Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Un spectacle aussi prenant que déchirant. Du grand cinéma, tout simplement.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Romain Gavras livre une grande tragédie sur la colère et la guerre. Un choc esthétique où les images racontent ce que les mots peinent à expliquer.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
GQ
par Adam Sanchez
Dire qu’Athena est une prouesse relève de l’euphémisme. C’est un film comme on en voit peu dans une vie de spectateur, qui ne s’interdit rien et prend tous les sujets qu’il aborde à bras le corps.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Parisien
par Catherine Balle
Le réalisateur signe un film épique, à la mise en scène flamboyante, conçu comme une tragédie grecque.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
LCI
par Jérôme Vermelin
Entre western urbain et drame familial, le réalisateur Romain Gavras signe un film hybride, à la fois spectaculaire et intimiste.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le fils de Costa-Gavras fait l’étalage d’une virtuosité ostentatoire et ébouriffante (longs plans-séquences, effets pyrotechniques, chorégraphies des mouvements de foule, impression de temps réel…) qui éloigne le film [...] de l’étude sociale naturaliste pour lui conférer une dimension opératique flirtant avec l’abstraction.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le récit, régi par une unité de lieu et de temps, enchaîne les plans-séquences virtuoses pour restituer le chaos avec une puissance et une fureur rares.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Paris Match
par Benjamin Locoge
Romain Gavras s’impose in fine comme un lanceur d’alertes : il est facile pour un pays tout entier de tomber dans des pièges grossiers et de sombrer dans la folie destructrice. Le cinéma nous le rappelle ici, tel un coup de poing dans la face d’une nation au bord d’implosion.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Un film puissant, dont les scènes d’émeutes et de chaos coupent le souffle.
Télé Loisirs
par Camille Brun
Un film coup-de-poing d'une rare maîtrise esthétique, qui s'avère aussi terriblement émouvant.
Télérama
par Sébastien Mauge
POUR : Uppercut et film sensoriel étourdissant (non dénué de quelques maniérismes « clipesques » par endroits), Athena est animé d’une vraie pulsion de cinéma et joue brillamment la carte du film de genre en proposant la version éclatante d’une sorte de western urbain à la John Carpenter (Assaut, New York 1997).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
En adoptant un niveau d’exigence formel exceptionnel, Gavras réussit un film qui émeut autant qu’il impressionne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Techniquement impeccable et visuellement sidérant, Athena déploie une ampleur de mise en scène folle et précieuse. Dommage que sur l'autel du grand spectacle, Romain Gavras et ses coscénaristes sacrifient la force de leurs personnages et la pertinence de leur discours.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par N. S.
Imagerie sulpicienne, chœurs grégoriens synthétiques et plans-séquences ahurissants : son style coup de poing ne fait pas dans la nuance, sa dialectique est parfois manipulatrice mais sa force cinématographique, non exempte d’humour et même de poésie, et le constat sont ravageurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Gael Golhen
Les stéréotypes (sur les fils d’immigrés, la radicalisation, les flics, les jeunes) sont écartés, et, en brouillant tous les repères, Gavras finit par toucher une forme d’abstraction théâtrale puissante. Mais si son portrait de frangins insurgés joue sur cette radicalité, il en constitue sa limite aussi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Elle
par S.R.
Une esbroufe filmique sur grand écran qui risque de devenir tristement caricaturale sur le petit écran Netflix. Dommage...
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Trop de violence y est mis au service de la seule ivresse spectaculaire. Trop de questions y sont laissées sans réponse. Trop de contours à l’emporte-pièce y définissent les caractères.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par François Cau
Athena pense pouvoir s'en tirer à bon compte et sidérer tranquillement grâce à la mise en scène du chaos et au charisme monumental de Dali Benssalah et Sami Slimane. Dans la somme de ses non-dits, de ses ellipses et des comportements erratiques de ses personnages, le film laisse néanmoins un boulevard ouvert à sa cooptation par les forces mêmes qu'il prétend dénoncer.
