Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
BIBA
par Samuel Loutaty
Un joli film réussi, plein de fausses pistes, qui dit beaucoup sur nos choix de vie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans la torpeur estivale mexicaine de Sundown , Michel Franco assemble lentement, doucement, subtilement, dans un dévoilement progressif qui tient du suspense, les pièces d’un drame existentiel maîtrisé de bout en bout.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une morale de l'hitoire ? Ne pas juger trop vite ni d'un bonheur ni d'un malheur car, selon notre angle de vue, la perspective peut changer. La rédaction a aimé.
La Septième Obsession
par David Ezan
SUNDOWN est d’une rarissime hauteur de vue. De ces films qui, attentifs aux bruissements du monde, encapsulent quelque chose de sa violente beauté. C’est tout le paradoxe d’Acapulco, paradis perdu dont Michel Franco chante ici le requiem.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le récit à tiroirs nous emmène au-delà des simples états d’âme de richissimes dépressifs. Le scénario ne se dévoile que petit à petit, comme un puzzle énigmatique doté de quelques fulgurances, violentes notamment.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Dans la lumière irradiante d’un été à Acapulco, sous un soleil de plomb, Michel Franco transfigure la dépression existentielle d’un homme en une resplendissante reviviscence. Après Chronic (2015), il retrouve l’acteur Tim Roth, magnifique dans un rôle taiseux sensible.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film envoûtant porté par l'impressionnant Tim Roth.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Sandra Onana
Le trait a beau être rêche, la méchanceté du film ne s’éprouve pas comme un jeu de massacre cinglant, mais comme une leçon de vide, une sereine indifférence aux choses, une gueule de bois comateuse avant la fin du monde.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film qui n’a rien d’une comédie frivole, mais qui s’impose comme l’un des plus troublants de l’été.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Chèze
Un jeu mental captivant qui s'appuie sur Tim Roth, un acteur à la puissance d'incarnation, toujours aussi impressionnante.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Tim Roth et Charlotte Gainsbourg sont au diapason d'un film lancinant, mélancolique et à l'écriture brillante.
Positif
par Éric Derobert
La fuite perpétuelle de Neil, tout en traduisant une rupture obligée d’avec une société indésirable, met à nu une crise existentielle endémique toujours présente dans les films de Michel Franco. Elle est centrale, cette fois-ci, et comme toujours irrésolue.
Première
par Frédéric Foubert
Michel Franco parvient à créer du suspense, une très grande tension, grâce à son extraordinaire gestion de la durée, sa maitrise du non-dit, construisant patiemment une sorte de puzzle existentiel, gorgé d’humour noir, et porté par la puissance d’incarnation d’un Tim Roth vraiment génial.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Marie-Pierre Galinon
Cette dérive indolente d'un homme d'âge mûr sous le soleil de plomb d'Acapulco fascine autant qu'elle perturbe.
Voici
par La Rédaction
Un film mélancolique et désabusé.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Tenant à la fois du film contemplatif et du suspense psychologique et policier, ce long métrage de Michel Franco est un séduisant jeu de piste, magnifié par le jeu de Tim Roth.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Curieuse étude de caractère, intrigante et peu satisfaisante, ce film existentialiste est porté à bout de bras par Tim Roth, superbe zombie dont le mystère reste entier.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le résultat est troublant, poisseux, filmé dans une écriture blanche. Les péripéties sont souvent à deux doigts de basculer dans le ridicule. Cela intrigue, déconcerte.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Fidèle à lui-même, Michel Franco, nous aura de nouveau entretenus de la violence des inégalités, de l’argent qui corrompt ceux qui le possèdent, de la précarité qui est nôtre dans la jouissance de ce monde, toutes choses dont son pays, le Mexique, semble la parfaite métaphore. Il aura, cette fois, choisi une voie plus douce pour y parvenir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Cette errance entre luxe et précarité, confort et violence, peut sembler vaine. Mais à force de nous faire prendre des chemins de traverse, cette histoire d’un homme qui prend la tangente gagne en profondeur et dessine une édifiante quête existentielle et crépusculaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Franco arrive assez finement à filmer la droiture secrète de ce héros aussi détestable qu’admirable, et bien sûr radicalement camusien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Sophie Avon
Michel Franco n’est pas un cinéaste insignifiant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par É. Le.
Taiseux et énigmatique, Tim Roth brille par son interprétation dans ce mélo crépusculaire et indolent, mais à l'intrigue suffisamment complexe pour tenir en haleine.
Télérama
par Jacques Morice
Rien n’est pourtant sûr ni paisible ici, la violence peut jaillir à tout moment. Et jusqu’au bout, Neil fascine. Comme l’homme ayant atteint le point de non-retour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une fuite en avant au cœur d’un récit mystérieux et imprévisible, qui donne des éléments de réponse au compte-gouttes et dont on a un peu de mal à cerner la finalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
On peut cependant résumer l’ensemble très simplement : c’est l’histoire d’un sale égoïste à qui il arrive des choses atroces dans un pays pourri sous le regard du plus insensible des cinéastes.
Critikat.com
par Fabrice Fuentes
Rien ne se passe, sinon quelques coups de sang savamment distillés et des révélations distribuées au compte-goutte accusant les limites de ce cinéma moins énigmatique que malhonnête.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Une étude psychologique qui pourrait intriguer si son auteur n’en faisait pas un chemin de croix doloriste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
BIBA
Un joli film réussi, plein de fausses pistes, qui dit beaucoup sur nos choix de vie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans la torpeur estivale mexicaine de Sundown , Michel Franco assemble lentement, doucement, subtilement, dans un dévoilement progressif qui tient du suspense, les pièces d’un drame existentiel maîtrisé de bout en bout.
