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Votre avis sur Argylle ?
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FaRem
Après le succès des "Kingsman" auxquels il a participé à l'écriture des scénarios contrairement à celui-ci, Matthew Vaughn revient avec un nouveau film dans l'univers de l'espionnage, mais pas avec le même succès... Il avait annoncé son intention de créer un univers autour de ses films d'espionnage avec un crossover à venir au cours des prochaines années, mais il reste à savoir si cela verra le jour après la déception que représente ce film... "Argylle" est une parodie du genre, mais qui n'est ni amusant ni divertissant. Le plus gros problème est l'histoire et ses enjeux. Un désintérêt total de ma part pour cette intrigue futile et superficielle avec des méchants sans intérêts. On finit même par oublier pourquoi ils s'en prennent les uns aux autres. Il y a un peu de mieux après
spoiler:
la révélation sur les parents
, mais pas au point de sauver l'ensemble. Pourtant, l'idée que la fiction rattrape la réalité n'était pas mauvaise, mais tout est tellement mal ficelé que ça devient désagréable. Il y a des rebondissements à n'en plus compter qui au lieu de pimenter le récit le rendent lourd et répétitif. À part quelques bonnes idées de mise en scène lors de quelques scènes bien chorégraphiées, "Argylle" est ennuyeux, poussif et surtout décevant.
, mais pas au point de sauver l'ensemble. Pourtant, l'idée que la fiction rattrape la réalité n'était pas mauvaise, mais tout est tellement mal ficelé que ça devient désagréable. Il y a des rebondissements à n'en plus compter qui au lieu de pimenter le récit le rendent lourd et répétitif. À part quelques bonnes idées de mise en scène lors de quelques scènes bien chorégraphiées, "Argylle" est ennuyeux, poussif et surtout décevant.
selenie
Les 10 premières minutes sont un mix entre "Fast and Furious" et Jason Bourne mais dans un déluge d'effets visuels hideux, aux images numériques trop voyants et indignes d'une telle production. Ne parlons pas de Dua Lipa dont la promo nous vante sa présence... Ici Le scénario accumule les rebondissements, puis accélère les twists au point que cela en devient aussi redondant que ridicule. C'est comme si Matthew Vaughn avait repris tout ce qu'on a aimé dans ses précédents films pour s'autoparodier dans un pastiche qui ne fait malheureusement pas franchement rire. Certaines séquences frôles le cultissime comme le "patin à glace" ou le ballet coloré, mais là aussi certains détails gâchent la fête... L'actrice principal fait de son mieux mais en action woman on n'y croit pas une seconde sans compter un manque d'étincelle avec son partenaire direct. Ne parlons pas de Samuel L. Jackson s'autoparodiant outrageusement, finalement seul Sam Rockwell et Henry Cavill s'en sortent bien qu'ils ne soient pas vraiment aidés par le reste. Résultat, le pire film du réalisateur à ce jour.
Site : Selenie.fr
Site : Selenie.fr
Roub E.
Matthew Vaughn a tout du réalisateur prometteur mais qui semble déjà à bout de souffle et se caricature lui même. Si je m étais bien amusé avec Kick Ass et le premier Kingsman, cet Argylle s avère bien laborieux. Avec son scénario inutilement alambiqué, ses effets de style dans les scènes d action qui reprennent ce qui avait fait son succès mais en moins bien, les effets spéciaux qui feraient rougir de honte même un Marvel; ce qui pouvait passer pour de bonnes blagues dans ses premiers films tourne à la mauvaise plaisanterie. Dommage pour Sam Rockwell le seul à tirer son épingle du jeu d un film bien triste malgré sa teinte très colorée.
Une comédie d'espionnage excessive mais amusante. Les twists sont un peu trop nombreux pour être honnêtes mais les scènes d'action sont joliment chorégraphiées. Un bon divertissement.
Yetcha
Oh que je me suis ennuyé dans ce film complètement brouillon et qui part dans tous les sens en perdant littéralement les spectateurs. Un gros casting mais qui ne sert strictement à rien. Une séquelle de Kingsman qui ne vaut vraiment pas le temps qu'on consacre à le regarder. Passez votre chemin...
