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    Athena
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    2,6
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    520 critiques spectateurs

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    Flo2souss
    Flo2souss

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 septembre 2022
    Film plat, manichéen, sans saveur. Le scénario est couru d'avance. Bref, tout ce que le cinéma français politiquement correct sait faire.
    Weedoo
    Weedoo

    3 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 septembre 2022
    Des autralopithéques violents qui tentent de dialoguer dans un français très incertain pour résister à l'oppression des forces de l'ordre d'extrême droite.
    Piteuse tentative de faire de l'idéologie.
    ouadou
    ouadou

    83 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 septembre 2022
    Catastrophique. Succession de plans séquences montées comme des cascades, mais au final aucune mise en scène, aucune tension, c'est mollasson, surjoué et mal joué et d'une prétention aussi forte que le propos est niais.
    Rien à sauver dans ce clip sans saveur
    Lior T
    Lior T

    28 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 septembre 2022
    Film pas tres captivant , sans histoire , tres decue , encore un bide pour le cinema francais c'est vraiment dommage
    Cédric Z
    Cédric Z

    9 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 septembre 2022
    Ce film est juste une apologie de la racaille et du terrorisme. Une publicité pour les zones de non droit et l'état voyou.. Bref une honte
    Michouette
    Michouette

    1 abonné 13 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 septembre 2022
    C'est plutôt pas mal pendant 45 min bien qu'on ai le cliché de la cité et ses occupants. Et puis arrive la dernière partie qui est assez pauvre et sans intérèt. Pourquoi avoir mit un espèce de terroriste kamikaze qui au début est présenté comme un attardé et devient un genre de Carlos (le terroriste pas le chanteur de big bisous) ? Pas vraiment le film de l'année voir du siècle comme dirait Cinemateaser. L'exercice de style tourne vite en rond au bout du compte et finalement plutôt vain.
    David B.
    David B.

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 septembre 2022
    Esthétiquement c'est pas dégueulasse, les acteurs font le boulot mais scénario sans profondeur, clichés sur les banlieues ..
    Juste de la violence, les textes sont mauvais ça ne fait que hurler, c'est parfois inaudible .. C'est mauvais..
    Angelo
    Angelo

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 septembre 2022
    Outre une réalisation certes spectaculaire, certes, et pas du tout désagréable les 10 première minutes, elle révèle être finalement un écran des fumée qui se charge de masquer - avec beaucoup de réussite - le vide abyssal du film.

    Dialogue inexistants, personnage creux et clichés, les banlieusards sont encore une fois des sauvages à moitié illettrés qui tirent sur tout ce qui bouge, les policiers sont méchants et dépassés…. Sur un fond de chaos, Aucun message, aucune analyse. Si ça s’arrêtait là ça passerait encore …

    Mais je trouve limite ce film dangereux. Une approche totalement hors sujet d’un bobo qui fantasme les banlieues et qui passe complètement à côté.
    Se voulant être une fresque ou une tragédie grecque,

    Voilà surtout la « France » que nous dépeint zemmour, en image.

    Ce film est limite honteux en fait.
    Lolomc
    Lolomc

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 septembre 2022
    Très politiquement orienté, glorification des violences urbaines. Scénario inexistant et l'écriture des dialogues a dû prendre à tout casser une demi-heure et encore...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    688 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 septembre 2022
    Quand Gavras-père réalise Adults in the room (2019), il comprend fort justement l’essence de la tragédie antique : la présence d’un chœur, la construction du récit en détours qui finissent pourtant par converger vers un destin unique et collectif, et auquel les héros doivent se soumettre malgré leurs efforts, le recours aux coups de théâtre, les dilemmes rencontrés par les personnages. Quand Gavras-fils réalise Athena, il réduit la tragédie à un spectacle sur fond de mort qui se repaît du chaos environnant comme le faisait il y a peu Joker (Todd Phillips, 2019), l’adopte en terrain de jeu sur lequel se livrer à un exercice de style. La forme écrase tout : les enjeux politiques, la caractérisation des personnages et leurs relations, la montrée progressive mais inéluctable du tragique ; elle se galvanise des forces humaines en présence, elle les exploite pour alimenter sa machinerie infernale dans l’espoir, peut-être, d’atteindre l’abstraction, soit l’anarchie pure (soi-disant) coupée de tout discours social théorique, la « guerre civile » telle qu’elle est évoquée sur un écran de télévision et par les ondes.

    Pourtant, le film ne peut s’empêcher d’articuler son anarchie tragique avec une imagerie biblique qui oppose deux camps comme lors d’une guerre sainte, puisant autant dans la passion du Christ que dans l’Apocalypse, mais sans se soucier jamais de ce que ces images sacrées signifient. L’un des leaders des banlieusards en fureur mute en avatar du Christ aux cheveux longs que l’on couvre, à terme, d’un drap blanc… Ses larmes, volées par une caméra obscène, troquent la pudeur contre une motivation, sinon une légitimation des actions violentes entreprises avant et après. Gavras-fils confond compassion et complaisance, et voudrait partager avec ce long métrage une vision eschatologique du monde qui, faute de discernement et d’intelligence, se vautre dans la débauche d’effets gratuits. Il filme de la même façon, avec une même esthétisation galopante, un banlieusard en pleurs devant la photo de son frère et un gilet de police en feu. L’indifférence profonde qu’il manifeste à l’égard de ses personnages, réduits à leur simple ancrage familial sans que n’ait le temps d’advenir une malédiction – nous arrivons à l’acte V d’une pièce qui se joue sans public –, ne saurait faire d’eux des vecteurs d’identification et d’immersion pour le spectateur. En outre, ces fantoches interchangeables réduits à des cris, à des insultes, à des grognements échouent à être « l’incarnation d’un acte, d’une souffrance représentatives et caractéristiques d’un des grands aspects de l’humanité » (Hakim Adel, « La statufication du personnage dans la tragédie grecque », 1992), conformément au statut du personnage de tragédie et à la différence de l’excellent Les Misérables (Ladj Ly, 2019).