Femme Actuelle
Une morale de l'hitoire ? Ne pas juger trop vite ni d'un bonheur ni d'un malheur car, selon notre angle de vue, la perspective peut changer. La rédaction a aimé.
La Septième Obsession
SUNDOWN est d’une rarissime hauteur de vue. De ces films qui, attentifs aux bruissements du monde, encapsulent quelque chose de sa violente beauté. C’est tout le paradoxe d’Acapulco, paradis perdu dont Michel Franco chante ici le requiem.
La Voix du Nord
Le récit à tiroirs nous emmène au-delà des simples états d’âme de richissimes dépressifs. Le scénario ne se dévoile que petit à petit, comme un puzzle énigmatique doté de quelques fulgurances, violentes notamment.
Le Dauphiné Libéré
Dans la lumière irradiante d’un été à Acapulco, sous un soleil de plomb, Michel Franco transfigure la dépression existentielle d’un homme en une resplendissante reviviscence. Après Chronic (2015), il retrouve l’acteur Tim Roth, magnifique dans un rôle taiseux sensible.
Les Echos
Un film envoûtant porté par l'impressionnant Tim Roth.
Libération
Le trait a beau être rêche, la méchanceté du film ne s’éprouve pas comme un jeu de massacre cinglant, mais comme une leçon de vide, une sereine indifférence aux choses, une gueule de bois comateuse avant la fin du monde.
Marianne
Un film qui n’a rien d’une comédie frivole, mais qui s’impose comme l’un des plus troublants de l’été.
Ouest France
Un jeu mental captivant qui s'appuie sur Tim Roth, un acteur à la puissance d'incarnation, toujours aussi impressionnante.
Paris Match
Tim Roth et Charlotte Gainsbourg sont au diapason d'un film lancinant, mélancolique et à l'écriture brillante.
Positif
La fuite perpétuelle de Neil, tout en traduisant une rupture obligée d’avec une société indésirable, met à nu une crise existentielle endémique toujours présente dans les films de Michel Franco. Elle est centrale, cette fois-ci, et comme toujours irrésolue.
Première
Michel Franco parvient à créer du suspense, une très grande tension, grâce à son extraordinaire gestion de la durée, sa maitrise du non-dit, construisant patiemment une sorte de puzzle existentiel, gorgé d’humour noir, et porté par la puissance d’incarnation d’un Tim Roth vraiment génial.
Public
Cette dérive indolente d'un homme d'âge mûr sous le soleil de plomb d'Acapulco fascine autant qu'elle perturbe.
Voici
Un film mélancolique et désabusé.
aVoir-aLire.com
Tenant à la fois du film contemplatif et du suspense psychologique et policier, ce long métrage de Michel Franco est un séduisant jeu de piste, magnifié par le jeu de Tim Roth.
L'Obs
Curieuse étude de caractère, intrigante et peu satisfaisante, ce film existentialiste est porté à bout de bras par Tim Roth, superbe zombie dont le mystère reste entier.
Le Figaro
Le résultat est troublant, poisseux, filmé dans une écriture blanche. Les péripéties sont souvent à deux doigts de basculer dans le ridicule. Cela intrigue, déconcerte.
Le Monde
Fidèle à lui-même, Michel Franco, nous aura de nouveau entretenus de la violence des inégalités, de l’argent qui corrompt ceux qui le possèdent, de la précarité qui est nôtre dans la jouissance de ce monde, toutes choses dont son pays, le Mexique, semble la parfaite métaphore. Il aura, cette fois, choisi une voie plus douce pour y parvenir.
Le Parisien
Cette errance entre luxe et précarité, confort et violence, peut sembler vaine. Mais à force de nous faire prendre des chemins de traverse, cette histoire d’un homme qui prend la tangente gagne en profondeur et dessine une édifiante quête existentielle et crépusculaire.
Les Inrockuptibles
Franco arrive assez finement à filmer la droiture secrète de ce héros aussi détestable qu’admirable, et bien sûr radicalement camusien.
Sud Ouest
Michel Franco n’est pas un cinéaste insignifiant.
Télé Loisirs
Taiseux et énigmatique, Tim Roth brille par son interprétation dans ce mélo crépusculaire et indolent, mais à l'intrigue suffisamment complexe pour tenir en haleine.
Télérama
Rien n’est pourtant sûr ni paisible ici, la violence peut jaillir à tout moment. Et jusqu’au bout, Neil fascine. Comme l’homme ayant atteint le point de non-retour.
Le Journal du Dimanche
Une fuite en avant au cœur d’un récit mystérieux et imprévisible, qui donne des éléments de réponse au compte-gouttes et dont on a un peu de mal à cerner la finalité.
Cahiers du Cinéma
On peut cependant résumer l’ensemble très simplement : c’est l’histoire d’un sale égoïste à qui il arrive des choses atroces dans un pays pourri sous le regard du plus insensible des cinéastes.
Critikat.com
Rien ne se passe, sinon quelques coups de sang savamment distillés et des révélations distribuées au compte-goutte accusant les limites de ce cinéma moins énigmatique que malhonnête.
Les Fiches du Cinéma
Une étude psychologique qui pourrait intriguer si son auteur n’en faisait pas un chemin de croix doloriste.