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Votre avis sur Argylle ?
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Le nouveau Matthew Vaughn a du mal à tenir toutes ses promesses. Toujours pechu lorsqu'il s'agit de filmé les scènes d'actions, elles sont ultra dynamiques, stylisés et chorégraphiés avec soins, même s'il elle tombent souvent dans l'excès ici, notamment celle du "patinage" , en revanche le scénario ne suit pas malgré ses ressemblances avec Kingman. Abusant des retournements de situations au détriment de la cohérence, ceux-ci finissent par lasser et nous désintéressé peu à peu de l'histoire, servant uniquement par la suite de prétexte à des scènes d'actions assez farfelues tout en se traînant en longueur plus que de raison sur sa fin. Divertissement honorable, mais décevant venant de son réalisateur qui nous avait habitué à des récits plus efficaces.
Film de plus de 2h qui permet ainsi à l'histoire d'être développée. Beaucoup d'humour, de belles chorégraphies de bagarres, un scénario à tiroirs et de bons acteurs. Bref un excellent moment
« Argylle » s’avère aussi distrayant et superflu qu’un après-midi de shopping compulsif. Porté par le succès, Matthew VAUGHN opte pour la facilité en choisissant de dissoudre son audace dans un film d’action industriel. Trop préoccupé à ironiser sur les stéréotypes de la comédie d’aventure. De plus, la love story naissante entre nos deux protagonistes, cousue de fil blanc, dégage une permanente impression d’artifice.
Argylle a fait ce fameux pari, faire une campagne de communication "trompeuse" sur le film, en mettant en avant Henri Cavill comme Héros principal alors qu'on ne le voit quasiment pas. Forcément, comme n'importe quelle surprise, ça plaît ou pas ! Pour nous ça a été une déception, on s'attendait à un vrai film d'action un peu barré, comme Kingsman (2015) ou kick Ass (2010) du même réalisateur, là on est plus proche de la comédie avec un peu d'action pas crédible. Parce que non, désolé, mais l'actrice ne fait pas illusion, ça sonne faux, même sur le ton de l'humour, il y a un truc qui ne fonctionne pas. Dommage car l'intrigue n'est pas mauvaise, avec plein de retournement de situation, limite trop d'ailleurs. Bref, la sauce n'a pas pris, pas grand-chose à retenir pour nous.
Ce film va trop loin dans le délire.
Aux commandes, on a le réalisateur de l’excellent Kingsman qui fournit un peu de son ADN à Argylle. En effet, c’est un film d’action orienté comédie dans un univers essentiellement fait d’espions. A l’affiche une sacrée brochette de bons acteurs très connus : jusque là, tout ce qu’il faut pour un excellent film très prometteur et divertissant. Mais voilà, je ne sais pas ce qui est passé par la tête de Matthew Vaughn, le réalisateur. Cela commence bien par l’histoire d’une femme auteur de livres d’espionnage qui est habitée par ses aventures au point de nous les faire vivre en rêve éveillé. Oui, ce n’est pas très clair, il faut voir le film. Mais ensuite, l’histoire prend une tournure assez étonnante car l’auteur du livre est en même temps une espionne qui intervient dans son livre. Là, on a perdu les ¾ des spectateurs. Oui, c’est tordu et même si j’aime les histoires pas très sérieuses et déjantées, ici c’est un cran trop loin. Même les acteurs surjouent volontairement en mode ridicule pour signifier le coté hyper décalé mais en fin de compte : pourquoi ? On progresse entre fiction, rêve, réalité, sérieux et drôle et finalement on ne sait plus quoi penser. Ce n’était pas nécessaire de serrer le cou de l’histoire à ce point.
On devine l’énorme potentiel et le budget énorme fourni par Apple. Les acteurs sont bons et la mise en scène professionnelle. Mais sur le plateau, on peut se dire qu’ils ont bu ou fumé de la bonne car c’est fou la direction que prend le film en mode parodie stupide. J’ai aimé un certain temps, mais au bout d'un moment ça m'a semblé ringard. Bon, je n’ai pas eu de mal à terminer le film. Les actions sont divertissantes et en nombres. Ce n’est pas un naufrage mais franchement, c’est trop dans le registre du ridicule.
