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Dik ap Prale
178 abonnés
2 816 critiques
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2,0
Publiée le 23 avril 2024
Les paillettes sont bien présentes mais le rythme et les idées font clairement défaut à cette nouvelle saga, calibré Bourne Identity, Last Action Hero. Le casting est mal exploité et ceci nous surprend grandement.
“Argylle”, film d’action américano-britannique réalisé par Matthew Vaughn, sorti en 2024. Adaptation d’un roman d’espionnage américain écrit sous le pseudonyme «Elly Conway » sortie la même année, le roman et le film sont peut-être étroitement liés. Une comédie d’espionnage et d’action très bien réalisée. Une suite de situations toutes plus improbables les unes que les autres filmées avec second degrés, une très belle esthétique, une belle photo et des cadrages hyper-soignés. Des chorégraphies, de l’aventure, un scénario rocambolesque entre le roman et le film. Un pont avec «Kingsman » écrits et réalisés par M. Vaughn. Avec Bryce Dallas Howard (révélée dans le film de M. Night Shyamalan « le village » en 2004), Sam Rockwell, Samuel L. Jackson et Chip, le chat du célèbre mannequin allemand Claudia Schiffer (épouse du réalisateur). Aventure, voyages, humour, belles images et bonne musique, du bon spectacle, on ne s’ennuie pas, c’est bien fait. Du bon gros divertissement.
Mauvais sur tous les plans. Scénario supposément à prendre au second degré mais totalement stupide. Une parodie pas drôle du Mafnifique avec Belmondo. Une image assez laide et un tout kitchouille de chez kitchouille. Globalement. Hollywood est souvent nul pour faire du vrai parodique.
Alain Morency, dans son article « L’adaptation de la littérature au cinéma », affirme que le récit d’espionnage est plus facile à adapter en film que les autres sous-genres romanesques parce qu’il est « plus riches en actions qu’en qualités littéraires ». Nous pourrions nous demander, à l’inverse, si Argylle ne revêt pas d’intérêts que littéraires, soit par la mise en abyme du spectacle représenté, comme le proposaient Romancing the Stone (Robert Zemeckis, 1984) et plus récemment The Lost City (Aaron et Adam Nee, 2022), par le soin apporté à sa narration et aux dialogues explicatifs qui pallient une incapacité de la mise en scène à seule raconter, trop occupée à virevolter et à revendiquer sa superbe. La séquence médiane de remémoration en constitue le parfait exemple : Matthew Vaughn a besoin de différents locuteurs, Aidan et Alfred essentiellement, pour raccorder Elly à sa véritable identité, la réalisation se contentant, par divers partis pris tape-à-l’œil comme l’irruption de la couleur dans un cadre en noir et blanc, de mettre en images leurs propos. Les retournements de situation, bien pensés au demeurant, sont souvent anticipés par les dispositifs de mise en scène, spoiler: à l’instar de l’attaque du chat qui empêche l’identification oculaire . Le réalisateur paraît appliqué à imposer sa patte esthétique : ralentis nombreux, grande souplesse de mouvements de la caméra capable de suivre des corps-à-corps, musique pop en décalage avec la situation qu’elle habille… Tout ce qui faisait la singularité du premier Kingsman, son meilleur film, dans la mesure où il s’agissait de tentatives et de trouvailles. Nulle innovation ici mais une démonstration de maîtrise qui glisse sur la rétine du spectateur sans la marquer, sinon lors d’une clausule chorégraphiée surprenante doublée d’une relecture parodique de Titanic. Car (enfin) quelque chose se passe dans le dernier acte, la superposition des identités occasionnant une folie tonale et visuelle que nous aurions aimé étendue à l’ensemble du long métrage.
