Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Mais le leitmotiv, c’est l’influence du cinéma muet formaliste, notamment des essais documentaires de Dziga Vertov, qui partait de la réalité pour fabriquer un univers plastique. Cela se manifeste en particulier dans l’impressionnant kaléidoscope final qui clôt cette œuvre à la fois ethnique et avant-gardiste. Il faudrait sans doute plusieurs visions pour pouvoir en épuiser la richesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
(…) Kiro Russo abolit d’un même mouvement toutes les frontières : entre le décor et les personnages, le réel et l’imaginaire, l’intérieur et l’extérieur, le sens et le sensible. Pour mieux, du bout des zooms, faire remuer le cinéma.
Critikat.com
par Thomas Grignon
À son meilleur, Le Grand mouvement organise une symphonie urbaine digne de Ruttmann et Vertov.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Un objet fascinant aux contours énigmatiques.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film envoûtant et singulier, si on accepte de lâcher-prise.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Dans un geste ample et halluciné, filmé en 16mm, le Grand Mouvement du Bolivien Kiro Russo parvient à raconter tout cela, mêlant «symphonie urbaine» (le but avoué du cinéaste) et dérive fantastique, bribes de comédie musicale et documentaire – mais un documentaire qui se pencherait sur le tout petit, le presque rien, radiographie minutieuse qui trouve sa vérité dans le montage, l’assemblage métaphorique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Bauche
Si Le Grand Mouvement nous perd parfois un peu, il est impossible de nier le talent du réalisateur qu’on aura dorénavant à l’œil.
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Ce qui nous a frappés en cette œuvre est l’approche directe, rêche du réalisateur (...) Les personnages sont comme saisis dans la réalité pauvre et sale du pays, et montrés sans apprêts, sans effets visant à leur donner une apparence plaisante.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
Volontiers décousu – scènes de danse, moments de cauchemar –, le film alterne le cinéma-vérité et le lyrisme mystique. L’ensemble est déconcertant, mais le talent est là.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Louis Guichard
Kiro Russo apporte également un sens aigu de l’instant : il donne l’impression d’inventer sous nos yeux la forme et le récit du Grand Mouvement, expérience filmique pleine de prodiges comme de promesses.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Mais le leitmotiv, c’est l’influence du cinéma muet formaliste, notamment des essais documentaires de Dziga Vertov, qui partait de la réalité pour fabriquer un univers plastique. Cela se manifeste en particulier dans l’impressionnant kaléidoscope final qui clôt cette œuvre à la fois ethnique et avant-gardiste. Il faudrait sans doute plusieurs visions pour pouvoir en épuiser la richesse.
Cahiers du Cinéma
(…) Kiro Russo abolit d’un même mouvement toutes les frontières : entre le décor et les personnages, le réel et l’imaginaire, l’intérieur et l’extérieur, le sens et le sensible. Pour mieux, du bout des zooms, faire remuer le cinéma.
Critikat.com
À son meilleur, Le Grand mouvement organise une symphonie urbaine digne de Ruttmann et Vertov.
Le Monde
Un objet fascinant aux contours énigmatiques.
Les Fiches du Cinéma
Un film envoûtant et singulier, si on accepte de lâcher-prise.
Libération
Dans un geste ample et halluciné, filmé en 16mm, le Grand Mouvement du Bolivien Kiro Russo parvient à raconter tout cela, mêlant «symphonie urbaine» (le but avoué du cinéaste) et dérive fantastique, bribes de comédie musicale et documentaire – mais un documentaire qui se pencherait sur le tout petit, le presque rien, radiographie minutieuse qui trouve sa vérité dans le montage, l’assemblage métaphorique.
Positif
Si Le Grand Mouvement nous perd parfois un peu, il est impossible de nier le talent du réalisateur qu’on aura dorénavant à l’œil.
Culturopoing.com
Ce qui nous a frappés en cette œuvre est l’approche directe, rêche du réalisateur (...) Les personnages sont comme saisis dans la réalité pauvre et sale du pays, et montrés sans apprêts, sans effets visant à leur donner une apparence plaisante.
L'Obs
Volontiers décousu – scènes de danse, moments de cauchemar –, le film alterne le cinéma-vérité et le lyrisme mystique. L’ensemble est déconcertant, mais le talent est là.
Télérama
Kiro Russo apporte également un sens aigu de l’instant : il donne l’impression d’inventer sous nos yeux la forme et le récit du Grand Mouvement, expérience filmique pleine de prodiges comme de promesses.