Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un grand film énigmatique dont la portée spirituelle et esthétique est incontestable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
La mise en scène est en osmose avec ce qui nous est raconté [...] la caméra flotte, par de lents travellings nimbés d’une photographie chaleureuse, aux couleurs enveloppantes, marquées par la douceur, invitant le spectateur à se laisser aller, à se lover dans une histoire qui ne démarre jamais vraiment mais qui est traversée par une multitude d’émotions.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
Flash-back, mémoire puzzle : ce deuxième film de Jakrawal Nilthamrong est l’image exacte d’un certain cinéma asiatique : méditatif, beau, philosophique, ambigu (il y a deux fins possibles). A condition de se laisser aller, c’est magnifique. Si la lenteur vous semble être de l’apathie, c’est exaspérant. Nous faisons le premier choix.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Anatomy of Time est l’évocation morcelée d’une femme entre deux âges, une histoire singulière et réussie, à la mise en scène onirique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Parfois cryptique, Anatomy of Time est comme le gardien d’un secret précieux qu’il ne rencontre jamais vraiment, porteur d’un mystère illimité qui s’épaissit dans les mouvements de vie de la nature à laquelle le cinéaste accorde une attention extrême.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Hubert Niogret
Tout aussi politique, en arrière-plan, que mélodramatique, et poétique, le cinéaste développe, dans ce deuxième film, une facture très soignée, qui fait le prix du film, par son élégance, sa fluidité, même si parfois la sophistication nuit à la lisibilité de l’intrigue.
Première
par Thomas Baurez
« C’est vrai qu’on doit tous payer pour nos péchés ? » Le film répond par l’affirmative mais ose une ultime dérobade, car celui qui dit payer – un mari violent - est plongé dans un état entre la vie et la mort. Le temps non seulement pourrit tout mais il confisque aussi un morceau de notre mémoire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Étienne Cimetière-cano
Si quelques idées ou scènes se démarquent localement, le film s’avère trop prétentieux pour émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Récit fragmentaire, voyage dans le temps, recherche de la sensation au détriment de l’ordre narratif : on est ici, sans conteste, sur les terres du maître des sensuelles évanescences Apichatpong Weerasethakul. Un film de disciple donc, qui cherche toutefois à se singulariser, mais ne remporte au bout du compte aucun des deux paris.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Sandra Onana
Entre évocation du passé militaire de la Thaïlande, drame de la vieillesse et dérives philosophiques, le film de Jakrawal Nilthamrong peine à tresser tous les fils.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Ce film raconte les blessures du passé dans une mise en scène soyeuse qui n'empêche pas de voir prospérer un sentiment d'ennui profond.
Télérama
par Frédéric Strauss
Il est bien difficile de suivre ce récit dénué de repères, surtout prétexte à des ambiances visuelles souvent réussies mais si changeantes qu’elles nous perdent aussi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
Un grand film énigmatique dont la portée spirituelle et esthétique est incontestable.
Culturopoing.com
La mise en scène est en osmose avec ce qui nous est raconté [...] la caméra flotte, par de lents travellings nimbés d’une photographie chaleureuse, aux couleurs enveloppantes, marquées par la douceur, invitant le spectateur à se laisser aller, à se lover dans une histoire qui ne démarre jamais vraiment mais qui est traversée par une multitude d’émotions.
L'Obs
Flash-back, mémoire puzzle : ce deuxième film de Jakrawal Nilthamrong est l’image exacte d’un certain cinéma asiatique : méditatif, beau, philosophique, ambigu (il y a deux fins possibles). A condition de se laisser aller, c’est magnifique. Si la lenteur vous semble être de l’apathie, c’est exaspérant. Nous faisons le premier choix.
Les Fiches du Cinéma
Anatomy of Time est l’évocation morcelée d’une femme entre deux âges, une histoire singulière et réussie, à la mise en scène onirique.
Les Inrockuptibles
Parfois cryptique, Anatomy of Time est comme le gardien d’un secret précieux qu’il ne rencontre jamais vraiment, porteur d’un mystère illimité qui s’épaissit dans les mouvements de vie de la nature à laquelle le cinéaste accorde une attention extrême.
Positif
Tout aussi politique, en arrière-plan, que mélodramatique, et poétique, le cinéaste développe, dans ce deuxième film, une facture très soignée, qui fait le prix du film, par son élégance, sa fluidité, même si parfois la sophistication nuit à la lisibilité de l’intrigue.
Première
« C’est vrai qu’on doit tous payer pour nos péchés ? » Le film répond par l’affirmative mais ose une ultime dérobade, car celui qui dit payer – un mari violent - est plongé dans un état entre la vie et la mort. Le temps non seulement pourrit tout mais il confisque aussi un morceau de notre mémoire.
Critikat.com
Si quelques idées ou scènes se démarquent localement, le film s’avère trop prétentieux pour émouvoir.
Le Monde
Récit fragmentaire, voyage dans le temps, recherche de la sensation au détriment de l’ordre narratif : on est ici, sans conteste, sur les terres du maître des sensuelles évanescences Apichatpong Weerasethakul. Un film de disciple donc, qui cherche toutefois à se singulariser, mais ne remporte au bout du compte aucun des deux paris.
Libération
Entre évocation du passé militaire de la Thaïlande, drame de la vieillesse et dérives philosophiques, le film de Jakrawal Nilthamrong peine à tresser tous les fils.
Ouest France
Ce film raconte les blessures du passé dans une mise en scène soyeuse qui n'empêche pas de voir prospérer un sentiment d'ennui profond.
Télérama
Il est bien difficile de suivre ce récit dénué de repères, surtout prétexte à des ambiances visuelles souvent réussies mais si changeantes qu’elles nous perdent aussi.