Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Les effets spéciaux sont absolument fantastiques, tout comme les chorégraphies de combat. Un régal.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Courses-poursuites, ralentis exacerbés, explosions en tous sens, bourre-pifs généreux, Argylle frise souvent le n’importe quoi, mais c’est précisément ce qui en fait la sève, à déguster tel un plaisir coupable… Dont on se refuserait à avoir honte la moindre seconde !
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé Loisirs
par Corentin Marouby
Matthew Vaughn signe un pur divertissement avec cette comédie d'espionnage frénétique, émaillée d'excitantes séquences d'action.
CNews
par La rédaction
Malgré tous les efforts fournis par le cinéaste, « Argylle » désarçonne parfois tant les intrigues (trop nombreuses) s’entremêlent à un rythme effréné aux quatre coins de la planète, de la Grèce aux Etats-Unis en passant par la France et l’Angleterre.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Autant narrativement qu’esthétiquement, Argylle déborde de partout, sans jamais parvenir à contenir ses excès et à dompter ses intentions – là où Kingsman, premier du nom, excellait justement dans son dosage. Le spectacle reste néanmoins plutôt efficace et souvent amusant à suivre (...).
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Argylle multiplie les rebondissements et les twists scénaristiques improbables pour offrir un film d’espionnage kitsch et déluré, à la fois un pastiche et un hommage aux romans de gare.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Narrativement, c’est foutraque. Visuellement, c’est souvent laid, et Matthew Vaughn perd le nord avec son univers d’espions où réel et fiction se mêlent. Reste qu’"Argylle" réveille par instants les qualités évidentes de son réalisateur, qu’il s’agisse de ses castings inspirés ou de son inventivité en matière d’action.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Argylle est un grand n’importe quoi totalement assumé, mais dans une bonne humeur générale qui emporte largement sur un scénario qui a plus de trous qu’une passoire.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une fable qui verse constamment dans l'excès, mais qui séduit par sa fantaisie, son sens de la dérision et ses scènes d'action spectaculaires.
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
À force de tournicoter sur lui-même, le récit suscite moins le vertige qu’une certaine monotonie : toutes les quinze minutes, il se contorsionne pour relancer la machine d’un tour de passe-passe tapageur et fastidieux.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Attention, on ne s’ennuie pas dans cette comédie d’action explosive et ludique, signée par le réalisateur des Kingsman, où Bryce Dallas Howard impose sa formidable nature fougueuse. Mais le job n’est pas terminé ! En témoigne ce gloubi-boulga d’effets spéciaux inaboutis, dont le chat fétiche de notre héroïne, d’une laideur redoutable.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Les blagues les plus courtes sont les meilleures et celle-ci est beaucoup trop longue et inconstante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
L’agent Argylle voit ses aventures arriver à leur terme, là où celle de son autrice, Elly Conway, ne font que commencer. Film faussement sympathique, "Argylle" ennuie par son absence d’originalité, sa mise en scène balourde et des rebondissements bien trop appuyés.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Sacha Rosset
"Argylle" apparaît comme une ode assumée au mauvais goût, avec une galerie de personnages qui tient davantage des comics de seconde zone que de la mythologie bondienne.
Critikat.com
par Lukas Moreau
Autophage et autosatisfait, Argylle est une espèce de spirale mortifère sans aboutissement, une poupée russe boulimique qui n’a de cesse de synthétiser des images vides pour mieux ensuite les régurgiter.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Tape-à-l’œil, vulgaire et sans fin.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par C.J.
L'ex Superman Henry Cavill s'amuse beaucoup en prêtant ses traits à l'agent spécial, né de la plume d'Elizabeth. Mais contrairement à ce que suggère son nom en haut de l'affiche, son temps d'écran est fort limité. Bref, passez votre chemin.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Jo.
Matthew Vaughn semble ne pas concevoir la fiction autrement que comme un grand parc d’attractions où s’enchaînent à un rythme exténuant retournements pétaradants, métarécit mal fichu et grandes scènes d’action moches. Autant de contorsions qui débouchent sur la seule chose que nous inspire son cinéma et qu’il voulait pourtant éviter : l’ennui.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Ce mauvais plagiat – peut-être involontaire, mais qu’importe ! – du « Magnifique » (1973) avec notre Bébel national ne se voit pas vraiment rattrapé par les prestations plutôt ratées de la plupart de ses comédiens : quelle déception !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Au-delà des performances dénuées d'éclat des habituellement plus excitants Henry Cavill, Sam Rockwell mais aussi Bryan Cranston et papy Sam Jackson, ce rollercoaster d'une spectaculaire laideur illustre à son tour l'impuissance de Hollywood à retrouver ce qui faisait jadis l'épice des grands blockbusters d'action des années 1980/1990.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Marius Chapuis
Epuisante parodie de thriller où une autrice à succès se retrouve embarquée dans un complot par son héros, le dernier film de Matthew Vaughn côtoie des sommets de vide.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Marie Sauvion
Après quoi courent-ils vraiment, hormis une inévitable clé USB ? Tout le monde s’en fiche, à commencer par l’auteur de cette comédie, qui pioche un peu dans Le Magnifique et beaucoup dans ses King’s Man successifs, pour secouer des acteurs, des effets spéciaux, les Beatles et des tonnes de renversements de situation dans un shaker à 200 millions de dollars.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Public
Les effets spéciaux sont absolument fantastiques, tout comme les chorégraphies de combat. Un régal.
