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Henri
4 abonnés
43 critiques
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2,5
Publiée le 14 août 2022
Film troublant, psychologique, avec une intrigue qui se veut volontairement lente et qui ne se lance jamais réellement. Nous donne seulement des éléments de réponses aux comtes goutte se qui nous laisse la liberté d'interpréter la raison des actions de Neils, personnages lent, déprimé et déprimant, avec une finalité qui est, je trouve, un peu décevante. Rend la séance insatisfaisante. Malgré un sujet intéressant, une ambiance bien posée et des coups de sang inattendu qui relancent bien
Sooooo Frustrating!!! Ce film est à regarder sans le son et sur un grand ecran un soir de full moon.. Au debut tres agreable le real est un genie de l’image que des scenes so fresh avec du soleil des belles vues, puis on arrive au 1er rebondissement puis un deuxieme (je ne vais pas spoiler) et là on est a la moitie du film que j’ai l’impression qu’il y a quelqu’un qui se met devant l’ecran pour pas que je vois ou un bruit insupportable qui fait que je n’arrive pas a suivre le film.. il y a quelque chose de sourd de mal enoncé d’inconduit, ça se regarde quand meme avec plaisir mais ça laisse un vide je peux pas bien le noter, il irait tres bien dans un festival du film projet photo ET un peu de d’histoire 😳 😕
Excessivement déçue par ce thriller totalement poussif ( a comparer aux excellents As Bestas et La nuit du 12). Les deux acteurs sont totalement sous employés, Charlotte Gainsbourg a son plus sinistre tout du long (et jusqu'à la fin..) , et que dire de Tim Roth total élément absent de lui-meme.. et du film, même s'il est apparaît dans toutes les scènes). J'avoue n'avoir pas tenu jusqu'au bout et avoir discrètement (il n'y avait que 3 personnes..) quitté la salle quand on l'a embarqué pour une chimio sans espoir dans un hôpital mexicain de seconde zone. Ah non, trop c'est trop, surtout pendant les vacances et qu'il fait beau dehors.
Du Terrence Malick avec du Anderson avec un Tim Roth monumental, d une sobriété telle qu il touche l excellence, la photo est géniale l immersion a acapulco nous fais voyager et l histoire est simple donc top comme la vie devrait être .Foncez au début on veut mettre sur pause puis notre doigt quitte la télécommande est vie le film.bravo
Un film surprenant lorsque l'on se laisse porter par les acteurs et transporter par les paysages, l'ambiance est juste et transcrit bien la réalité vécue par chaque personnage. Poignant.
La dépression d'un homme qui déchire une famille entière et qui mène à des conséquences irréparables.... Tout ça dans un décor de carte postale. Troublant.
Ils sont riches, dépressifs, ils peuvent choisir leur vie... Ce qui est déjà pas mal. .....Je ne comprends vraiment pas toutes ces critiques dithyrambique ....c'est un peu trop ! Le scénario est bien ficellé c'est vrai et le film se laisse voir. Probablement je ne suis pas suffisamment torturée pour comprendre l'engouement des critiques pour ce film.
On reste en haleine jusqu'au bout car on se doute que quelque chose dirige la vie de ce célibataire ,héritier d'une fortune qui est détaché de tout mais ,digne....et pour cause ! J'y ai trouvé de la fraicheur au début mais ensuite cette violence vraiment existante au Mexique va hélas plomber l'ambiance et nous amener à un triste final ... Mais un film bien joué par des acteurs vrais !
Comme beaucoup de spectateurs sans doute, je ne cessais de m'interroger sur les motivations du personnage principal.
J'ai alors réalisé que le film possède plusieurs ressemblances avec "l'Etranger" de Camus. Non seulement les personnages sont très similaires. Tous deux semblent se laisser porter par ce qu'ils rencontrent sans avoir de réelle volition propre. Mais aussi les deux histoires ont des points commun : les obsèques de la mère du personnage au début, un héros qui doit se rendre à Paris mais reste à Alger, une relation amoureuse tactile mais sans conversation, la plage, un héros qui côtoie des voyous sans vraiment s'en rendre compte, un héros qui est étrangement ébloui par le soleil, un meurtre, la prison,...
Que ce soit intentionnel ou non, que la ressemblance soit subjective ou objective, il demeure que comme à la lecture du roman de Camus on en ressort avec un sentiment d'étrangeté et des questionnements sur cet étranger.