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Votre avis sur Argylle ?
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BROSSES ET BOTTES DE CUIR !
Bradley James Allan. Ce nom ne vous dit sûrement rien, et pourtant c’est grâce à cet homme de l’ombre parti à seulement 48 ans, que de nombreux films ont pus briller par leurs scènes d’action, notamment ceux de la saga Kingsman ! Dire que j’attendais avec une certaine appréhension le prochain film de la saga est une douce boutade. Car oui, Argylle fait parti de l’univers des gentlemen espions, et est surtout réalisé par le même trublion : Matthew Vaughn !
Sur ce point, si les scènes d’action de ce film restent assez jouissives, elles n’égalent pas tout à fait l’inventivité de la saga Kingsman, mis à part la délirante scène finale qui mettra à rude épreuve votre suspension d’incrédulité. Bref ; on rit de bon cœur, ou on frappe son front de consternation, c’est selon. Me concernant, devant le côté inédit de la chose, je me suis volontiers incliné !
Autre point étonnant du film, la mise en scène Matthew Vaughn se veut nettement plus sage dans les expérimentations de mouvements de caméras. Alors certes on perd en inventivité formelle, mais on gagne quelque part en lisibilité, tout en gardant un certain dynamisme. C’est du donnant-donnant en somme. Et si toutes les scènes d’action ne se valent pas en terme d’inventivité, il y a toujours LE petit élément original qui nous fait tiquer en mode : »Tiens, je m’y attendais pas à celle-là ! »
Donc cela reste forcément plaisant, et on sourit de bon cœur.
Enfin dernière surprise et pas des moindres, si généralement ce genre de film enfile les perles niveau narration, Argylle se paie le luxe d’un scénario à tiroirs bourrés de twists parfois attendus, mais parfois totalement étonnants ! Et surtout logiques ! Car si dans le second Kingsman, le fait de ramener les morts à la vie via une technologie franchement pas crédible fait encore débat, les retournements de situation d’Argyle s’enchaînent avec une fluidité déconcertante et surtout crédibles !
Malgré quelques fond verts évidents et un (dodu) chat en image de synthèse de la marque Kissvoua, le spectacle reste ainsi hautement recommandable et respecte son contrat : à savoir divertir, distiller ses « wow effects » formels, et surtout bonus sur le papier, nous étonner encore une fois à coups de théâtres savamment orchestrés.
Bradley James Allan. Ce nom ne vous dit sûrement rien, et pourtant c’est grâce à cet homme de l’ombre parti à seulement 48 ans, que de nombreux films ont pus briller par leurs scènes d’action, notamment ceux de la saga Kingsman ! Dire que j’attendais avec une certaine appréhension le prochain film de la saga est une douce boutade. Car oui, Argylle fait parti de l’univers des gentlemen espions, et est surtout réalisé par le même trublion : Matthew Vaughn !
Sur ce point, si les scènes d’action de ce film restent assez jouissives, elles n’égalent pas tout à fait l’inventivité de la saga Kingsman, mis à part la délirante scène finale qui mettra à rude épreuve votre suspension d’incrédulité. Bref ; on rit de bon cœur, ou on frappe son front de consternation, c’est selon. Me concernant, devant le côté inédit de la chose, je me suis volontiers incliné !
Autre point étonnant du film, la mise en scène Matthew Vaughn se veut nettement plus sage dans les expérimentations de mouvements de caméras. Alors certes on perd en inventivité formelle, mais on gagne quelque part en lisibilité, tout en gardant un certain dynamisme. C’est du donnant-donnant en somme. Et si toutes les scènes d’action ne se valent pas en terme d’inventivité, il y a toujours LE petit élément original qui nous fait tiquer en mode : »Tiens, je m’y attendais pas à celle-là ! »
Donc cela reste forcément plaisant, et on sourit de bon cœur.
Enfin dernière surprise et pas des moindres, si généralement ce genre de film enfile les perles niveau narration, Argylle se paie le luxe d’un scénario à tiroirs bourrés de twists parfois attendus, mais parfois totalement étonnants ! Et surtout logiques ! Car si dans le second Kingsman, le fait de ramener les morts à la vie via une technologie franchement pas crédible fait encore débat, les retournements de situation d’Argyle s’enchaînent avec une fluidité déconcertante et surtout crédibles !
Malgré quelques fond verts évidents et un (dodu) chat en image de synthèse de la marque Kissvoua, le spectacle reste ainsi hautement recommandable et respecte son contrat : à savoir divertir, distiller ses « wow effects » formels, et surtout bonus sur le papier, nous étonner encore une fois à coups de théâtres savamment orchestrés.
