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Votre avis sur Les Cyclades ?
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Un film tellement chouette, léger et qui fait du bien, une bouffée d'air frais, tellement de lumière, une échappée belle pleine de mélancolie, de joie, de tendresse, d'émotions, d'imprévu et d'espoir aussi (rien n'est figé dans cette vie, on peut toujours décider de changer, de tout changer...) qui nous fait oublier pendant presque 2h ce monde et cette réalité parfois tellement déprimants... Profiter de l'instant présent, accepter que l'on ne peut pas tout contrôler (et finalement c'est parfois tant mieux), ça nous fait prendre des chemins auxquels on n'aurait pas pensé, ne jamais se retourner sur le passé qui n'est plus, ne pas s'oublier, ne pas s'empêcher, Vivre...
Jorik V
Commençons par un constat qui n’a certes peut-être pas grand-chose à voir avec le cinéma mais qui contribue au plaisir de la séance : on peut dire en effet que ce long-métrage arrive à point nommé pour nous ensoleiller en cette fin d’hiver et avant l’arrivée des beaux jours. « Les Cyclades » se situent en toute logique dans les îles éponymes et nous gorge donc de soleil durant près de deux heures et cela fait un bien fou au moral. Surtout que Marc Fitoussi filme plutôt bien les paysages de ce chapelet d’îles mythique et parvient à les mettre en valeur, sans tomber dans le guide ou la promotion touristique, comme il l’avait très bien fait pour les plages brésiliennes dans son génial (et meilleur film) « Copacabana » avec Isabelle Huppert. Certes on aurait aimé en voir plus mais ce n’est pas le sujet du film. En revanche, dommage que le cinéaste ait autant de mal à se départir de sa mise en scène paresseuse et tout juste illustrative qui fait toujours ressembler ses (la plupart du temps) bons films à des téléfilms de luxe. Mais on commence à avoir l’habitude de chercher les qualités de la filmographie de Fitoussi ailleurs que sur la forme...
On pourra reprocher pas mal d’autres petits défauts au nouveau film du cinéaste qui retourne à la comédie après un passage assez réussi au thriller avec « Les Apparences ». Par exemple, hormis une ou deux répliques amusantes et une séquence qui prête à rire, « Les Cyclades » n’est pas véritablement drôle. Il peut se voir davantage comme une chronique sur l’amitié ou un feel-good movie au féminin, mais en ce qui concerne les éclats de rire et les situations comiques il est certain que ce ne sont clairement pas les qualités premières de cette œuvre. Ensuite, le film patine un peu dans sa seconde partie et aurait dû subir plus de coupes au montage. Heureusement, l’arrivée et l’abattage de Kristin Scott Thomas en expatriée et artiste baba-cool vient pimenter la petite chute de rythme se ressentant sur la fin. Il faut avouer également que les deux rôles principaux, bâtis sur le principe des contraires cher à la comédie, frôlent un peu la caricature dans leur écriture. La coincée, chiante et carrée contre l’hédoniste, insouciante et inconséquente : c’est un peu cliché.
Heureusement, ce sont les excellentes Olivia Côte et Laure Calamy qui les incarnent avec le talent et la prestance qu’on leur connaît. Et l’inversion des rôles aurait pu également être tout à fait possible, preuve de la facilité avec laquelle ces deux comédiennes entrent dans un personnage. Le scénario et les dialogues sont bien mieux écrits que les rôles titres et ils réservent quelques surprises rendant « Les Cyclades » moins programmatique et léger que ce que l’on en pensait. La bonne humeur générale, les paysages et les pérégrinations de ces deux anciennes amies nous font passer un bon moment de détente, plaisant et sans accroc. Rien d’inoubliable ici, d’ailleurs c’est peut-être l’un des films les plus faibles et moins mémorables de son auteur, mais on y passe un bon moment de détente qui dépayse et change les idées.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
On pourra reprocher pas mal d’autres petits défauts au nouveau film du cinéaste qui retourne à la comédie après un passage assez réussi au thriller avec « Les Apparences ». Par exemple, hormis une ou deux répliques amusantes et une séquence qui prête à rire, « Les Cyclades » n’est pas véritablement drôle. Il peut se voir davantage comme une chronique sur l’amitié ou un feel-good movie au féminin, mais en ce qui concerne les éclats de rire et les situations comiques il est certain que ce ne sont clairement pas les qualités premières de cette œuvre. Ensuite, le film patine un peu dans sa seconde partie et aurait dû subir plus de coupes au montage. Heureusement, l’arrivée et l’abattage de Kristin Scott Thomas en expatriée et artiste baba-cool vient pimenter la petite chute de rythme se ressentant sur la fin. Il faut avouer également que les deux rôles principaux, bâtis sur le principe des contraires cher à la comédie, frôlent un peu la caricature dans leur écriture. La coincée, chiante et carrée contre l’hédoniste, insouciante et inconséquente : c’est un peu cliché.