Aux commandes, on a le réalisateur de l’excellent Kingsman qui fournit un peu de son ADN à Argylle. En effet, c’est un film d’action orienté comédie dans un univers essentiellement fait d’espions. A l’affiche une sacrée brochette de bons acteurs très connus : jusque là, tout ce qu’il faut pour un excellent film très prometteur et divertissant. Mais voilà, je ne sais pas ce qui est passé par la tête de Matthew Vaughn, le réalisateur. Cela commence bien par l’histoire d’une femme auteur de livres d’espionnage qui est habitée par ses aventures au point de nous les faire vivre en rêve éveillé. Oui, ce n’est pas très clair, il faut voir le film. Mais ensuite, l’histoire prend une tournure assez étonnante car l’auteur du livre est en même temps une espionne qui intervient dans son livre. Là, on a perdu les ¾ des spectateurs. Oui, c’est tordu et même si j’aime les histoires pas très sérieuses et déjantées, ici c’est un cran trop loin. Même les acteurs surjouent volontairement en mode ridicule pour signifier le coté hyper décalé mais en fin de compte : pourquoi ? On progresse entre fiction, rêve, réalité, sérieux et drôle et finalement on ne sait plus quoi penser. Ce n’était pas nécessaire de serrer le cou de l’histoire à ce point.
On devine l’énorme potentiel et le budget énorme fourni par Apple. Les acteurs sont bons et la mise en scène professionnelle. Mais sur le plateau, on peut se dire qu’ils ont bu ou fumé de la bonne car c’est fou la direction que prend le film en mode parodie stupide. J’ai aimé un certain temps, mais au bout d'un moment ça m'a semblé ringard. Bon, je n’ai pas eu de mal à terminer le film. Les actions sont divertissantes et en nombres. Ce n’est pas un naufrage mais franchement, c’est trop dans le registre du ridicule.
Matthew Vaughn suit la voie de son pote, à savoir enchaîner les projets qui font regretter leurs succès. C'est deux réalisateurs géniaux perdent un peu plus de leur modjo à chaque film, en répétant leurs gimmicks et en proposant des personnages toujours plus creux. Argylle est d'abord affreux visuellement, et ses différentes intrigues et twists lassent. Sans compter que si la bande annonce et l'affiche mettent en avant Henry Cavill, la réalité est toute autre ! C'est un 2nd couteau. Et les 1ers rôles sont sympathiques mais sans plus. Too much, et C'est vraiment trop.
Difficile d'accrocher à ce genre de scénario absurde. Il s'agit d'une comédie avec beaucoup d'actions, certes les moyens sont là (cascades, effets spéciaux, acteurs dynamique et charismatiques) mais l'histoire est d'une débilité absolue. Dans le genre, difficile de faire pire...Incohérences à gogo et histoire sans aucune crédibilité.
BROSSES ET BOTTES DE CUIR !
Bradley James Allan. Ce nom ne vous dit sûrement rien, et pourtant c’est grâce à cet homme de l’ombre parti à seulement 48 ans, que de nombreux films ont pus briller par leurs scènes d’action, notamment ceux de la saga Kingsman ! Dire que j’attendais avec une certaine appréhension le prochain film de la saga est une douce boutade. Car oui, Argylle fait parti de l’univers des gentlemen espions, et est surtout réalisé par le même trublion : Matthew Vaughn !
Sur ce point, si les scènes d’action de ce film restent assez jouissives, elles n’égalent pas tout à fait l’inventivité de la saga Kingsman, mis à part la délirante scène finale qui mettra à rude épreuve votre suspension d’incrédulité. Bref ; on rit de bon cœur, ou on frappe son front de consternation, c’est selon. Me concernant, devant le côté inédit de la chose, je me suis volontiers incliné !
