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25 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Sylvain Desclous signe un polar politique ambitieux et dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Dans «De grandes espérances» qui nous plonge dans les rouages du monde politique, la tension est palpable, et Rebecca Marder impressionne en héroïne complexe et ambigüe.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Rebecca Marder est épatante en jeune femme politique.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Rebecca Marder et Benjamin Lavernhe face à un choix majeur : assumer un drame ou changer le monde. L’idéalisme contre la réalité. Passionnant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Entre polar, drame social et film politique, Sylvain Desclous tire avec intelligence vers le haut du questionnement de l’exercice du pouvoir et de l’engagement.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un drame qui rejaillit alors qu’ils font carrière. Sylvain Desclous signe un thriller prenant porté par Rebecca Marder, impeccable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Entre coup de force romanesque et point de vue documenté, Sylvain Desclous ajoute une pierre à un cinéma français qui semble, depuis une dizaine d’années, avec plus ou moins de réussite, vouloir combler son retard sur le cinéma hollywoodien (lequel a entretemps démissionné sur le sujet) dans la représentation du monde politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
On a rarement vu un film aussi précis, aussi juste dans l’analyse impitoyable des mécanismes de survie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Entre thriller paranoïaque et portrait acide de protagonistes rattrapés par de dérangeants principes de réalité, Sylvain Desclous met en scène un film ambigu qui, à sa manière, jamais didactique, témoigne du climat social et idéologique de notre époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Rebecca Marder, lumineuse, porte le film grâce à un personnage de femme forte réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Le troisième film de Sylvain Desclous confronte une jeune idéaliste visant une carrière politique à un profond dilemme né d’un drame qu’elle a causé. L’examen de conscience, abordé sans pathos ni cynisme, fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Soazig Quéméner
Avec « De grandes espérances », le réalisateur Sylvain Desclous signe un long-métrage au charme vénéneux, construit comme une tragédie grecque autour de la trahison et du poids du passé.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Public
par Marie-Pierre Galinon
Ce thriller bien ficelé tient en haleine du début à la fin.
Transfuge
par Serge Kaganski
Soutenu par une écriture tendue et des comédiens topissimes, mixant thriller hitchcocko-chabrolien, scan des « élites » de notre pays et regard sur l’impuissance politique, le film de Sylvain Descloux montre comment la lutte des classes continue de travailler souterrainement la société française même si ce concept a disparu de notre vocabulaire.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
L’ambition, le mensonge, la trahison sont au cœur de ce thriller haletant sur les dessous de la politique, avec, en toile de fond, l’histoire récente de la gauche.
Télérama
par Guillemette Odicino
Rebecca Marder étincelle dans ce thriller.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
De grandes espérances est une œuvre politique et haletante qui résonne comme un roman à la façon d’Émile Zola où la lutte des classes convoque à bas bruit le désir d’amour et d’émancipation féminine.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Le suspense policier qui s’ébauche (...) s’efface devant le dilemme qui taraude l’étudiante, dont l’avenir politique dépend du mensonge et de la préservation du secret. Si la béquille scénaristique peut sembler un peu raide, le film n’en interroge pas moins avec justesse la dialectique vice privé/vertu publique à travers le portrait d’une protagoniste dont les convictions heurtent de front ses conditions de survie dans le sérail.
L'Humanité
par Michaël Melinard
Ce thriller feutré sur fond de lutte entre une transfuge de classe et un fils à papa charrie sans doute trop de thématiques (poids de l’héritage familial, influence de la politique dans le quotidien du citoyen, comment faire pour raviver la flamme de la gauche…) pour être complètement abouti. Reste un récit efficace, souvent haletant, porté par un duo de comédiens impeccables.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Sophie Grassin
Il y a de la modernité, de la nuance et de la tension dans ce portrait d’une jeunesse idéaliste rattrapée par le démon, où Rebecca Marder, en militante possédée par la noblesse de sa cause, justifie, une fois de plus, tout le bien qu’on pense d’elle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Néanmoins, une réalisation efficace conserve la tension du récit de bout en bout, avec le drame pour acmé.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Mais c’est surtout la jeune Rebecca Marder (vue chez Leclerc, Lvovsky, Ozon) qui impressionne dans la peau de Madeleine. De pratiquement tous les plans, elle rend crédible le déraillement progressif de cette transfuge de classe hantée par les différentes couches de son passé, sa perte de lucidité mais jamais de droiture.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
[Un] film parfaitement articulé entre thriller, peinture des élites et drame humain.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Cheze
Mais De Grandes espérances transcende le cadre du film politique. A travers le personnage passionnant de Madeleine (Rebecca Marder, encore impériale) qui rêve de mettre à mal le capitalisme par des marqueurs de gauche puissants, il raconte comment, passé un certain seuil, tous les coups peuvent être permis pour faire passer ses idées. Et quelques rebondissements trop capillotractés n’abiment jamais la tension qui le domine.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Tour à tour thriller ouaté, romance minée par un lourd secret, relation aux pères, exploration (réussie) des mœurs politiques et des élites, le film finit par se banaliser faute de choix.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Bande à part
Sylvain Desclous signe un polar politique ambitieux et dérangeant.