Heureusement, ce sont les excellentes Olivia Côte et Laure Calamy qui les incarnent avec le talent et la prestance qu’on leur connaît. Et l’inversion des rôles aurait pu également être tout à fait possible, preuve de la facilité avec laquelle ces deux comédiennes entrent dans un personnage. Le scénario et les dialogues sont bien mieux écrits que les rôles titres et ils réservent quelques surprises rendant « Les Cyclades » moins programmatique et léger que ce que l’on en pensait. La bonne humeur générale, les paysages et les pérégrinations de ces deux anciennes amies nous font passer un bon moment de détente, plaisant et sans accroc. Rien d’inoubliable ici, d’ailleurs c’est peut-être l’un des films les plus faibles et moins mémorables de son auteur, mais on y passe un bon moment de détente qui dépayse et change les idées.
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À voir entre amies. Film amusant et décontracté. Fait aussi réfléchir sur soi même et la vue que l'on peut porter sur l'autre.
Inspirant, émouvant. On ressort émerveillé et motivé (et avec aussi une envie de partir en grèce immédiatement...).
j'ai adoré cette histoire d'amitié féminine, faite de doutes, de non-dits, d'incompréhension mais de beaucoup d'amour.
Les 3 actrices sont époustouflantes, toutes les 3 dans une partition très différente mais ce mélange de 3 caractères, de 3 forces et de toutes leurs failles les rendent tellement touchantes.
Les 3 actrices sont époustouflantes, toutes les 3 dans une partition très différente mais ce mélange de 3 caractères, de 3 forces et de toutes leurs failles les rendent tellement touchantes.
Yves G.
Blandine (Olivia Côte) et Magalie (Laure Calamy) furent les meilleures amies du monde au collège avant de se fâcher et de se perdre de vue. Trente ans plus tard, alors que Blandine peine à se remettre d’un divorce douloureux, son fils provoque leurs retrouvailles et les réunit le temps d’une semaine de vacances dans les Cyclades où elles rêvaient d’aller ensemble, sur les traces des héros du Grand Bleu.
Marc Fitoussi est un honnête faiseur qui, depuis une quinzaine d’années, s’est fait une place modeste dans le cinéma français en en faisant tourner les actrices les plus connues dans des films aimables : Isabelle Huppert (Copacabana), Sandrine Kiberlain (Pauline détective), Emilie Dequenne (Maman a tort), Karin Viard (Les Apparences)…
"Les Cyclades" creuse paresseusement un sillon bien connu : la réunion improbable de deux personnages que tout oppose et qui, malgré leurs différences, finiront par s’apprécier. Depuis "La Grande Vadrouille" (Bourvil / De Funès), "L’Emmerdeur" (Ventura/Brel), "La Chèvre" (Depardieu/Richard) ou "Les Ripoux" (Noiret/Lhermitte), le genre a été exploité jusqu’à la trame.
Ici, à l’ère du paritarisme et du féminisme (on ne dégainera pas pour une fois le test de Bechdel), le genre est féminisé. Les deux héros sont des héroïnes. D’un côté Olivia Côte, quarantenaire corsetée dans ses inhibitions, noyée dans sa dépression ; de l’autre Laure Calamy éternelle ado, épicurienne revendiquée, décidée à opposer joie et bonne humeur à tous les aléas de la vie.
Bien entendu la meilleure actrice de l’année (le César lui a échappé hier soir pour "À plein temps" pour l’unique raison qu’elle l’avait déjà obtenu deux ans plus tôt pour "Antoinette dans les Cévennes") est enthousiasmante avec sa coiffure eighties et ses tenues disco – et le nu frontal qu’elle ose fièrement à l’aube de la cinquantaine.
Mais le problème est que, mal dirigée, en roue libre, elle pousse son rôle jusqu’à la caricature. Une caricature d’autant plus irritante qu’elle est plus prévisible. Et c’est bien là que le bât blesse : comme on l’avait redouté en voyant la bande-annonce, les scènes s’enchaînent mécaniquement sans nous réserver aucune surprise sur la caractérisation des personnages (Blandine coincée et Magalie délurée) et leur évolution.
Ce ne sont pas hélas les paysages de carte postale de Santorin et de Mykonos, ni l’apparition à mi-chemin de Kristin Scott Thomas en hippie philosophe qui sauvent cette comédie pas drôle du naufrage redouté.
Marc Fitoussi est un honnête faiseur qui, depuis une quinzaine d’années, s’est fait une place modeste dans le cinéma français en en faisant tourner les actrices les plus connues dans des films aimables : Isabelle Huppert (Copacabana), Sandrine Kiberlain (Pauline détective), Emilie Dequenne (Maman a tort), Karin Viard (Les Apparences)…
"Les Cyclades" creuse paresseusement un sillon bien connu : la réunion improbable de deux personnages que tout oppose et qui, malgré leurs différences, finiront par s’apprécier. Depuis "La Grande Vadrouille" (Bourvil / De Funès), "L’Emmerdeur" (Ventura/Brel), "La Chèvre" (Depardieu/Richard) ou "Les Ripoux" (Noiret/Lhermitte), le genre a été exploité jusqu’à la trame.
