Roth traverse le film comme un zombie. Il a l’air de se demander ce qu’il fait là… nous aussi. Charlotte Gainsbourg fait ce qu’elle peut dans ses rares apparitions pour avoir l’air concerné. La jeune et jolie Iazua Larlos apporte ce qu’il faut de glamour à cet été à Acapulco. Bon, disons-le tout net, ces gens n’ont que des problèmes de riches, de très riches même, dépressifs qui plus est, et comme je suis loin de ce monde-là, ça explique sans doute l’absence d’empathie ressentie pour le héros transformé en soliste désabusé pour ce Requiem pour un paradis perdu. Evitable !
    Lila Lulu
    Lila Lulu

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 août 2022
    Excessivement déçue par ce thriller totalement poussif ( a comparer aux excellents As Bestas et La nuit du 12). Les deux acteurs sont totalement sous employés, Charlotte Gainsbourg a son plus sinistre tout du long (et jusqu'à la fin..) , et que dire de Tim Roth total élément absent de lui-meme.. et du film, même s'il est apparaît dans toutes les scènes). J'avoue n'avoir pas tenu jusqu'au bout et avoir discrètement (il n'y avait que 3 personnes..) quitté la salle quand on l'a embarqué pour une chimio sans espoir dans un hôpital mexicain de seconde zone. Ah non, trop c'est trop, surtout pendant les vacances et qu'il fait beau dehors.
    Coet
    Coet

    4 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 août 2022
    Un film d une grande profondeur
    Les choix d un homme face à une fin de vie prématurée.
    Le tout dépeint dans l atmosphère d une ville mexicaine autrefois ville de plaisir et aujourd'hui livrée à la violence.
    Des rebondissements qui brise le rythme d un film qui prend son temps.
    Domitille Quincy
    Domitille Quincy

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 août 2022
    Poétique, intriguant et très bien ficelé. Très bon jeu d'acteur. Ce film donne envie de l'écrire en livre !
    Petiot L
    Petiot L

    35 abonnés 310 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 août 2022
    Bon c'est un film pas drôle, lent, mais on y sent des choses sur la famille, sur Acapulco, et peut-être un fond écolo.
    Un anti - Okja...
    Faut-il manger du porc ?
    Et le film montre aussi la difficulté des hommes à montrer leurs émotions, leurs sentiments.
    Bernard F
    Bernard F

    26 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 août 2022
    Film plutôt intéressant. Pourquoi cet homme peu bavard décide-t-il de rester au Mexique, et de s'installer dans cet hôtel mal fâmé? C'est la question qu'on se pose tout au long du film. Une sorte de dualité: une vie qui semble plutôt tranquille mais ponctuée de violence. Une violence que l'on sent poindre. Désir de changer de vie, de renoncer au confort? On comprend qu'il y a davantage à la fin du film, même si ce n'est pas tout à fait convaincant. Etait-ce réellement nécessaire d'introduire cet aspect des choses dans cette histoire?
    Pierre Phdb
    Pierre Phdb

    14 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 août 2022
    Une rupture. Celle d'un homme qui après un séjour VIP artificiel au Mexique reste sur place malgré un deuil familiale qui aurait dû provoquer son retour. Et bascule dans un monde où l'on a plein d'amis si on est yankee avec des dollars en poche. On ne sait pas trop la raison de cette bascule sur le coup. Cela est pour moi le thème du film.

    L'ennui est que c'est insuffisant pour faire un long métrage. Alors on ajoute un peu d'action un épisode policier. Utile pour connaitre la raison de la bascule, de la rupture non; pour gagner du temps oui.

    Donc un film moyen.
    Jorik V
    Jorik V

    1 273 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 août 2022
    Michel Franco ne signe certainement pas là son meilleur film, mais il persiste dans une voie qui lui est propre, toujours aussi singulière, celle d’un cinéma réaliste qui autopsie l’humain et ses dysfonctionnements avec un traitement toujours aussi froid et distancié. Si on attend toujours son film précédent en salles, ce « New Order » à l’excellente réputation, « Sundown » est néanmoins en parfaite adéquation avec le reste de sa déjà foisonnante filmographie. Il se situe tout de même un cran en dessous du sublime « Les filles d’Ana » et surtout du choc « Despues de Lucia ». Franco est le cinéaste du ou des point(s) de rupture, ces moments totalement imprévisibles où tout bascule sans qu’on les voie venir. Il est l’un des rares réalisateurs à pouvoir en un instant faire virer ses films dans quelque chose de plus tragique, violent ou dramatique tel un lointain cousin du cinéaste autrichien Mickael Haneke.

    « Sundown » est encore une fois un film qui diviser. Si la filmographie du cinéaste ne vous a pas plu jusque-là, inutile de tenter, ce nouvel opus est du même acabit thématique et formel que ses précédentes œuvres, constituant une filmographie d’une cohérence et d’une homogénéité rare. Sa manière de filmer ne change pas, faite de longs plans fixes souvent filmés à distance, comme un observateur neutre du chaos et des dérèglements de la psychologie humaine. Et cela à travers différents genres, du drame au polar en passant par le mélange des deux comme ici. Il faut avouer qu’il est toujours à la limite du cinéma contemplatif, presque poseur, mais qu’il n’y sombre jamais grâce à une maîtrise implacable de la durée de son récit. En une heure et vingt minutes montre en main, il nous offre un récit concis et tendu d’où rien me dépasse. Faire court est aussi signe de précision et de réussite. Encore une fois ici, la froideur clinique de son cinéma contraste fortement avec la chaleur du contexte, ici le soleil brûlant et dangereux d’Acapulco.

