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selenie
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2,0
Publiée le 2 février 2024
Les 10 premières minutes sont un mix entre "Fast and Furious" et Jason Bourne mais dans un déluge d'effets visuels hideux, aux images numériques trop voyants et indignes d'une telle production. Ne parlons pas de Dua Lipa dont la promo nous vante sa présence... Ici Le scénario accumule les rebondissements, puis accélère les twists au point que cela en devient aussi redondant que ridicule. C'est comme si Matthew Vaughn avait repris tout ce qu'on a aimé dans ses précédents films pour s'autoparodier dans un pastiche qui ne fait malheureusement pas franchement rire. Certaines séquences frôles le cultissime comme le "patin à glace" ou le ballet coloré, mais là aussi certains détails gâchent la fête... L'actrice principal fait de son mieux mais en action woman on n'y croit pas une seconde sans compter un manque d'étincelle avec son partenaire direct. Ne parlons pas de Samuel L. Jackson s'autoparodiant outrageusement, finalement seul Sam Rockwell et Henry Cavill s'en sortent bien qu'ils ne soient pas vraiment aidés par le reste. Résultat, le pire film du réalisateur à ce jour. Site : Selenie.fr
Encore un énième blockbuster en provenance des Etats-Unis qui ne dégage pas grand intérêt. Ce film d'espionnage à gros budget nous fait voyager et c'est toujours ça de pris. Pour le reste, c'est vraiment éreintant à suivre avec d'interminables scènes de baston et des rebondissements à gogo. Pour être franc, j'ai totalement décroché de cette intrigue dans sa seconde partie. Matthew Vaughn ne retrouve pas l'inspiration des Kingsman malgré une idée de base intéressante à exploiter. "Argylle" est de ce genre de film dont on ressort lessivé par un trop plein d'action.
Une belle déception concernant le nouveau film assez attendu pour ma part de Matthew Vaughn. Très fan de Kick-Ass et des Kingsman, on a beau retrouver la patte visuelle et très colorée du réalisateur, concernant le scénario ce n'est pas vraiment ça... La première partie commençait pourtant bien : une écrivaine voit ses romans d'espionnage se transformer en réalité. Le dynamisme est là, les scènes d'actions sont cool, on s'embarque dans l'histoire. Mais le scénario part ensuite dans tous les sens, enchaînant des retournements de situations à la pelle devenant de plus en plus ridicules et absurdes. Les personnages attachants au début deviennent insipides et les effets spéciaux sont tantôt réussis, tantôt ratés. Une ascension qui finit en ratage global, mais quel dommage...
Pas bon. Tout le budget est passé dans les signatures des contrats de quelques guest et rien dans la profondeur du scénario ni dans la fabrication des effets numériques. J’ai acheté une place de ciné pour voir 2h de Pub Apple. Même pas bon pour une plateforme de streaming comme Netflix ou, soyons fou, Apple TV+ ! Dommage.
Argylle est un bon film dans la lignée des Kingsman ! Le scénario tient la route, mais soyez attentif parce qu'effectivement c'est parfois dur à suivre ! L'esthétisme est beau, j'ai ricané à certains moment car c'est drôle aussi. Les effets spéciaux au début sont bof, mais j'ai l'impression que c'est logique. Le fait est que j'ai passé un bon moment et c'est tout ce qu'on demande car le ciné est la pour nous divertir.