Ici, à l’ère du paritarisme et du féminisme (on ne dégainera pas pour une fois le test de Bechdel), le genre est féminisé. Les deux héros sont des héroïnes. D’un côté Olivia Côte, quarantenaire corsetée dans ses inhibitions, noyée dans sa dépression ; de l’autre Laure Calamy éternelle ado, épicurienne revendiquée, décidée à opposer joie et bonne humeur à tous les aléas de la vie.
Bien entendu la meilleure actrice de l’année (le César lui a échappé hier soir pour "À plein temps" pour l’unique raison qu’elle l’avait déjà obtenu deux ans plus tôt pour "Antoinette dans les Cévennes") est enthousiasmante avec sa coiffure eighties et ses tenues disco – et le nu frontal qu’elle ose fièrement à l’aube de la cinquantaine.
Mais le problème est que, mal dirigée, en roue libre, elle pousse son rôle jusqu’à la caricature. Une caricature d’autant plus irritante qu’elle est plus prévisible. Et c’est bien là que le bât blesse : comme on l’avait redouté en voyant la bande-annonce, les scènes s’enchaînent mécaniquement sans nous réserver aucune surprise sur la caractérisation des personnages (Blandine coincée et Magalie délurée) et leur évolution.
Ce ne sont pas hélas les paysages de carte postale de Santorin et de Mykonos, ni l’apparition à mi-chemin de Kristin Scott Thomas en hippie philosophe qui sauvent cette comédie pas drôle du naufrage redouté.
J'ai vu ce film avec plaisir : Comédie assez enlevée, avec de très bons moments. Les acteurs sont tous bien. On voit plusieurs îles grecques ; ce qui nous permet de voyager dans la tête. Laure Calamy magnifique !
On se régale à voir les fameuses Cyclades (ce qui permet de voyager à moindre coût) et à constater que Kristin Scott Thomas est toujours réjouissante à voir. Son personnage positif et battant sauve le film. L'intrigue n'est que moyennement crédible. Laure Calamy est des plus agaçantes dans ce rôle et les deux personnages trop éloignés au niveau des personnalités pour que "la sauce prenne".
Très bon moment passé en compagnie de ces deux anciennes amies de collège, qui se heurtent chacune à des difficultés dans leur vie et sont réunies, un peu par hasard après s'être perdues de vue pendant des années, pour un séjour dans les Cyclades, où elles rencontreront une troisième femme, Kristin Scott Thomas. Les actrices sont époustouflantes, avec juste un petit bémol pour Laure Calamy, qui surjoue par moments, mais c'est un peu son rôle qui veut çà. La partie qui se passe en Grèce est un peu inégale, avec des scènes formidables, d'autres un peu improbables, mais l'ensemble du film est vraiment réussi.
Complètement séduit par ce beau film. Certes de beaux paysages, mais surtout un duo et trio de comédiennes qui nous emmènent au-delà du périple annoncé. Nous sommes touchés de ces trajectoires tourmentées. A chacune son secret, à chacune ses blessures puis chacune se panse les unes aux autres.
N'oublions pas le rôle d'arrière plan du comédien grecque qui marque par sa personnalité.
Un film qui traite de l'amitié à la fois avec légèreté et gravité avec brio!
N'oublions pas le rôle d'arrière plan du comédien grecque qui marque par sa personnalité.
Un film qui traite de l'amitié à la fois avec légèreté et gravité avec brio!
Belle histoire , parfois drôle ,parfois touchante Laure fitoussi est géniale
Un bon film et français
Un bon film et français
Laure Calamy a elle seule est un rayon de soleil !
Elle est aussi solaire que son amie d'enfance dépressive. Le binôme fonctionne très bien et la rencontre avec l'artiste ne fait qu'apporter du plus !
Le scénario tient bien la route et on ne s'attend pas à cette conclusion. Vu avec une amie, j'ai souhaité y retourner avec une autre amie mais il n'est resté que deux semaines en salle. Quel dommage !
Elle est aussi solaire que son amie d'enfance dépressive. Le binôme fonctionne très bien et la rencontre avec l'artiste ne fait qu'apporter du plus !
Le scénario tient bien la route et on ne s'attend pas à cette conclusion. Vu avec une amie, j'ai souhaité y retourner avec une autre amie mais il n'est resté que deux semaines en salle. Quel dommage !
Bien mais sans plus . Film mis en valeur par de bonnes actrices, mais scénario un peu plat à mon goût.
Long, très long. Evidemment Olivia Côte est toujours aussi juste, Kristin Scott Thomas toujours aussi belle et Laure Calamy continue d'en faire toujours trop (et on finit par s'en lasser). Mais qu'est-ce qu'on s'ennuie.. Pas d'originalité, pas d'intérêt, une succession de clichés et d'images touristiques (oui Marc, c'est très beau les Cyclades) pendant 1h50. Perdre un peu d'argent pourquoi pas, mais perdre son temps, non.
Franchement surjoué et caricatural.... On en fait faire beaucoup trop à Laure Calamy (alors que je l'ai trouvée formidable et naturelle dans "Antoinette dans les Cévennes").... ça semble tellement faux ! A fuir (en tout cas pour moi)
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