Yannickcinéphile
Argylle se fait défoncer par la critique et le box office. Mais qu’en est-il vraiment ? Perso, quand j’ai vu la bande annonce je me suis dit que ça sentait encore le blockbuster en plastique semi-parodique sans grand intérêt. Au final, c’est pas si horrible que ça, mais c’est décevant. Décevant, car déjà le film est pauvre en action. Un peu au début, pas mal à la fin (dont les deux scènes d’action clé du film), et au milieu, rien. Ca parle, ça parle, ça va de pays en pays, il y a des révélations surprises, mais côté action, c’est la misère ! Le film est clairement trop long pour son propos, il y a un ventre mou sensible au milieu, probablement parce qu’il n’a pas su choisir son genre, hésitant entre l’action, l’espionnage, la comédie, le suspense, au point de nous offrir un gloubi boulga où tout se confronte sans vraiment se mêler. L’histoire d’ailleurs tient essentiellement sur ses rebondissements, parfois assez énormes, pas toujours heureux, et se laisse suivre avec un ennui poli. L’idée initiale est fun, mais le film ne l’exploite finalement pas beaucoup, ce qui se mesure à la très faible présence de Cavill et Cena dans le métrage. Du coup on se retrouve vite avec un film d’espionnage classique, comme il y en a pas mal en ce moment, avec un peu plus de comédie et, fort heureusement, le très sympathique duo Rockwell-Howard. Le premier surprend agréablement dans un rôle à contre-emploi, quant à Howard elle est très mignonne et charmante avec son chat, et elle s’implique vraiment, parvenant à nous entrainer avec elle. Pour les autres acteurs, ça relève plus du caméo, surtout pour Dua Lipa, mais encore pour Cavill et Cena à la présence sympathique mais anecdotique. Quant au méchant, il ne fait pas grand-chose à part fulminer dans son bureau. Les interprètes sont investis, mais globalement j’ai trouvé qu’ils n’avaient pas grand-chose à défendre hormis des personnages déjà vus.
Visuellement, le réalisateur ne change pas vraiment son fusil d’épaule par rapport à ses précédents films, mais je crains qu’il se soit un peu enlisé. Photographie clinquante mais plutôt en accord avec l’esprit du film, on a aussi des scènes d’action bien dans son style mais moins percutante que d’ordinaire, sûrement pour 2 raisons : des effets numériques peu inspirés (surtout au début), un manque d’effets sanglants pour accompagner les impacts de balles et les coups de couteaux. En sus, les scènes sont vraiment fantasques (esprit bd ou roman d’espionnage des temps jadis), ce qui à tendance à les rendre cartoonesque et à les affadir finalement. En effet, le métrage n’a pas vraiment su choisir son camp. Ni vraiment comédie, ni vraiment film d’espionnage, ni vraiment film d’action, il essaye d’être tout ça à la fois, mais je pense qu’il ne convaincra personne en définitive. L’amateur d’action trouvera ça trop perché et pas assez violent visuellement, l’amateur de comédie trouvera ça sûrement trop violent même si c’est pas graphique, et l’amateur d’espionnage se dira simplement qu’il est dans une grande pantalonnade. Dans Kick-Ass, dans Kingsman, Vaughn avait mieux tranché, ici, c’est le mic mac.
En clair, Argylle est un film destiné à être mal aimé. Resté au milieu du gué sans faire des choix assez radicaux, probablement pour essayer de racoler un peu tout le monde, il a commis l’erreur des gros blockbusters du moment qui ont flopé. Gros casting mais surtout pour l’affiche, un visuel tapageur pour au final une action assez tiédasse et beaucoup de blabla, et un scénario timoré qui existe surtout grâce à ses coups de théâtre. Heureusement, le duo Howard-Rockwell fonctionne bien, il y a quelques passages sympathiques, les seconds rôles sont sympas, la bande son aussi est cool, mais à l’image du film, trop indécise. Ainsi, si la balade Now and Then des Beatles est super belle, elle s’intègre bizarrement au métrage qui ne respire pas du tout la mélancolie du titre. 2.5
Visuellement, le réalisateur ne change pas vraiment son fusil d’épaule par rapport à ses précédents films, mais je crains qu’il se soit un peu enlisé. Photographie clinquante mais plutôt en accord avec l’esprit du film, on a aussi des scènes d’action bien dans son style mais moins percutante que d’ordinaire, sûrement pour 2 raisons : des effets numériques peu inspirés (surtout au début), un manque d’effets sanglants pour accompagner les impacts de balles et les coups de couteaux. En sus, les scènes sont vraiment fantasques (esprit bd ou roman d’espionnage des temps jadis), ce qui à tendance à les rendre cartoonesque et à les affadir finalement. En effet, le métrage n’a pas vraiment su choisir son camp. Ni vraiment comédie, ni vraiment film d’espionnage, ni vraiment film d’action, il essaye d’être tout ça à la fois, mais je pense qu’il ne convaincra personne en définitive. L’amateur d’action trouvera ça trop perché et pas assez violent visuellement, l’amateur de comédie trouvera ça sûrement trop violent même si c’est pas graphique, et l’amateur d’espionnage se dira simplement qu’il est dans une grande pantalonnade. Dans Kick-Ass, dans Kingsman, Vaughn avait mieux tranché, ici, c’est le mic mac.