Ne jugez pas un livre à sa couverture.
Argylle est à l'image de son introduction. On se dit que tout sonne faux dans cette première scène aux couleurs saturées, à la CGI dégueulasse et à l'action démesurée. Tout sonne faux jusqu'à être risible. Cette confrontation entre un Henry "Big Jim" Cavill et Dua Lipa, cet hélicoptère, cette histoire archi-mâchée, digérée, recrachée et remâchée d'espion doublé par ses employeurs, on a déjà vu Argylle, et en mieux.
Mais immédiatement, Matthew Vaughn "le magnifique" justifie tout ce mauvais goût pour nous faire espérer qu'on se soit trompé.
2 heures plus tard, pour moi le verdict est sans appel, je m'étais trompé. Parce que j'ai rarement vu un film qui arrive à faire de tous ces petits défauts, une force et ce de la plus belle des manières, en s'appuyant uniquement sur sa générosité.
Cette générosité, elle se sent dans chacun des affrontements, elle transpire à travers le duo formé par Bryce Dallas Howard et surtout Sam Rockwell, tous deux excellents et en dehors des normes du film d'espionnage. De leur rencontre ressort immédiatement quelque chose de savoureux qu'on pourrait sous-titrer "l'espion qui mimait". Car si Argylle semble ne rien réinventer, voir parfois paraît un peu facile, il regorge pourtant de scènes flatteuses pour nos rétines et de surprises bancales dans le scénario qui finissent toujours par être réhabilitées. Une ambivalence constante cristallisées par l'opposition permanente dans l'action entre le côté foutraque mais efficace de Rockwell et classe et séduisant en toutes situations de Cavill. Et même si les chats en prennent ici pour leur grade, force est de constater que Vaughn retombe toujours sur ses pattes grâce à cette générosité sans failles évoquée au début de cette critique qui finit par me faire exulter et me donne envie d'exalter ce côté grand enfant à la source d'émerveillement intarissable.
Ainsi, Argylle va crescendo, gommant petit à petit toutes ses propres faiblesses qui apparaissent presque comme des ratés volontaires (oui cette CGI est infâme) et arrivent dans ses derniers instants à sublimer l'improbable dans un déluge de couleurs chorégraphié pour terminer sur un Hollyday on gaz jubilatoire, rendant toutes ses incohérences on ne peut plus pardonnables, voir même cohérentes et acceptables. On sait que non mais on a envie de se dire : "Et pourquoi pas d'abord ?!"
C'était vraiment mal parti mais force est de constater qu'avec amour, tel un sale gosse à l'imagination débordante qui nous raconterait les exploits de son héros avec des étoiles dans les yeux, Vaughn réussit, des années après la surprise qu'avait créé Kingsman, à nous faire un film d'espionnage "feel good" qui m'évoque le compte à rebours paradoxal final durant lequel Eggsy et Gazelle s'affrontent sous les notes joviales du Give it up de KC & The Sunshine Band.
Argylle est à l'image de son introduction. On se dit que tout sonne faux dans cette première scène aux couleurs saturées, à la CGI dégueulasse et à l'action démesurée. Tout sonne faux jusqu'à être risible. Cette confrontation entre un Henry "Big Jim" Cavill et Dua Lipa, cet hélicoptère, cette histoire archi-mâchée, digérée, recrachée et remâchée d'espion doublé par ses employeurs, on a déjà vu Argylle, et en mieux.
Mais immédiatement, Matthew Vaughn "le magnifique" justifie tout ce mauvais goût pour nous faire espérer qu'on se soit trompé.
2 heures plus tard, pour moi le verdict est sans appel, je m'étais trompé. Parce que j'ai rarement vu un film qui arrive à faire de tous ces petits défauts, une force et ce de la plus belle des manières, en s'appuyant uniquement sur sa générosité.
Cette générosité, elle se sent dans chacun des affrontements, elle transpire à travers le duo formé par Bryce Dallas Howard et surtout Sam Rockwell, tous deux excellents et en dehors des normes du film d'espionnage. De leur rencontre ressort immédiatement quelque chose de savoureux qu'on pourrait sous-titrer "l'espion qui mimait". Car si Argylle semble ne rien réinventer, voir parfois paraît un peu facile, il regorge pourtant de scènes flatteuses pour nos rétines et de surprises bancales dans le scénario qui finissent toujours par être réhabilitées. Une ambivalence constante cristallisées par l'opposition permanente dans l'action entre le côté foutraque mais efficace de Rockwell et classe et séduisant en toutes situations de Cavill. Et même si les chats en prennent ici pour leur grade, force est de constater que Vaughn retombe toujours sur ses pattes grâce à cette générosité sans failles évoquée au début de cette critique qui finit par me faire exulter et me donne envie d'exalter ce côté grand enfant à la source d'émerveillement intarissable.