    Le duo formé par Charlotte Gainsbourg et Tim Roth est probant mais leurs rôles ne sont pas très complexes, juste les jouets d’un cinéaste dont le regard sur l’humain est bourré d’acuité et de nihilisme. L’actrice française joue une partition qu’elle connaît bien, tandis que lui, dans un rôle taiseux au possible, n’a pas grand-chose à jouer, mais c’est la teneur de ce personnage insondable dont chaque minute supplémentaire du film définit les contours. Jusqu’à la révélation finale, d’une évidence logique qu’on ne voit pourtant pas venir. D’ailleurs, « Sundown » est ponctué de micro-rebondissements qui rebattent continuellement les cartes du récit, dont celui qui dévoile le lien entre les deux personnages principaux et surprend. Les secrets du film se dévoilent donc au compte-gouttes, ce qui en fait tout le sel, et mettent petit à petit en lumière la psychologie du personnage principal, très sibylline au début. Franco met ainsi en scène l’histoire de la fuite en avant macabre d’un homme tout comme un changement brutal de vie qui divisera forcément mais dont on apprécie la vraie démarche de cinéma, le mystère vénéneux et les accès de violence physique ou psychologiques imprévisibles et secs qui le caractérisent.

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    tixou0
    tixou0

    701 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 août 2022
    Soit une (très) riche famille britannique, les Bennett, en villégiature à Acapulco (côte pacifique du Mexique - sa vaste baie avec montagnes en arrière-plan, sa falaise de La Quebrada d'où se jettent, en performances 24/24, des plongeurs pro...), dans un somptueux "resort". Deux grands ados, fille et garçon, leur mère (Charlotte Gainsbourg - redoublant d'efforts pour sortir son meilleur accent "british"), et un probable père - on pense deviner des "vacances de la dernière chance" pour couple qui va divorcer... Ou pas... L'homme prétexte un passeport égaré pour ne pas suivre les trois autres dans leur périple précipité : retour express en Angleterre, la matriarche venant de décéder - mais est-ce bien la belle-mère (apparemment détestée) de Monsieur qui vient de défuncter ?... "Neil" (Tim Roth) ne cherche pas un passeport qu'il n'a pas perdu, mais s'installe dans un hôtel miteux que lui conseille un chauffeur de taxi obligeant, et commence une routine de beuveries non-stop à la bière locale sur la plage, bientôt rejoint par une pierreuse tout aussi locale, "Berenice" (qui a échappé à l'obésité ambiante). Le film est court (1 h 23), et on s'y ennuie longtemps !... Jusqu'à ce que, d'indices en indices, d'ellipses en ellipses, le scénariste Michel Franco nous donne le fin mot de l'affaire : spoiler: Neil voit des suidés partout (la faute à sa "condition" - comme on dit en anglais ; à vous de vous laisser surprendre !).
    Le metteur en scène MF ne fait pas toujours honneur à l'écriture, mais on peut se laisser tenter, dans ces jours de canicule, par quelque salle à air conditionné diffusant ce "Sundown" mexicain. Surtout pour TR, en pleine chute... crépusculaire. "Morale" ? Du basique : le Mexique est un pays dangereux, où violence, corruption et crime ne sont jamais loin, ses prisons ayant de bons airs de ressemblance avec le mythique "Midnight express" turc d'Alan Parker. Et l'argent ne fait décidément pas le bonheur ! Ou pas...
    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2022
    Michel Franco ne fait pas des films aimables. Son cinéma est froid, distancé certains le considèrent même comme misanthrope. Sundown ,s'il est moins violent et dur que les précédents films du cinéaste, n'en demeure pas moins assez radical. Le parcours de cet homme en quête existentielle s'apparente rapidement à un chemin de croix doloriste. Le film est d'ailleurs assez fascinant tant que l'on ne connaît rien du personnage. Le dénouement un peu trop narratif est presque deceptif après plus d'une heure d'errance lancinante. Sundown doit beaucoup à la performance de Tim Roth d'une sobriété incroyable qui porte le film à bout de bras. Rugueux et parfois un peu trop schématique notamment dans son traitement de la question des inégalités, sundown est néanmoins assez trouble et déroutant pour mériter d'être découvert.
    Emile C.
    Emile C.

    3 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2022
    A l'occasion d'un deuil, un riche londonien en vacances au Mexique connaît un épisode de lâcher-prise dépressif qui sera lourd de conséquences. L'histoire n'est pas très originale, si ce n'est peut-être la relation entre frère et sœur de la grande bourgeoisie anglaise. Mais tout l'intérêt est bien sûr de nous montrer le Mexique, en particulier Acapulco, de manière vivante, proche, effrayante aussi, au moyen d'une caméra documentaire, qui sait créer l'impression que nous nous trouvons sur la plage ou dans une boutique avec les protagonistes. Ce film qui dure un peu plus d'une heure vingt paraît long, ce qu'on peut considérer comme une qualité ou un défaut.
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