Argylle, agréablement surpris par ce film. J'y suis allé sans rien connaître, ni les acteurs dans la production, ni le réalisateur, ni l'histoire. Et là surprise fut de taille. Un réel vent de fraîcheur qui sort des sentiers battus, et notamment les scènes d'actions qui mêlent habilement humour, décalage et chorégraphie. De plus, l'histoire ne cesse de se renouveller en créant des rebondissements et le tout se veut réellement cohérent. Bryce Dallas Howard et Sam Rockwell sont juste exceptionnels. Ils incarnent parfaitement les personnages et ces derniers évoluent dans l'histoire permettant aux acteurs de montrer plusieurs facettes de leur talent. Cependant, le film pêche tout de même sur de nombreux points. Pour commencer le long métrage et trop long, le milieu est vraiment indigeste et la surabondance d'informations entre les personnages n'aident pas à créer du rythme. Dans un second temps, je trouve que le film a des effets spéciaux très très bas pour une production de se calibre, entre les fonds verts à foison, et les mauvaises incrustes pour un film de ce calibre, ce n'est pas normal. Et pour terminer, même si les scènes d'actions sont vraiment incroyable avec une mention spéciale spoiler: à celle du train , j'aurais aimé avoir plus de scènes dans ce genre spoiler: avec une alternance entre la protagoniste Elly et Argylle.
. Pour conclure, un film qui sait tirer son épingle du jeu en proposant de nouvelles choses pour un film d'espionnage/action, dansspoiler: la lignée des Kingsman , mais qui manque de rythme. On aurait aimé retrouver ce type de film en période estivale!!!
Quelle daube. C'est censé être du second degré ? Et bien c'est pas drôle. Le scénario est foireux. Les personnages n'ont aucun charisme. On s'ennuie ferme, j'ai eu beaucoup de mal à terminer. Future razzie awards pour 2025.
Du pur divertissement! La course poursuite du prologue sur les toits et les ruelles grecs est époustouflante. Les 30 dernières minutes nous proposent littéralement des shows en rafale, avec pour clous du spectacle 2 chorégraphies incroyables! Le début du scénario est très réussi avec une triple mise en abyme : le héros s'adresse à l'écrivaine pour modifier ou pour commenter l'histoire; l'écrivaine devient actrice de son propre livre; l'écrivaine doit inventer en direct la fin de son livre pour se sauver. C'est après que tout se gâte et devient un peu trop déglingué. Globalement ROCKWELL sera trop cabotin, DALLAS HOWARD trop midinette et peu charismatique, O'HARA actrice gâchant son rôle, et Samuel L. JACKSON trop peu employé... Trop de cabotinage tout de même!
Lamentable, un navet, scénario très mauvais, scènes d'action en image de synthèse ratées, mauvaise disco et violons, tout tourne autour du casting, fait, je pense, pour attirer le plus de fans. A éviter de toute urgence.
Le nouveau film de Matthew Vaughn ne fait décidément pas l’unanimité, pas besoin de le comparer aux grands Kingsman ou encore à Kick-Ass : il faut se faire son propos avis ça c’est certain. Malgré des effets spéciaux pas toujours réussi, des rebondissements un peu trop nombreux et des personnages pas très charismatiques, la mise en scène de l’histoire est vraiment originale et intéressante ! Le casting est très bon mais les personnages peu développés pour qu’on puisse s’attacher à eux dommage. Un film d’espionnage comme on les aime : drôle, divertissant et un peu complexe. J’attends avec impatience la suite de cette trilogie qui, j’espère, sera rattrapée les petits défauts faits dans le premier ! PS : la scène de fin attise encore plus notre intérêt !!
La vraie question, c'est comment Sam Rockwell a pu aller se perdre là-dedans. J'adore Henry Cavill par ailleurs, mais quel mauvais film.. Dès le départ, on sait que ça n'annonce rien de bon.
1, 2 étoiles. Encore un film complètement à l'ouest. J'ai tenu 30 minutes. Un " james bond " déjanté mais complètement bidon et surréaliste. On n'y croit pas une seconde. Juste bon pour des ados. Pas ma soupe ou plus pas mon sirop.
Je suis Très étonné des mauvaises critiques contre ce film. C'est vrai que King's man est supérieur côté réalisation, mais pourquoi bouder son plaisir face à ce très bon pop Corn movie. Il n'a qu'un seul but, c'est de nous divertir et ça c'est gagné. Quelques bons rebondissements, une action plus que sympa ( la scène du patin à glace) nous permet de ne pas voir passer les 2h20 du film. Rajoutez à ça la promesse d'un cross over avec King's man. Vivement le numéro 2