Positif
par Bernard Génin
[...] techniquement brillant [...]. Mais on est plus près du brûlot incendiaire gratuit et simpliste que de l’analyse sérieuse par un cinéaste venu du terrain, tel Ladj Ly, pourtant coscénariste.
Critikat.com
par Corentin Lê
Gavras se retrouve à maquiller les failles de son édifice brinquebalant à grands renforts de fumigènes et de pirouettes scénaristiques, jusqu’à un dernier tiers tout bonnement aberrant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Sans recul politique sur l’imaginaire qu’il convoque, Athena sacrifie tout à l’esthétique. (...) Si certains fantasment une guerre civile, Romain Gavras leur en fournit, à son corps défendant, les images.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Charlotte de Frémont
Pourtant salué par certaines critiques enthousiastes à La Mostra de Venise, le nouveau long métrage de Romain Gavras, exclusivement disponible sur Netflix à partir de ce vendredi 23 septembre, ne convainc pas.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen << Athena >>, de Romain Gavras, disponible depuis le 23 novembre sur Netflix.
Athena s'enferme dans cette ambiguïté inhérente au film politique qui se retourne contre son auteur engagé sur un terrain glissant et qui n'a rien à nous dire. Il ne reste plus alors qu'une explosion d'images, de fumigènes et d'effets spéciaux dépourvus de sens.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Si Gavras revendique de se placer sous l’égide de la tragédie antique (rien que ça), il a en réalité plus à voir avec l’imagerie des pubs de paris en ligne qu’avec une quelconque tradition dramatique d’ancienne noblesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Déluge de violence stylisée, personnages inexistants… Romain Gavras assomme le spectateur avec une désinvolture politique qui force l’irrespect.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Samuel Douhaire
CONTRE : Si Athena s’était terminé sur la dernière image du phénoménal plan-séquence qui ouvre le film, on aurait crié au chef-d’œuvre. Le problème est que les quatre-vingt-dix minutes qui suivent ce tour de force technique, si impressionnantes dans la forme soient-elles, se révèlent particulièrement embarrassantes sur le fond.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Un spectacle aussi prenant que déchirant. Du grand cinéma, tout simplement.
CinemaTeaser
Romain Gavras livre une grande tragédie sur la colère et la guerre. Un choc esthétique où les images racontent ce que les mots peinent à expliquer.
GQ
Dire qu’Athena est une prouesse relève de l’euphémisme. C’est un film comme on en voit peu dans une vie de spectateur, qui ne s’interdit rien et prend tous les sujets qu’il aborde à bras le corps.
Le Parisien
Le réalisateur signe un film épique, à la mise en scène flamboyante, conçu comme une tragédie grecque.
LCI
Entre western urbain et drame familial, le réalisateur Romain Gavras signe un film hybride, à la fois spectaculaire et intimiste.
La Voix du Nord
Le fils de Costa-Gavras fait l’étalage d’une virtuosité ostentatoire et ébouriffante (longs plans-séquences, effets pyrotechniques, chorégraphies des mouvements de foule, impression de temps réel…) qui éloigne le film [...] de l’étude sociale naturaliste pour lui conférer une dimension opératique flirtant avec l’abstraction.
Le Journal du Dimanche
Le récit, régi par une unité de lieu et de temps, enchaîne les plans-séquences virtuoses pour restituer le chaos avec une puissance et une fureur rares.
Paris Match
Romain Gavras s’impose in fine comme un lanceur d’alertes : il est facile pour un pays tout entier de tomber dans des pièges grossiers et de sombrer dans la folie destructrice. Le cinéma nous le rappelle ici, tel un coup de poing dans la face d’une nation au bord d’implosion.
Télé 7 Jours
Un film puissant, dont les scènes d’émeutes et de chaos coupent le souffle.
Télé Loisirs
Un film coup-de-poing d'une rare maîtrise esthétique, qui s'avère aussi terriblement émouvant.