CNews
Dans «De grandes espérances» qui nous plonge dans les rouages du monde politique, la tension est palpable, et Rebecca Marder impressionne en héroïne complexe et ambigüe.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Rebecca Marder est épatante en jeune femme politique.
La Voix du Nord
Rebecca Marder et Benjamin Lavernhe face à un choix majeur : assumer un drame ou changer le monde. L’idéalisme contre la réalité. Passionnant.
Le Dauphiné Libéré
Entre polar, drame social et film politique, Sylvain Desclous tire avec intelligence vers le haut du questionnement de l’exercice du pouvoir et de l’engagement.
Le Figaro
Un drame qui rejaillit alors qu’ils font carrière. Sylvain Desclous signe un thriller prenant porté par Rebecca Marder, impeccable.
Le Monde
Entre coup de force romanesque et point de vue documenté, Sylvain Desclous ajoute une pierre à un cinéma français qui semble, depuis une dizaine d’années, avec plus ou moins de réussite, vouloir combler son retard sur le cinéma hollywoodien (lequel a entretemps démissionné sur le sujet) dans la représentation du monde politique.
Le Parisien
On a rarement vu un film aussi précis, aussi juste dans l’analyse impitoyable des mécanismes de survie.
Les Echos
Entre thriller paranoïaque et portrait acide de protagonistes rattrapés par de dérangeants principes de réalité, Sylvain Desclous met en scène un film ambigu qui, à sa manière, jamais didactique, témoigne du climat social et idéologique de notre époque.
Les Fiches du Cinéma
Rebecca Marder, lumineuse, porte le film grâce à un personnage de femme forte réjouissant.
Libération
Le troisième film de Sylvain Desclous confronte une jeune idéaliste visant une carrière politique à un profond dilemme né d’un drame qu’elle a causé. L’examen de conscience, abordé sans pathos ni cynisme, fait mouche.
Marianne
Avec « De grandes espérances », le réalisateur Sylvain Desclous signe un long-métrage au charme vénéneux, construit comme une tragédie grecque autour de la trahison et du poids du passé.
Public
Ce thriller bien ficelé tient en haleine du début à la fin.
Transfuge
Soutenu par une écriture tendue et des comédiens topissimes, mixant thriller hitchcocko-chabrolien, scan des « élites » de notre pays et regard sur l’impuissance politique, le film de Sylvain Descloux montre comment la lutte des classes continue de travailler souterrainement la société française même si ce concept a disparu de notre vocabulaire.
Télé 7 Jours
L’ambition, le mensonge, la trahison sont au cœur de ce thriller haletant sur les dessous de la politique, avec, en toile de fond, l’histoire récente de la gauche.
Télérama
Rebecca Marder étincelle dans ce thriller.
aVoir-aLire.com
De grandes espérances est une œuvre politique et haletante qui résonne comme un roman à la façon d’Émile Zola où la lutte des classes convoque à bas bruit le désir d’amour et d’émancipation féminine.
Cahiers du Cinéma
Le suspense policier qui s’ébauche (...) s’efface devant le dilemme qui taraude l’étudiante, dont l’avenir politique dépend du mensonge et de la préservation du secret. Si la béquille scénaristique peut sembler un peu raide, le film n’en interroge pas moins avec justesse la dialectique vice privé/vertu publique à travers le portrait d’une protagoniste dont les convictions heurtent de front ses conditions de survie dans le sérail.
L'Humanité
Ce thriller feutré sur fond de lutte entre une transfuge de classe et un fils à papa charrie sans doute trop de thématiques (poids de l’héritage familial, influence de la politique dans le quotidien du citoyen, comment faire pour raviver la flamme de la gauche…) pour être complètement abouti. Reste un récit efficace, souvent haletant, porté par un duo de comédiens impeccables.
L'Obs
Il y a de la modernité, de la nuance et de la tension dans ce portrait d’une jeunesse idéaliste rattrapée par le démon, où Rebecca Marder, en militante possédée par la noblesse de sa cause, justifie, une fois de plus, tout le bien qu’on pense d’elle.
La Croix
Néanmoins, une réalisation efficace conserve la tension du récit de bout en bout, avec le drame pour acmé.
Les Inrockuptibles
Mais c’est surtout la jeune Rebecca Marder (vue chez Leclerc, Lvovsky, Ozon) qui impressionne dans la peau de Madeleine. De pratiquement tous les plans, elle rend crédible le déraillement progressif de cette transfuge de classe hantée par les différentes couches de son passé, sa perte de lucidité mais jamais de droiture.
Paris Match
[Un] film parfaitement articulé entre thriller, peinture des élites et drame humain.
Première
Mais De Grandes espérances transcende le cadre du film politique. A travers le personnage passionnant de Madeleine (Rebecca Marder, encore impériale) qui rêve de mettre à mal le capitalisme par des marqueurs de gauche puissants, il raconte comment, passé un certain seuil, tous les coups peuvent être permis pour faire passer ses idées. Et quelques rebondissements trop capillotractés n’abiment jamais la tension qui le domine.
Le Journal du Dimanche
Tour à tour thriller ouaté, romance minée par un lourd secret, relation aux pères, exploration (réussie) des mœurs politiques et des élites, le film finit par se banaliser faute de choix.