Autre point étonnant du film, la mise en scène Matthew Vaughn se veut nettement plus sage dans les expérimentations de mouvements de caméras. Alors certes on perd en inventivité formelle, mais on gagne quelque part en lisibilité, tout en gardant un certain dynamisme. C’est du donnant-donnant en somme. Et si toutes les scènes d’action ne se valent pas en terme d’inventivité, il y a toujours LE petit élément original qui nous fait tiquer en mode : »Tiens, je m’y attendais pas à celle-là ! »
Donc cela reste forcément plaisant, et on sourit de bon cœur.
Enfin dernière surprise et pas des moindres, si généralement ce genre de film enfile les perles niveau narration, Argylle se paie le luxe d’un scénario à tiroirs bourrés de twists parfois attendus, mais parfois totalement étonnants ! Et surtout logiques ! Car si dans le second Kingsman, le fait de ramener les morts à la vie via une technologie franchement pas crédible fait encore débat, les retournements de situation d’Argyle s’enchaînent avec une fluidité déconcertante et surtout crédibles !
Malgré quelques fond verts évidents et un (dodu) chat en image de synthèse de la marque Kissvoua, le spectacle reste ainsi hautement recommandable et respecte son contrat : à savoir divertir, distiller ses « wow effects » formels, et surtout bonus sur le papier, nous étonner encore une fois à coups de théâtres savamment orchestrés.
Bradley James Allan. Ce nom ne vous dit sûrement rien, et pourtant c’est grâce à cet homme de l’ombre parti à seulement 48 ans, que de nombreux films ont pus briller par leurs scènes d’action, notamment ceux de la saga Kingsman ! Dire que j’attendais avec une certaine appréhension le prochain film de la saga est une douce boutade. Car oui, Argylle fait parti de l’univers des gentlemen espions, et est surtout réalisé par le même trublion : Matthew Vaughn !
Sur ce point, si les scènes d’action de ce film restent assez jouissives, elles n’égalent pas tout à fait l’inventivité de la saga Kingsman, mis à part la délirante scène finale qui mettra à rude épreuve votre suspension d’incrédulité. Bref ; on rit de bon cœur, ou on frappe son front de consternation, c’est selon. Me concernant, devant le côté inédit de la chose, je me suis volontiers incliné !
Autre point étonnant du film, la mise en scène Matthew Vaughn se veut nettement plus sage dans les expérimentations de mouvements de caméras. Alors certes on perd en inventivité formelle, mais on gagne quelque part en lisibilité, tout en gardant un certain dynamisme. C’est du donnant-donnant en somme. Et si toutes les scènes d’action ne se valent pas en terme d’inventivité, il y a toujours LE petit élément original qui nous fait tiquer en mode : »Tiens, je m’y attendais pas à celle-là ! »
Donc cela reste forcément plaisant, et on sourit de bon cœur.
Enfin dernière surprise et pas des moindres, si généralement ce genre de film enfile les perles niveau narration, Argylle se paie le luxe d’un scénario à tiroirs bourrés de twists parfois attendus, mais parfois totalement étonnants ! Et surtout logiques ! Car si dans le second Kingsman, le fait de ramener les morts à la vie via une technologie franchement pas crédible fait encore débat, les retournements de situation d’Argyle s’enchaînent avec une fluidité déconcertante et surtout crédibles !
Malgré quelques fond verts évidents et un (dodu) chat en image de synthèse de la marque Kissvoua, le spectacle reste ainsi hautement recommandable et respecte son contrat : à savoir divertir, distiller ses « wow effects » formels, et surtout bonus sur le papier, nous étonner encore une fois à coups de théâtres savamment orchestrés.
darkvash
Le nouveau film de Matthew Vaughn est un désastre scénaristique.
Rien ne tient la route, tout est pris par dessus la jambe et les dialogues sont à mourir d'ennui.
La réalisation n'est pas bonne non plus, les scènes d'action (l'ouverture, le patinage et celle "colorée") sont ridicules.