Ainsi, Argylle va crescendo, gommant petit à petit toutes ses propres faiblesses qui apparaissent presque comme des ratés volontaires (oui cette CGI est infâme) et arrivent dans ses derniers instants à sublimer l'improbable dans un déluge de couleurs chorégraphié pour terminer sur un Hollyday on gaz jubilatoire, rendant toutes ses incohérences on ne peut plus pardonnables, voir même cohérentes et acceptables. On sait que non mais on a envie de se dire : "Et pourquoi pas d'abord ?!"
C'était vraiment mal parti mais force est de constater qu'avec amour, tel un sale gosse à l'imagination débordante qui nous raconterait les exploits de son héros avec des étoiles dans les yeux, Vaughn réussit, des années après la surprise qu'avait créé Kingsman, à nous faire un film d'espionnage "feel good" qui m'évoque le compte à rebours paradoxal final durant lequel Eggsy et Gazelle s'affrontent sous les notes joviales du Give it up de KC & The Sunshine Band.
J'aurais mis 4 si il ne traînait pas autant en longueur et finissait pas nous perdre. Sinon très bon délire avec des petits twists bien sympathiques et un super casting. A voir
Le film était bien parti , un scénario original avec plusieurs rebondissements conséquents, une bande son sympa et des acteurs plutôt convaincants, un petit problème sur les effets spéciaux en revanche assez décevants, avec un budget pareil ... ils auraient pu faire mieux ... sur la deuxième partie en revanche c'est là que ça part en vrille , on pense qu'on arrive à la fin du film et paffff on est à peine à la moitié . Du coup le rythme est mal adapté à notre appétence. Bref en plus de ça , de l'originalité on part sur une folie passagère du réal que j'aime bien en plus mais ça va trop loin à mon goût ... et ça ne passe malheureusement pas sur la fin , des scènes trop grotesques et une fin trop loufoque pour ma part , ce qui donne clairement envie de quitter le cinéma . Plus globalement, il n'en reste pas moins apprécié mais long avec une fin tellement bizarre avec le rythme du film et une scène post générique vraiment bizarre aussi .
Film super divertissement, on ne s'ennuie jamais et ça c'est un mega bon point !
Au début on se dit c'est un peu cucul mais le film tire des ficelles de scénario qui emboîtent des dizaines de révélations qui font qu'on reste scotché au siège jusqu'au bout.
Franchement une belle surprise !
Au début on se dit c'est un peu cucul mais le film tire des ficelles de scénario qui emboîtent des dizaines de révélations qui font qu'on reste scotché au siège jusqu'au bout.
Franchement une belle surprise !
Bah j'aime bien
On reconnaît la patte de Matthew Vaughn dans l'humour, le casting, les thèmes musicaux
Ça ne renouvelle pas le genre et je ne comprends pas du tout les critiques des gens n'ayant pas compris le film car il serait difficile à suivre??? Et ça ressemble vraiment beaucoup à King's Man et la scène post générique...va dans ce sens même s'il n'en atteint pas les sommets, mais je recommande quand même de le voir
On reconnaît la patte de Matthew Vaughn dans l'humour, le casting, les thèmes musicaux
Ça ne renouvelle pas le genre et je ne comprends pas du tout les critiques des gens n'ayant pas compris le film car il serait difficile à suivre??? Et ça ressemble vraiment beaucoup à King's Man et la scène post générique...va dans ce sens même s'il n'en atteint pas les sommets, mais je recommande quand même de le voir
Vinz1
« Argylle » est dans la droite lignée des opus de « Kingsman » auquel il est d’ailleurs affilié : beaucoup d’action sur un ton léger et badin avec de belles cascades. Toutefois, cela ne révolutionnera pas le genre du film d’espionnage car tout semble avec déjà été vu et revu. Néanmoins, on passe tout de même un bon moment au visionnage grâce au duo d’acteurs fonctionnant relativement bien, c’est déjà ça !