Argylle était présente dès sa bande-annonce, comme une daube, on est allé le voir quand même parce qu’il n’y avait rien d’autre au Cinéma, mais on est pas déçu Du Voyage… C’est vraiment une daube de grande ampleur, des effets spéciaux horribles, un chat entièrement numérique qui ressemble à un amas de poils numérique généré par une intelligence artificielle, toutes les cascades sur fond vert, pire qu’un jeu vidéo bas de gamme cependant le scénario présente tellement de circonvolutions qu’il n’est pas inintéressant. On est complètement perdu dans le mélange de réalité et des personnages. Les combats présentent ont des caractéristiques visuels assez délirantes par moment je pense que c’est le pire rôle qui est jamais joué Henri cavill, cela augure vraiment très mal de ce que sera le futur Cinéma entièrement intelligence artificielle
Alain Morency, dans son article « L’adaptation de la littérature au cinéma », affirme que le récit d’espionnage est plus facile à adapter en film que les autres sous-genres romanesques parce qu’il est « plus riches en actions qu’en qualités littéraires ». Nous pourrions nous demander, à l’inverse, si Argylle ne revêt pas d’intérêts que littéraires, soit par la mise en abyme du spectacle représenté, comme le proposaient Romancing the Stone (Robert Zemeckis, 1984) et plus récemment The Lost City (Aaron et Adam Nee, 2022), par le soin apporté à sa narration et aux dialogues explicatifs qui pallient une incapacité de la mise en scène à seule raconter, trop occupée à virevolter et à revendiquer sa superbe. La séquence médiane de remémoration en constitue le parfait exemple : Matthew Vaughn a besoin de différents locuteurs, Aidan et Alfred essentiellement, pour raccorder Elly à sa véritable identité, la réalisation se contentant, par divers partis pris tape-à-l’œil comme l’irruption de la couleur dans un cadre en noir et blanc, de mettre en images leurs propos. Les retournements de situation, bien pensés au demeurant, sont souvent anticipés par les dispositifs de mise en scène, spoiler: à l’instar de l’attaque du chat qui empêche l’identification oculaire . Le réalisateur paraît appliqué à imposer sa patte esthétique : ralentis nombreux, grande souplesse de mouvements de la caméra capable de suivre des corps-à-corps, musique pop en décalage avec la situation qu’elle habille… Tout ce qui faisait la singularité du premier Kingsman, son meilleur film, dans la mesure où il s’agissait de tentatives et de trouvailles. Nulle innovation ici mais une démonstration de maîtrise qui glisse sur la rétine du spectateur sans la marquer, sinon lors d’une clausule chorégraphiée surprenante doublée d’une relecture parodique de Titanic. Car (enfin) quelque chose se passe dans le dernier acte, la superposition des identités occasionnant une folie tonale et visuelle que nous aurions aimé étendue à l’ensemble du long métrage.
Argylle semble être tout droit sorti de l'imagination d'un enfant de 4 ans s'amusant avec ses jouets dans sa chambre.
Le scénario réussit l'exploit de réunir un nombre inédit de facilités scénaristiques. À commencer par spoiler: la mise en abîme sur le livre d'espionnage, qui s'avère être le sujet du film, qui nous sert son lot de personnages clichés comme le valet du scénariste – expliquant tout à la protagoniste –, les faux parents manipulateurs, ou l'écrivaine réservée. Comment ne pas parler d'énormités comme le pas de danse qui révèle une cachette secrète sous le plancher, le chat qui anéantit l'antagoniste, ou le patin à glace improvisé sur du pétrole 3D qui ne salit pas ?
Et si encore, Argylle était à visionner au troisième degré… Jamais le film ne fait preuve d'un cynisme intrinsèque sur la propre absurdité de son scénario. Reste à savoir, même si on le devine aisément, pourquoi des acteurs comme Samuel L. Jackson ou Henry Cavill se sont perdus dans ce navet.
Histoire sans aucun sans. Des effets spéciaux de science-fiction mal fait. Bref un film sponsorisé par Apple et ça ont la bien compris pendant le film. Je ne recommande pas du tout.
Argylle est une comédie parodique sur l'espionnage qui doit être appréciée avec légèreté. Son ambiance loufoque, son rythme entraînant et son humour en font un film d'action/comédie divertissant. Attendez-vous à un second degré poussé au maximum pour passer un excellent moment sans vous préoccuper du sérieux habituel des films d'action !
Comment les réalisateurs de Kingsman peuvent nous fournir un film aussi peu convaincant ? Comment Henry Cavill (qui est en tête d’affiche) peut avoir accepter d’être une silhouette parlante dans ce film à scénario catastrophique ? Pourquoi tant de plot twist, inutiles, qui ne font que dérouter le spectateur de l’histoire principale ? Comment avons-nous pu rester assises aussi longtemps face à cette calamité ?
Tant de questions que nous nous sommes posées en sortant de la salle ! Je vous conseille de ne pas perdre votre argent et votre temps dans un film aussi peu intéressant.
Rien à voir avec Kingsman, on s'ennuie ferme et on ne croit pas à l'histoire, l'héroine n'y croit pas non plus et à l'air d'être pris dans les phare d'une voiture,spoiler: des proches meurent, même si. .., ça ne lui fait ni chaud ni froid. 2h09 d'ennui mortel.