Les acteurs sont en roue libre et personne ne peut croire à cette histoire sauf éventuellement, un enfant de 2 ans.
Bref de l'ennui et même de la gène au moment du visionnage, at que dire de la scène post générique, au secours, pas ça.
Rien ne tient la route, tout est pris par dessus la jambe et les dialogues sont à mourir d'ennui.
La réalisation n'est pas bonne non plus, les scènes d'action (l'ouverture, le patinage et celle "colorée") sont ridicules.
Les acteurs sont en roue libre et personne ne peut croire à cette histoire sauf éventuellement, un enfant de 2 ans.
Bref de l'ennui et même de la gène au moment du visionnage, at que dire de la scène post générique, au secours, pas ça.
J’ai connu Matthew Vaughn nettement plus inspiré. La bande annonce me donnait envie, au final loin d’être indigeste, « Argylle » et lourd à digérer. Un grosse pâtisserie bien trop sucrée à mon goût.
Pourtant, l’entame de cette pâtisserie était goûteuse avec l’arrivée de Sam Rockwell et toute la poursuite qui s’en est suivie.
Passer la révélation dans le vignoble français… j’ai commencé à saturer et une bonne sieste s'imposait.
Certes, c’est du pur divertissement, tout est à prendre au cinquième degré mais "Argylle" ça n’a pas fonctionné pour moi.
Sam Rockwell est la seule cerise sur le gâteau. Il est ma compensation.
Pourtant, l’entame de cette pâtisserie était goûteuse avec l’arrivée de Sam Rockwell et toute la poursuite qui s’en est suivie.
Passer la révélation dans le vignoble français… j’ai commencé à saturer et une bonne sieste s'imposait.
Certes, c’est du pur divertissement, tout est à prendre au cinquième degré mais "Argylle" ça n’a pas fonctionné pour moi.
Sam Rockwell est la seule cerise sur le gâteau. Il est ma compensation.
Ne jugez pas un livre à sa couverture.
Argylle est à l'image de son introduction. On se dit que tout sonne faux dans cette première scène aux couleurs saturées, à la CGI dégueulasse et à l'action démesurée. Tout sonne faux jusqu'à être risible. Cette confrontation entre un Henry "Big Jim" Cavill et Dua Lipa, cet hélicoptère, cette histoire archi-mâchée, digérée, recrachée et remâchée d'espion doublé par ses employeurs, on a déjà vu Argylle, et en mieux.
Mais immédiatement, Matthew Vaughn "le magnifique" justifie tout ce mauvais goût pour nous faire espérer qu'on se soit trompé.
2 heures plus tard, pour moi le verdict est sans appel, je m'étais trompé. Parce que j'ai rarement vu un film qui arrive à faire de tous ces petits défauts, une force et ce de la plus belle des manières, en s'appuyant uniquement sur sa générosité.
Cette générosité, elle se sent dans chacun des affrontements, elle transpire à travers le duo formé par Bryce Dallas Howard et surtout Sam Rockwell, tous deux excellents et en dehors des normes du film d'espionnage. De leur rencontre ressort immédiatement quelque chose de savoureux qu'on pourrait sous-titrer "l'espion qui mimait". Car si Argylle semble ne rien réinventer, voir parfois paraît un peu facile, il regorge pourtant de scènes flatteuses pour nos rétines et de surprises bancales dans le scénario qui finissent toujours par être réhabilitées. Une ambivalence constante cristallisées par l'opposition permanente dans l'action entre le côté foutraque mais efficace de Rockwell et classe et séduisant en toutes situations de Cavill. Et même si les chats en prennent ici pour leur grade, force est de constater que Vaughn retombe toujours sur ses pattes grâce à cette générosité sans failles évoquée au début de cette critique qui finit par me faire exulter et me donne envie d'exalter ce côté grand enfant à la source d'émerveillement intarissable.
