Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
La provocation de ce nouveau film de Denis Côté ne tient pourtant pas au fait de montrer des femmes s’adonnant à des fantasmes que d’aucuns jugeraient dégradants – fellations en chaîne, shibari… –, mais avant tout au refus des codes de la dramaturgie, qui voudraient qu’une histoire suive une progression conduisant à un dénouement.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Il s'agit sans conteste d'une œuvre audacieusement radicale, de celle qui laisse perplexe avant de s'infiltrer durablement et en toute clandestinité dans l'esprit de celui qui la voit. Et le film, en fin de compte, d'utiliser sa pesanteur pour aborder ce motif capital […] du cinéma de Côté qu'est la profonde solitude des humains passée au révélateur de la retraite bucolique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Libération
par Luc Chessel
A la fin, on ne sait pas exactement ce qu’on a vu, ce qu’on a vraiment bien entendu, de clair ou même d’équivoque, mais on a séjourné avec quelques personnes qui se demandent ce qu’elles désirent, comment faire avec le désir, ce qui est au fond la question qu’il vaut la peine de se poser.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Denis Côté dessine un portrait délicat et rugueux où l'effet miroir pousse le spectateur à questionner les ressorts de sa propre libido.
CinemaTeaser
par Thomas Destouches
Un film à la vision juste mais frustrante.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Un été comme ça aborde la sexualité d’une manière renvoyant à un passé désormais lointain du cinéma, une époque où celle-ci était examinée frontalement et pas obligatoirement considérée comme infernale. C’est néanmoins un film bien de son temps (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Le film décrit avec justesse ce qu’est la cohabitation d’un groupe privé de ses habitudes et comment par la force des échanges il parvient à se surpasser.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Denis Côté brille par sa manière à parler de sexe dans un ping-pong verbal permanent qu'il se révèle, hélas, moins à l'aise à mettre en images.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un voyage original et respectueux dans l’intimité contrariée de la sexualité féminine. Denis Côté offre un film résolument engagé en faveur d’une émancipation féminine assumée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Paradoxalement, le film n’a pas grand-chose à dire, hormis une succession de poncifs. Empathique mais un peu vain, il doit beaucoup à ses comédiennes inspirées.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Bavard, long et superficiel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Mais à l’inverse du cinéma d’un Abdel Kechiche qui fonctionne sur un certain épuisement en faisant des dialogues un moteur – lui, inépuisable - de sa narration, ce ping-pong permanent peine ici à tenir la distance.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par L.S.
S'il a le mérite d'aborder un sujet tabou, le Québécois Denis Côté arrive à une sorte de docu-fiction bancal qui entend n'apporter aucune réponse sur ces femmes qu'il filme maladroitement comme des animaux blessés.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
L’emballage chic et toc, interminablement bavard et pseudo intellectuel, ne fait guère effet, masquant mal le regard ambigu d’un réalisateur observant de manière oblique des bouffées de désir féminin. Fantasmes qui sont ceux d’un mâle alpha et hétéro.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
La provocation de ce nouveau film de Denis Côté ne tient pourtant pas au fait de montrer des femmes s’adonnant à des fantasmes que d’aucuns jugeraient dégradants – fellations en chaîne, shibari… –, mais avant tout au refus des codes de la dramaturgie, qui voudraient qu’une histoire suive une progression conduisant à un dénouement.
Culturopoing.com
Il s'agit sans conteste d'une œuvre audacieusement radicale, de celle qui laisse perplexe avant de s'infiltrer durablement et en toute clandestinité dans l'esprit de celui qui la voit. Et le film, en fin de compte, d'utiliser sa pesanteur pour aborder ce motif capital […] du cinéma de Côté qu'est la profonde solitude des humains passée au révélateur de la retraite bucolique.
Libération
A la fin, on ne sait pas exactement ce qu’on a vu, ce qu’on a vraiment bien entendu, de clair ou même d’équivoque, mais on a séjourné avec quelques personnes qui se demandent ce qu’elles désirent, comment faire avec le désir, ce qui est au fond la question qu’il vaut la peine de se poser.
Marie Claire
Denis Côté dessine un portrait délicat et rugueux où l'effet miroir pousse le spectateur à questionner les ressorts de sa propre libido.
CinemaTeaser
Un film à la vision juste mais frustrante.
Le Monde
Un été comme ça aborde la sexualité d’une manière renvoyant à un passé désormais lointain du cinéma, une époque où celle-ci était examinée frontalement et pas obligatoirement considérée comme infernale. C’est néanmoins un film bien de son temps (...).
Les Inrockuptibles
Le film décrit avec justesse ce qu’est la cohabitation d’un groupe privé de ses habitudes et comment par la force des échanges il parvient à se surpasser.
Ouest France
Denis Côté brille par sa manière à parler de sexe dans un ping-pong verbal permanent qu'il se révèle, hélas, moins à l'aise à mettre en images.
aVoir-aLire.com
Un voyage original et respectueux dans l’intimité contrariée de la sexualité féminine. Denis Côté offre un film résolument engagé en faveur d’une émancipation féminine assumée.
Le Journal du Dimanche
Paradoxalement, le film n’a pas grand-chose à dire, hormis une succession de poncifs. Empathique mais un peu vain, il doit beaucoup à ses comédiennes inspirées.
Les Fiches du Cinéma
Bavard, long et superficiel.
Première
Mais à l’inverse du cinéma d’un Abdel Kechiche qui fonctionne sur un certain épuisement en faisant des dialogues un moteur – lui, inépuisable - de sa narration, ce ping-pong permanent peine ici à tenir la distance.
Voici
S'il a le mérite d'aborder un sujet tabou, le Québécois Denis Côté arrive à une sorte de docu-fiction bancal qui entend n'apporter aucune réponse sur ces femmes qu'il filme maladroitement comme des animaux blessés.
L'Obs
L’emballage chic et toc, interminablement bavard et pseudo intellectuel, ne fait guère effet, masquant mal le regard ambigu d’un réalisateur observant de manière oblique des bouffées de désir féminin. Fantasmes qui sont ceux d’un mâle alpha et hétéro.