En clair, Argylle est un film destiné à être mal aimé. Resté au milieu du gué sans faire des choix assez radicaux, probablement pour essayer de racoler un peu tout le monde, il a commis l’erreur des gros blockbusters du moment qui ont flopé. Gros casting mais surtout pour l’affiche, un visuel tapageur pour au final une action assez tiédasse et beaucoup de blabla, et un scénario timoré qui existe surtout grâce à ses coups de théâtre. Heureusement, le duo Howard-Rockwell fonctionne bien, il y a quelques passages sympathiques, les seconds rôles sont sympas, la bande son aussi est cool, mais à l’image du film, trop indécise. Ainsi, si la balade Now and Then des Beatles est super belle, elle s’intègre bizarrement au métrage qui ne respire pas du tout la mélancolie du titre. 2.5
Cinéphiles 44
« Argylle » est un film d’espionnage glamour à la sauce « James Bond » porté par Bryce Dallas Howard dans la peau d’une romancière à succès et épaulé par les deux comédiens Sam Rockwell et Henry Cavill. Ce pur produit de divertissement offrira son lot de scènes d’action à travers les pays, mais il faudra se contenter d’un scénario improbable qui ne cesse de se contredire.
Ti Nou
Que le film se veuille fun et déjanté, certes. Qu’il finisse par devenir sa propre parodie, comme si "OSS 117" se prenait au premier degré, c’est gênant. Matthew Vaughn se fourvoie en ne créant aucun décalage entre ce que son film définit comme réalité ou fiction (imaginez que McTiernan réalise "Last action hero" en restant en permanence dans l’univers et le ton de Jack Slater). Mal pensé dans le fond, moche dans la forme.
Shawn777
Sorte de mélange entre "Le Magnifique" et "Le Secret de la cité perdue", j'avoue que le nouveau projet de Matthew Vaughn m'attirait pas mal, surtout qu'il a un certain sens du rythme dans ses comédies d'action qui fonctionne plutôt pas mal. Mais pourtant, c'est justement ça qui pêche ici. Nous suivons Elly, écrivaine de romans d'espionnage à succès, qui est entrainée malgré elle dans une affaire d'espionnage. En effet, elle aurait apparemment un don pour écrire ce qu'il se passe réellement dans la vie et une agence peu scrupuleuse l'aurait repéré pour obtenir des renseignements. Bref, tout ce résumé assez long pour dire qu'on est vraiment, jusque là, dans le même pitch que "Le Secret de la cité perdue" qui est d'ailleurs relativement sous-estimé (il faut dire que j'aime beaucoup Sandra Bullock). Même l'héroïne est d'ailleurs presque calquée sur celle jouée par Bullock. Néanmoins, le film en profite tout de même pour nous offrir de très bonnes d'action, notamment celle dans le train (là, on pourrait y voir une grosse influence de "Bullet Train" mais passons) ou de très bonnes scènes inspirées du "Magnifique" donc (c'est-à-dire mélangeant réalité et fiction ou alors des scènes à l'action complètement décomplexée style "Fast & Furious"), mais le tout a quand même du mal à décoller déjà parce-que c'est déjà-vu donc mais en plus car les nombreuses blagues sont lourdes et cassent le rythme du film. Pour palier ces problématiques, le film case un twist puis deux puis trois etc. à la manière d'un polar ou d'un roman d'espionnage justement mais on ne peut s'empêcher d'y voir l'aspect cache-misère de la chose. Surtout qu'un des twist est là encore calqué sur un autre film,
spoiler:
"Au revoir, à jamais", également sous-estimé d'ailleurs et dans lequel Samuel L. Jackson était déjà présent. Effectivement, dans les deux films il y ait question d'une ancienne espionne qui a tout oublié de son passé et dont la mémoire lui revient soudainement
. La fin est de plus assez lourde et tombe dans le mièvre complet, ce que le film tente encore de justifier avec sa carte joker second degré (qu'il utilise vraiment beaucoup pour justifier des situations que très peu crédibles qui ont du mal à s'incorporer dans la diégèse). Malgré la multiplication des twists pour épaissir son scénario copié sur d'autres films, "Argylle" ne parvient jamais vraiment à captiver son spectateur.
. La fin est de plus assez lourde et tombe dans le mièvre complet, ce que le film tente encore de justifier avec sa carte joker second degré (qu'il utilise vraiment beaucoup pour justifier des situations que très peu crédibles qui ont du mal à s'incorporer dans la diégèse). Malgré la multiplication des twists pour épaissir son scénario copié sur d'autres films, "Argylle" ne parvient jamais vraiment à captiver son spectateur.