Ainsi, Argylle va crescendo, gommant petit à petit toutes ses propres faiblesses qui apparaissent presque comme des ratés volontaires (oui cette CGI est infâme) et arrivent dans ses derniers instants à sublimer l'improbable dans un déluge de couleurs chorégraphié pour terminer sur un Hollyday on gaz jubilatoire, rendant toutes ses incohérences on ne peut plus pardonnables, voir même cohérentes et acceptables. On sait que non mais on a envie de se dire : "Et pourquoi pas d'abord ?!"
C'était vraiment mal parti mais force est de constater qu'avec amour, tel un sale gosse à l'imagination débordante qui nous raconterait les exploits de son héros avec des étoiles dans les yeux, Vaughn réussit, des années après la surprise qu'avait créé Kingsman, à nous faire un film d'espionnage "feel good" qui m'évoque le compte à rebours paradoxal final durant lequel Eggsy et Gazelle s'affrontent sous les notes joviales du Give it up de KC & The Sunshine Band.
Argylle est à l'image de son introduction. On se dit que tout sonne faux dans cette première scène aux couleurs saturées, à la CGI dégueulasse et à l'action démesurée. Tout sonne faux jusqu'à être risible. Cette confrontation entre un Henry "Big Jim" Cavill et Dua Lipa, cet hélicoptère, cette histoire archi-mâchée, digérée, recrachée et remâchée d'espion doublé par ses employeurs, on a déjà vu Argylle, et en mieux.
Mais immédiatement, Matthew Vaughn "le magnifique" justifie tout ce mauvais goût pour nous faire espérer qu'on se soit trompé.
2 heures plus tard, pour moi le verdict est sans appel, je m'étais trompé. Parce que j'ai rarement vu un film qui arrive à faire de tous ces petits défauts, une force et ce de la plus belle des manières, en s'appuyant uniquement sur sa générosité.
Cette générosité, elle se sent dans chacun des affrontements, elle transpire à travers le duo formé par Bryce Dallas Howard et surtout Sam Rockwell, tous deux excellents et en dehors des normes du film d'espionnage. De leur rencontre ressort immédiatement quelque chose de savoureux qu'on pourrait sous-titrer "l'espion qui mimait". Car si Argylle semble ne rien réinventer, voir parfois paraît un peu facile, il regorge pourtant de scènes flatteuses pour nos rétines et de surprises bancales dans le scénario qui finissent toujours par être réhabilitées. Une ambivalence constante cristallisées par l'opposition permanente dans l'action entre le côté foutraque mais efficace de Rockwell et classe et séduisant en toutes situations de Cavill. Et même si les chats en prennent ici pour leur grade, force est de constater que Vaughn retombe toujours sur ses pattes grâce à cette générosité sans failles évoquée au début de cette critique qui finit par me faire exulter et me donne envie d'exalter ce côté grand enfant à la source d'émerveillement intarissable.
Ainsi, Argylle va crescendo, gommant petit à petit toutes ses propres faiblesses qui apparaissent presque comme des ratés volontaires (oui cette CGI est infâme) et arrivent dans ses derniers instants à sublimer l'improbable dans un déluge de couleurs chorégraphié pour terminer sur un Hollyday on gaz jubilatoire, rendant toutes ses incohérences on ne peut plus pardonnables, voir même cohérentes et acceptables. On sait que non mais on a envie de se dire : "Et pourquoi pas d'abord ?!"
C'était vraiment mal parti mais force est de constater qu'avec amour, tel un sale gosse à l'imagination débordante qui nous raconterait les exploits de son héros avec des étoiles dans les yeux, Vaughn réussit, des années après la surprise qu'avait créé Kingsman, à nous faire un film d'espionnage "feel good" qui m'évoque le compte à rebours paradoxal final durant lequel Eggsy et Gazelle s'affrontent sous les notes joviales du Give it up de KC & The Sunshine Band.
J'aurais mis 4 si il ne traînait pas autant en longueur et finissait pas nous perdre. Sinon très bon délire avec des petits twists bien sympathiques et un super casting. A voir
Un film d'action où on ne s'ennuie pas vraiment. Malheureusement, le scénario est tellement foutraque, invraisemblable que le film tourne au gros n'importe quoi. Dommage.