Télérama
POUR : Uppercut et film sensoriel étourdissant (non dénué de quelques maniérismes « clipesques » par endroits), Athena est animé d’une vraie pulsion de cinéma et joue brillamment la carte du film de genre en proposant la version éclatante d’une sorte de western urbain à la John Carpenter (Assaut, New York 1997).
aVoir-aLire.com
En adoptant un niveau d’exigence formel exceptionnel, Gavras réussit un film qui émeut autant qu’il impressionne.
Ecran Large
Techniquement impeccable et visuellement sidérant, Athena déploie une ampleur de mise en scène folle et précieuse. Dommage que sur l'autel du grand spectacle, Romain Gavras et ses coscénaristes sacrifient la force de leurs personnages et la pertinence de leur discours.
L'Obs
Imagerie sulpicienne, chœurs grégoriens synthétiques et plans-séquences ahurissants : son style coup de poing ne fait pas dans la nuance, sa dialectique est parfois manipulatrice mais sa force cinématographique, non exempte d’humour et même de poésie, et le constat sont ravageurs.
Première
Les stéréotypes (sur les fils d’immigrés, la radicalisation, les flics, les jeunes) sont écartés, et, en brouillant tous les repères, Gavras finit par toucher une forme d’abstraction théâtrale puissante. Mais si son portrait de frangins insurgés joue sur cette radicalité, il en constitue sa limite aussi.
Elle
Une esbroufe filmique sur grand écran qui risque de devenir tristement caricaturale sur le petit écran Netflix. Dommage...
Le Monde
Trop de violence y est mis au service de la seule ivresse spectaculaire. Trop de questions y sont laissées sans réponse. Trop de contours à l’emporte-pièce y définissent les caractères.
Mad Movies
Athena pense pouvoir s'en tirer à bon compte et sidérer tranquillement grâce à la mise en scène du chaos et au charisme monumental de Dali Benssalah et Sami Slimane. Dans la somme de ses non-dits, de ses ellipses et des comportements erratiques de ses personnages, le film laisse néanmoins un boulevard ouvert à sa cooptation par les forces mêmes qu'il prétend dénoncer.
Positif
[...] techniquement brillant [...]. Mais on est plus près du brûlot incendiaire gratuit et simpliste que de l’analyse sérieuse par un cinéaste venu du terrain, tel Ladj Ly, pourtant coscénariste.
Critikat.com
Gavras se retrouve à maquiller les failles de son édifice brinquebalant à grands renforts de fumigènes et de pirouettes scénaristiques, jusqu’à un dernier tiers tout bonnement aberrant.
L'Humanité
Sans recul politique sur l’imaginaire qu’il convoque, Athena sacrifie tout à l’esthétique. (...) Si certains fantasment une guerre civile, Romain Gavras leur en fournit, à son corps défendant, les images.
La Croix
Pourtant salué par certaines critiques enthousiastes à La Mostra de Venise, le nouveau long métrage de Romain Gavras, exclusivement disponible sur Netflix à partir de ce vendredi 23 septembre, ne convainc pas.
Le Point
Athena s'enferme dans cette ambiguïté inhérente au film politique qui se retourne contre son auteur engagé sur un terrain glissant et qui n'a rien à nous dire. Il ne reste plus alors qu'une explosion d'images, de fumigènes et d'effets spéciaux dépourvus de sens.
Les Inrockuptibles
Si Gavras revendique de se placer sous l’égide de la tragédie antique (rien que ça), il a en réalité plus à voir avec l’imagerie des pubs de paris en ligne qu’avec une quelconque tradition dramatique d’ancienne noblesse.
Libération
Déluge de violence stylisée, personnages inexistants… Romain Gavras assomme le spectateur avec une désinvolture politique qui force l’irrespect.
Télérama
CONTRE : Si Athena s’était terminé sur la dernière image du phénoménal plan-séquence qui ouvre le film, on aurait crié au chef-d’œuvre. Le problème est que les quatre-vingt-dix minutes qui suivent ce tour de force technique, si impressionnantes dans la forme soient-elles, se révèlent particulièrement embarrassantes sur le fond.