Dès la première course poursuite - avec Dua Lipa que l’on ne verra plus, les effets visuels montrent leurs limites. C’est à ce moment-là que mon scepticisme vis-à-vis de cette comédie d’espionnage et d’action à 200 millions a commencé. Malheureusement, la suite n’a fait que confirmer ma méfiance. Matthew Vaughn signe un film bien trop proche de sa franchise « Kingsman », distrayant certes, mais bazardé d’une ragougnasse de rebondissements à la con, aussi lisible que deux et deux font quatre (la scène du patinage... non mais franchement). Pour couronner le tout, Bryce Dallas Howard ne m’a pas du tout convaincu dans le rôle qui lui a été confié.
Quand la fiction rattrappe la réalité, qu'une romancière vit la vie de son héros, cela donne un film d'espionnage détonnant. Mais avec des facilités de mise en scène, tout n'est pas amené avec subtilité et cohérence. En plus d'un récit alambiqué, les scènes d'action n'ont aucun réalisme (séquence d'ouverture, attaque aux fumigènes et du chat, patinage...). Un film interminable!
Dik ap Prale
Les paillettes sont bien présentes mais le rythme et les idées font clairement défaut à cette nouvelle saga, calibré Bourne Identity, Last Action Hero. Le casting est mal exploité et ceci nous surprend grandement.
Argylle est incontestablement le film le moins réussi de toute la carrière de Matthew Vaughn. C'est poussif, redondant, trop long, et Bryce Dallas Howard est irritante au possible. Reste quelques séquences d'action réussies qui rappellent qu'on est devant du Matthew Vaughn.
https://hitek.fr/actualite/argylle-explique-scene-post-generique-film-matthew-vaughn_46548
https://hitek.fr/actualite/argylle-explique-scene-post-generique-film-matthew-vaughn_46548
Fêtons le cinéma
Alain Morency, dans son article « L’adaptation de la littérature au cinéma », affirme que le récit d’espionnage est plus facile à adapter en film que les autres sous-genres romanesques parce qu’il est « plus riches en actions qu’en qualités littéraires ». Nous pourrions nous demander, à l’inverse, si Argylle ne revêt pas d’intérêts que littéraires, soit par la mise en abyme du spectacle représenté, comme le proposaient Romancing the Stone (Robert Zemeckis, 1984) et plus récemment The Lost City (Aaron et Adam Nee, 2022), par le soin apporté à sa narration et aux dialogues explicatifs qui pallient une incapacité de la mise en scène à seule raconter, trop occupée à virevolter et à revendiquer sa superbe. La séquence médiane de remémoration en constitue le parfait exemple : Matthew Vaughn a besoin de différents locuteurs, Aidan et Alfred essentiellement, pour raccorder Elly à sa véritable identité, la réalisation se contentant, par divers partis pris tape-à-l’œil comme l’irruption de la couleur dans un cadre en noir et blanc, de mettre en images leurs propos. Les retournements de situation, bien pensés au demeurant, sont souvent anticipés par les dispositifs de mise en scène,
spoiler:
à l’instar de l’attaque du chat qui empêche l’identification oculaire
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Le réalisateur paraît appliqué à imposer sa patte esthétique : ralentis nombreux, grande souplesse de mouvements de la caméra capable de suivre des corps-à-corps, musique pop en décalage avec la situation qu’elle habille… Tout ce qui faisait la singularité du premier Kingsman, son meilleur film, dans la mesure où il s’agissait de tentatives et de trouvailles. Nulle innovation ici mais une démonstration de maîtrise qui glisse sur la rétine du spectateur sans la marquer, sinon lors d’une clausule chorégraphiée surprenante doublée d’une relecture parodique de Titanic. Car (enfin) quelque chose se passe dans le dernier acte, la superposition des identités occasionnant une folie tonale et visuelle que nous aurions aimé étendue à l’ensemble du long métrage.
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Le réalisateur paraît appliqué à imposer sa patte esthétique : ralentis nombreux, grande souplesse de mouvements de la caméra capable de suivre des corps-à-corps, musique pop en décalage avec la situation qu’elle habille… Tout ce qui faisait la singularité du premier Kingsman, son meilleur film, dans la mesure où il s’agissait de tentatives et de trouvailles. Nulle innovation ici mais une démonstration de maîtrise qui glisse sur la rétine du spectateur sans la marquer, sinon lors d’une clausule chorégraphiée surprenante doublée d’une relecture parodique de Titanic. Car (enfin) quelque chose se passe dans le dernier acte, la superposition des identités occasionnant une folie tonale et visuelle que nous aurions aimé étendue à l’ensemble du long métrage.
stallonefan62
Le genre de divertissement à la " Kingsman" qui se regarde assez bien sans pour autant être exempt de tout reproche !! C'est loufoque , coloré, absurde par moment avec des scènes d'actions qui dépotent pas mal !! Le casting est bien mais Henry Cavill trop peu présent à mon goût !!
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