Dès la première scène du film, on craint le pire, encore une histoire de romancière qui va être transposé à l'écran, et justement la première scène d'action fait peur, avec cette voiturette allant de toits en toits pour coincer la méchante, on se dit, là, ça pique les yeux, caler dans son fauteuil, on craint vraiment le pire.
Ensuite, l'histoire prend une tournure un peu plus fun, avec des rebondissements, et on se dit, s'est pas trop mal tout compte fait, le scénario réserve quelques surprises.
Et enfin, la fin, gâche tout, la surenchère d'effets spéciaux crado et un excès de couleur, un excès de tout, la scène du patinage est pitoyable, comment est-ce possible de gâcher un tel potentiel, et un blockbuster de ce niveau.
Eh, les gars, vous les réalisateurs, replongez vous dans les hit des années 90, et prenez en de la graine, pas d'artifices, de la tôle froissée, de vrais explosions, de vrais bastons bien chorégraphiées, tout cela pouvait nous faire croire un tant soit peu à l'histoire, à s'attacher aux personnages.
Quand au casting, il pourrait être bon, voir Bryce Dallas Howard en écrivaine, pourquoi pas, mais la replacé telle quelle est ensuite dans l'histoire, c'est un peu gros...sans mauvais jeux de mots.
Un film gâché, on aurait aimé aimer, mais aujourd'hui, on pense que le manque de scénario sera compensé par les fonds verts, et le CGI, pourquoi tous les films de Marvel se cassent la gueule, c'est que le public s'est lassé du pastiche qui nous est proposé, alors arrêtez, et revenez à du cinéma plaisir, simple et efficace.
Ensuite, l'histoire prend une tournure un peu plus fun, avec des rebondissements, et on se dit, s'est pas trop mal tout compte fait, le scénario réserve quelques surprises.
Et enfin, la fin, gâche tout, la surenchère d'effets spéciaux crado et un excès de couleur, un excès de tout, la scène du patinage est pitoyable, comment est-ce possible de gâcher un tel potentiel, et un blockbuster de ce niveau.
Eh, les gars, vous les réalisateurs, replongez vous dans les hit des années 90, et prenez en de la graine, pas d'artifices, de la tôle froissée, de vrais explosions, de vrais bastons bien chorégraphiées, tout cela pouvait nous faire croire un tant soit peu à l'histoire, à s'attacher aux personnages.
Quand au casting, il pourrait être bon, voir Bryce Dallas Howard en écrivaine, pourquoi pas, mais la replacé telle quelle est ensuite dans l'histoire, c'est un peu gros...sans mauvais jeux de mots.
Un film gâché, on aurait aimé aimer, mais aujourd'hui, on pense que le manque de scénario sera compensé par les fonds verts, et le CGI, pourquoi tous les films de Marvel se cassent la gueule, c'est que le public s'est lassé du pastiche qui nous est proposé, alors arrêtez, et revenez à du cinéma plaisir, simple et efficace.
Le film était bien parti , un scénario original avec plusieurs rebondissements conséquents, une bande son sympa et des acteurs plutôt convaincants, un petit problème sur les effets spéciaux en revanche assez décevants, avec un budget pareil ... ils auraient pu faire mieux ... sur la deuxième partie en revanche c'est là que ça part en vrille , on pense qu'on arrive à la fin du film et paffff on est à peine à la moitié . Du coup le rythme est mal adapté à notre appétence. Bref en plus de ça , de l'originalité on part sur une folie passagère du réal que j'aime bien en plus mais ça va trop loin à mon goût ... et ça ne passe malheureusement pas sur la fin , des scènes trop grotesques et une fin trop loufoque pour ma part , ce qui donne clairement envie de quitter le cinéma . Plus globalement, il n'en reste pas moins apprécié mais long avec une fin tellement bizarre avec le rythme du film et une scène post générique vraiment bizarre aussi .
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