Un film plutôt bien rythmé autour d'une histoire faussement complexe mais servi avec des effets visuels ratés.
e premier film que j'attendais cette année au vu du casting (Calvill "Superman", Rockwell ,Dallas Howard "Jurassic World"...) et l'histoire avec des romans avec leurs histoires qui se sont déroulés dans la réalité. Finalement j'ai passé un bon moment mais j'espérais un chouia plus justement avec le casting intéressé et le réalisateur Matthew Vaughn ("Saga Kingsman", "Kick ass"...). Le début m'a fait un peu peur avec la course poursuite aux effets plus que pas terribles mais ensuite les scènes de bastons sont bien faites avec l'humour entre le vrai et le faux, l'histoire et la surprise de l'agent Argylle véritable révélé. On ne s'ennuie pas, bon les scènes chorégraphié sont sympa et montre le côté comédie de ce film mais celle avec les patins mouais abusé et un peu trop même. Dans l'ensemble cela se regarde sans déplaisir ok mais sans un enthousiasme démesuré aussi. Attention scène post générique juste après. Pour la présence pour une première de Dua Lipa disons que ce fut agréable mais rapide!^^
NOTE : 6.5/10
NOTE : 6.5/10
Voilà du fun par un réalisateur qui prône le plaisir pur des spectateurs.
C est un film volontairement divertissant et rien d autre . Le pari est réussi malgré quelques longueurs et certains effets spéciaux un peu ratés . Ne boudons pas le plaisir de rire dans cette parodie d espionnage et d action.
C est un film volontairement divertissant et rien d autre . Le pari est réussi malgré quelques longueurs et certains effets spéciaux un peu ratés . Ne boudons pas le plaisir de rire dans cette parodie d espionnage et d action.
Et bien nous assistons encore aux délires absolument absurdes de Matthew Vaughn de concilier classe et action tel un autre Kingsman et c'est plutôt drôle le décalage d'autant que l'histoire en reste tout de même original et plein de rebondissement donc plutôt bien, à voir ^^
Un bon film pop-corn plein de rebondissements, d'auto-dérision, d'humour et de musique. L'équivalent cinématographique de la junk food : on sait que ce n'est pas bon mais c'est néanmoins addictif. Comme divertissement Argylle est sympa mais on n'est clairement pas sur le film du siècle. Bryce Dallas Howard est mignonne et attachante, elle change des filles parfaites qu'Hollywood ne cesse de nous vendre. Sam Rockwell est dans son éternel emploi de boy next door yankee passe-partout et borderline, vu dans Mr Right notamment. Le reste du casting fait de la figuration de luxe.
Matthew Vaughn est clairement un adepte du film d'espionnage parodique et est plutôt doué pour divertir son public. Argylle n'est guère plus qu'une version girly et tout public de Kingsman, saupoudré d'A la poursuite du diamant vert et de la cité perdue... Néanmoins, on est très loin de la qualité d'Agents très spéciaux de Guy Ritchie, où Henri Cavill portait le costume d'espion avec plus de conviction.
Matthew Vaughn est clairement un adepte du film d'espionnage parodique et est plutôt doué pour divertir son public. Argylle n'est guère plus qu'une version girly et tout public de Kingsman, saupoudré d'A la poursuite du diamant vert et de la cité perdue... Néanmoins, on est très loin de la qualité d'Agents très spéciaux de Guy Ritchie, où Henri Cavill portait le costume d'espion avec plus de conviction.
on peut parvenir à passer un bon moment si on part du postulat que le kitch des effets speciaux numériques et l'avalanche d'incohérences et de deus machina sont totalement assumés par le réalisateur. Sinon, attention à l'indigestion sur la longueur bien trop conséquente...
J'aurais tant voulu adoré Argylle (avec un tel casting), et le genre espionnage dont Vaughn c'était déjà amuser ... Donnant de bonne chose (1er Kingsman/prequel) comme de mauvaise (Kingsman 2).
Sauf qu'ici, on dirait qu'il sait aseptiser lui-même pour le compte d'Apple.
La même erreur que Kingsman 2 (un trop-plein d'idée, bonne comme mauvaise) et une direction plus ... Cartoonesque (sauf qu'ici on a même pas le "Rated").
Et des CGI risible (désoler mais en 2024 ... Honteux de voir ce genre de chose). Mis à part une a deux séquence travaillait.
Notamment les scènes au corps à corps (toujours un délice), la scène du train ou dans l'appart est top. D'ailleurs, l'hommage de fin à Brad Allan fait un gros pincement au coeur ... Pour moi, celui qui tient le tout. C'est le GRAND Sam Rockwell (second couteau depuis x année).
