Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Film éprouvant, se repaissant parfois un peu trop de la lourdeur de son ambiance, Comme le feu reste néanmoins un très bon film choral faisant des failles de ses personnages des précipices par la force de sa mise en scène et de sa direction d’acteurs pourtant inégaux, Aurélia Arandi-Longpré, Paul Ahmaradi et Arieh Worthalter dominant le reste d’une distribution correcte, mais un peu en deça.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une œuvre à combustion lente.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Dans une réalisation qui exploite à fond les décors, forêts inquiétantes, cours d'eau tumultueux, chalet cosy, Philippe Lesage met en scène les sentiments et ressentiments des uns et des autres, à la manière d'une tragédie grecque.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Après les remarquables Les Démons et Genèse, Philippe Lesage confirme qu’il est l’un des meilleurs cinéastes canadiens.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Marivaudages, mesquineries et règlements de comptes dans la nature sauvage des forêts canadiennes. Un film dérangeant, à la tension palpable.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le face-à-face entre Paul Ahmarani et Arieh Worthalter (César du meilleur acteur pour Le Procès Goldman) est d'une vérité brute renversante.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Dans une nature splendide d’où il semble impossible de s’échapper et dont il tire habilement parti, Philippe Lesage orchestre un huis clos tendu pour explorer les passions humaines, des batailles d’égos des adultes aux premiers feux adolescents, en passant par la déception et la colère que les seconds peuvent éprouver pour les premiers après les avoir admirés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
En trois repas, et trois nuits, Philippe Lesage filme en plans-séquences la grande machine humaine qui déraille et vacille, l’ego des adultes empêchant tout espoir de sortie du tunnel.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Florence Colombani
Talent majeur du cinéma canadien découvert avec Les Démons (2015), Philippe Lesage orchestre son huis clos avec une étonnante virtuosité de mise en scène.
Télé 2 semaines
par C.B.
Porté par des comédiens épatants (dont Arieh Worthalter) et filmé en longs plans qui mettent en valeur les dialogues, voici un petit théâtre des vanités aussi cruel que profond. Une jolie surprise.
Télérama
par Guillemette Odicino
Arieh Worthalter et Paul Ahmarani fascinent par leur talent d’improvisation dans ce nouveau long-métrage de Philippe Lesage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Petit théâtre de la cruauté du monde des adultes et de la fragilité de l’adolescence, Comme le feu est d’une franche réussite. Un film qui vous saisit le corps et le cœur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Philippe Lesage, lui aussi, essaie d’articuler l’épanchement de la parole à la beauté de la nature, sauvage et indifférente, s’aventurant même à la lisière du fantastique.
La Croix
par La rédaction
Entre parties de pêche et de chasse virilistes orchestrées dans une nature sauvage, et des scènes intimistes de dîners où fusent les règlements de compte, le réalisateur québécois Philippe Lesage signe une comédie de mœurs à l’atmosphère inquiétante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Malgré un rythme inégal et des personnages secondaires peu consistants, le réalisateur sait soigner la tension dramatique aux moments-clés.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
Avec cet ambigu jeu de massacre entre amis dans un chalet en pleine nature, le cinéaste québécois intrigue, mais peine à assumer la part de comédie du film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Fabien Baumann
Trois heures à observer des personnages bien filmés, bien joués, tous parfaitement désagréables.
Première
par Damien Leblanc
Alors que ce portrait des désillusions d’une génération quinquagénaire pourrait sembler cynique, il est aussi traversé par un souffle quasi mystique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Marin Gérard
Derrière l’analyse des pulsions masculines, l’inspiration du film se révèle justement viriliste : dans le scénario, comme dans la mise en scène et le jeu des interprètes, tout vise la performance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
Film éprouvant, se repaissant parfois un peu trop de la lourdeur de son ambiance, Comme le feu reste néanmoins un très bon film choral faisant des failles de ses personnages des précipices par la force de sa mise en scène et de sa direction d’acteurs pourtant inégaux, Aurélia Arandi-Longpré, Paul Ahmaradi et Arieh Worthalter dominant le reste d’une distribution correcte, mais un peu en deça.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une œuvre à combustion lente.
Franceinfo Culture
Dans une réalisation qui exploite à fond les décors, forêts inquiétantes, cours d'eau tumultueux, chalet cosy, Philippe Lesage met en scène les sentiments et ressentiments des uns et des autres, à la manière d'une tragédie grecque.
L'Obs
Après les remarquables Les Démons et Genèse, Philippe Lesage confirme qu’il est l’un des meilleurs cinéastes canadiens.
La Voix du Nord
Marivaudages, mesquineries et règlements de comptes dans la nature sauvage des forêts canadiennes. Un film dérangeant, à la tension palpable.
Le Dauphiné Libéré
Le face-à-face entre Paul Ahmarani et Arieh Worthalter (César du meilleur acteur pour Le Procès Goldman) est d'une vérité brute renversante.
Le Journal du Dimanche
Dans une nature splendide d’où il semble impossible de s’échapper et dont il tire habilement parti, Philippe Lesage orchestre un huis clos tendu pour explorer les passions humaines, des batailles d’égos des adultes aux premiers feux adolescents, en passant par la déception et la colère que les seconds peuvent éprouver pour les premiers après les avoir admirés.
Le Monde
En trois repas, et trois nuits, Philippe Lesage filme en plans-séquences la grande machine humaine qui déraille et vacille, l’ego des adultes empêchant tout espoir de sortie du tunnel.
Le Point
Talent majeur du cinéma canadien découvert avec Les Démons (2015), Philippe Lesage orchestre son huis clos avec une étonnante virtuosité de mise en scène.
Télé 2 semaines
Porté par des comédiens épatants (dont Arieh Worthalter) et filmé en longs plans qui mettent en valeur les dialogues, voici un petit théâtre des vanités aussi cruel que profond. Une jolie surprise.
Télérama
Arieh Worthalter et Paul Ahmarani fascinent par leur talent d’improvisation dans ce nouveau long-métrage de Philippe Lesage.
aVoir-aLire.com
Petit théâtre de la cruauté du monde des adultes et de la fragilité de l’adolescence, Comme le feu est d’une franche réussite. Un film qui vous saisit le corps et le cœur.
Cahiers du Cinéma
Philippe Lesage, lui aussi, essaie d’articuler l’épanchement de la parole à la beauté de la nature, sauvage et indifférente, s’aventurant même à la lisière du fantastique.
La Croix
Entre parties de pêche et de chasse virilistes orchestrées dans une nature sauvage, et des scènes intimistes de dîners où fusent les règlements de compte, le réalisateur québécois Philippe Lesage signe une comédie de mœurs à l’atmosphère inquiétante.
Les Fiches du Cinéma
Malgré un rythme inégal et des personnages secondaires peu consistants, le réalisateur sait soigner la tension dramatique aux moments-clés.
Libération
Avec cet ambigu jeu de massacre entre amis dans un chalet en pleine nature, le cinéaste québécois intrigue, mais peine à assumer la part de comédie du film.
Positif
Trois heures à observer des personnages bien filmés, bien joués, tous parfaitement désagréables.
Première
Alors que ce portrait des désillusions d’une génération quinquagénaire pourrait sembler cynique, il est aussi traversé par un souffle quasi mystique.
Critikat.com
Derrière l’analyse des pulsions masculines, l’inspiration du film se révèle justement viriliste : dans le scénario, comme dans la mise en scène et le jeu des interprètes, tout vise la performance.