    Athena s’affirme donc tel un beau son et lumière que dynamisent des caméras et synchronisation minutieuse des acteurs et des lieux, telle une comédie musicale à la composition pompière qui tente de conférer à l’ensemble de la gravité par un mélange d’électronique et de chœurs. Un film qui n’est en rien un scandale, sinon pour le nom de Gavras et pour le cinéma au sein duquel le rejeton tente encore de trouver une place.
    Amber T
    Amber T

    4 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2022
    Affligeant !! Successions de vociférations et d'insultes à en donner mal aux oreilles. Une énième victimisation et glorification de la banlieue violente. Marre de ce genre de film. En lisant les critiques de la presse,je m'attendais à un chef-d'œuvre, mon dieu !!! Un pur navet caricatural au possible, les dialogues sont creux (majoritairement des insultes à tout bout de champ) les acteurs pas franchement convaincants et un scénario qui frôle la débilité.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 209 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 septembre 2022
    Une cité d’un quartier populaire s’embrasse lorsque le jeune Idir décède des suites d’une prétendue intervention de police. A feu et à sang, tous les jeunes du quartier se liguent contre les forces de l’ordre. La fratrie se déchire alors sous nos yeux, le grand frère Abdel doit jongler entre les envies de vengeance et de meurtre de Karim le petit frère et de l’autre, le business de Moktar, le cadet, préférant privilégier son deal de shit plutôt que de prendre fait et cause pour son frère disparu…

    Une fois n’est pas coutume, Romain Gavras ne laisse pas indifférent en transformant une cité populaire en tragédie grecque (dont le titre fait référence), en nous entraînant au cœur d’une guerre entre jeunes de cité et CRS.

    Ce que l’on retiendra le plus ici, c’est la façon avec laquelle le réalisateur aura su transformer sa cité Athena en une sorte de château fort, avec les jeunes se barricadant sur la dalle, face aux forces de l’ordre en contre-bas. Mortiers, feux d’artifice, frigidaires, caddies, véhicules embrasés, tout est bon pour foutre le "zbeul", entraînés, voir gangrénés par Karim, tous les jeunes du quartier se transforment en animaux assoiffés non plus vengeance mais de meurtre. La mise en scène s’avère brillante, les (vrais ou faux) plans-séquence y sont légion, les panoramiques, les plans aériens ou depuis une grue, viennent magnifier chaque recoin de cette lugubre cité. Le film a été tourné à la "dalle du Parc aux Lièvres", un quartier historique d’Évry-Courcouronnes (en pleine mutation, la cité au moment du tournage était déjà inhabitée en vue de sa démolition).

    90min durant lesquelles le réalisateur nous entraîne dans un chaos généralisé & spatialisé sur une seule et même unité de lieu (la cité) et sur une seule temporalité (l’espace d’une journée). Spectaculaire visuellement parlant, clairement on en prend plein les yeux pendant 90min, 500 figurants sur le terrain qui se seront entraînés pendant un mois ½, le résultat s’avère réellement bluffant. Mais à trop vouloir esthétiser la violence, le réalisateur en oublie l’écriture et le développement de certains personnages (le personnage de Moktar, Sébastien revenu du Djihad ou encore le revirement soudain d’Abdel).

    Enfin, que dire de la place de la femme dans film ? Elles ne sont que deux en tout et pour tout, la mère et la sœur, quasi inexistantes dans ce monde d’hommes, régit par les hommes et écrasées par le patriarcat. Reléguées au second plan, il faut ouvrir l’œil et le bon si l’on veut tenter de les apercevoir, serait-ce un fantasme ou la réalité du monde des cités ?

    Cette tragédie familiale vaut le coup d’œil ne serait-ce que pour sa mise en scène virtuose et d’excellents interprètes (dont Dali Benssalah), le tout, superbement accompagné par une bande son signée Gener8ion (et notamment le remix des Princes de la ville).

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    David C.
    David C.

    5 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 octobre 2022
    La planet des singes versions cité c est une glorification de la sauvagerie c est consternant
    Cela donne une mauvais images des arabes et des noirs.
    On est pas au usa la police fait son job il y a des accidents et la ça part en guerre ridicule ce film c est le film la haine version nul
    Guillaume Charpin
    Guillaume Charpin

    15 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 septembre 2022
    Romain Gavras nous a livré un film spectaculaire, brillant, d'une étonnante et même parfois époustouflante maîtrise esthétique.
    Il ne s'y trouve aucun cliché du genre et toute comparaison me semble malvenue, tant ce film brille de mille feux par son authentique et artistique singularité.
    -Gemini-
    -Gemini-

    14 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 novembre 2022
    Mal filmé, avec un scénario écrit par un enfant de 12 ans, des dialogue tout aussi peu inspirés... a éviter.
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