Son oscar en 2017 (le superbe 3 Billboards), a donné un coup de pouce à sa carrière. D'ailleurs, autre point marrant. Il montre encore ces aptitudes de danseur (ça sert dans des films assez physique hein). Je crois qu'il danse dans quasiment toute sa filmographie).
Malheureusement, mit à part lui. Et un peu Bryce Dallas Howard (pas vraiment fana de l'actrice, mais bon). Le reste n'est pas fou, niveau scénario ça pioche beaucoup de choses (en se voulant malin ... Bah non). Et le reste du casting ... Une belle déception. Que pour la com's.
Seul Bryan Cranston (uns de mes acteurs favoris depuis Malcolm ...) ou la reine Catherine O'Hara. Qui ont un rôle conséquent, même si rien de fou dans leurs rôles respectifs. Le reste ne fait que de la figuration : Cavill, Cena, Debose ou Dua Lipa. Mais alors elle, bon ... Je m'en cogne.
Vraiment dommage, tant Vaughn (quand il veut), peut à merveille tordre l'image de certains acteurs. Et on voit à peine le potentiel dans ce qu'il met en place au début. Bref, projet qui tient plus d'Apple que du réal. Mais qui commence a me décevoir d'année en année.
Ensuite je ne me range pas du côté de ceux qui détestent ce réalisateur (et qui se sont servis de ce film pour le passé pour un réal de mauvais pour rester poli). Mais oui. La déception est grande au vu du projet et du cast. Et quand Vaughn prend le projet au sérieux. Dommage. Tout juste divertissant.
Sauf qu'ici, on dirait qu'il sait aseptiser lui-même pour le compte d'Apple.
La même erreur que Kingsman 2 (un trop-plein d'idée, bonne comme mauvaise) et une direction plus ... Cartoonesque (sauf qu'ici on a même pas le "Rated").
Et des CGI risible (désoler mais en 2024 ... Honteux de voir ce genre de chose). Mis à part une a deux séquence travaillait.
Notamment les scènes au corps à corps (toujours un délice), la scène du train ou dans l'appart est top. D'ailleurs, l'hommage de fin à Brad Allan fait un gros pincement au coeur ... Pour moi, celui qui tient le tout. C'est le GRAND Sam Rockwell (second couteau depuis x année).
Son oscar en 2017 (le superbe 3 Billboards), a donné un coup de pouce à sa carrière. D'ailleurs, autre point marrant. Il montre encore ces aptitudes de danseur (ça sert dans des films assez physique hein). Je crois qu'il danse dans quasiment toute sa filmographie).
Malheureusement, mit à part lui. Et un peu Bryce Dallas Howard (pas vraiment fana de l'actrice, mais bon). Le reste n'est pas fou, niveau scénario ça pioche beaucoup de choses (en se voulant malin ... Bah non). Et le reste du casting ... Une belle déception. Que pour la com's.
Seul Bryan Cranston (uns de mes acteurs favoris depuis Malcolm ...) ou la reine Catherine O'Hara. Qui ont un rôle conséquent, même si rien de fou dans leurs rôles respectifs. Le reste ne fait que de la figuration : Cavill, Cena, Debose ou Dua Lipa. Mais alors elle, bon ... Je m'en cogne.
Vraiment dommage, tant Vaughn (quand il veut), peut à merveille tordre l'image de certains acteurs. Et on voit à peine le potentiel dans ce qu'il met en place au début. Bref, projet qui tient plus d'Apple que du réal. Mais qui commence a me décevoir d'année en année.
Ensuite je ne me range pas du côté de ceux qui détestent ce réalisateur (et qui se sont servis de ce film pour le passé pour un réal de mauvais pour rester poli). Mais oui. La déception est grande au vu du projet et du cast. Et quand Vaughn prend le projet au sérieux. Dommage. Tout juste divertissant.
Malheureusement, pour le public actuel, cela ne répond pas aux attentes, en particulier pour ceux qui attendent un spectacle semblable à Kingsman.
Le positif : Bryce joue admirablement son rôle humoristique et Rockwell joue bien son rôle. C'est un film agréable à regarder une fois, surtout si vous y allez sans attentes
John Cena, Henry et Samuel Jackson semblent être ajoutés au film uniquement à des fins de marketing.
Le positif : Bryce joue admirablement son rôle humoristique et Rockwell joue bien son rôle. C'est un film agréable à regarder une fois, surtout si vous y allez sans attentes
John Cena, Henry et Samuel Jackson semblent être ajoutés au film uniquement à des fins de marketing.
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