Rolling Stone
Courses-poursuites, ralentis exacerbés, explosions en tous sens, bourre-pifs généreux, Argylle frise souvent le n’importe quoi, mais c’est précisément ce qui en fait la sève, à déguster tel un plaisir coupable… Dont on se refuserait à avoir honte la moindre seconde !
Télé Loisirs
Matthew Vaughn signe un pur divertissement avec cette comédie d'espionnage frénétique, émaillée d'excitantes séquences d'action.
CNews
Malgré tous les efforts fournis par le cinéaste, « Argylle » désarçonne parfois tant les intrigues (trop nombreuses) s’entremêlent à un rythme effréné aux quatre coins de la planète, de la Grèce aux Etats-Unis en passant par la France et l’Angleterre.
CinemaTeaser
Autant narrativement qu’esthétiquement, Argylle déborde de partout, sans jamais parvenir à contenir ses excès et à dompter ses intentions – là où Kingsman, premier du nom, excellait justement dans son dosage. Le spectacle reste néanmoins plutôt efficace et souvent amusant à suivre (...).
Dernières Nouvelles d'Alsace
Argylle multiplie les rebondissements et les twists scénaristiques improbables pour offrir un film d’espionnage kitsch et déluré, à la fois un pastiche et un hommage aux romans de gare.
Ecran Large
Narrativement, c’est foutraque. Visuellement, c’est souvent laid, et Matthew Vaughn perd le nord avec son univers d’espions où réel et fiction se mêlent. Reste qu’"Argylle" réveille par instants les qualités évidentes de son réalisateur, qu’il s’agisse de ses castings inspirés ou de son inventivité en matière d’action.
Le Dauphiné Libéré
Argylle est un grand n’importe quoi totalement assumé, mais dans une bonne humeur générale qui emporte largement sur un scénario qui a plus de trous qu’une passoire.
Le Journal du Dimanche
Une fable qui verse constamment dans l'excès, mais qui séduit par sa fantaisie, son sens de la dérision et ses scènes d'action spectaculaires.
Cahiers du Cinéma
À force de tournicoter sur lui-même, le récit suscite moins le vertige qu’une certaine monotonie : toutes les quinze minutes, il se contorsionne pour relancer la machine d’un tour de passe-passe tapageur et fastidieux.
La Voix du Nord
Attention, on ne s’ennuie pas dans cette comédie d’action explosive et ludique, signée par le réalisateur des Kingsman, où Bryce Dallas Howard impose sa formidable nature fougueuse. Mais le job n’est pas terminé ! En témoigne ce gloubi-boulga d’effets spéciaux inaboutis, dont le chat fétiche de notre héroïne, d’une laideur redoutable.
Le Journal du Geek
Les blagues les plus courtes sont les meilleures et celle-ci est beaucoup trop longue et inconstante.
Les Fiches du Cinéma
L’agent Argylle voit ses aventures arriver à leur terme, là où celle de son autrice, Elly Conway, ne font que commencer. Film faussement sympathique, "Argylle" ennuie par son absence d’originalité, sa mise en scène balourde et des rebondissements bien trop appuyés.
Mad Movies
"Argylle" apparaît comme une ode assumée au mauvais goût, avec une galerie de personnages qui tient davantage des comics de seconde zone que de la mythologie bondienne.
Critikat.com
Autophage et autosatisfait, Argylle est une espèce de spirale mortifère sans aboutissement, une poupée russe boulimique qui n’a de cesse de synthétiser des images vides pour mieux ensuite les régurgiter.
L'Obs
Tape-à-l’œil, vulgaire et sans fin.
Le Figaro
L'ex Superman Henry Cavill s'amuse beaucoup en prêtant ses traits à l'agent spécial, né de la plume d'Elizabeth. Mais contrairement à ce que suggère son nom en haut de l'affiche, son temps d'écran est fort limité. Bref, passez votre chemin.
Le Monde
Matthew Vaughn semble ne pas concevoir la fiction autrement que comme un grand parc d’attractions où s’enchaînent à un rythme exténuant retournements pétaradants, métarécit mal fichu et grandes scènes d’action moches. Autant de contorsions qui débouchent sur la seule chose que nous inspire son cinéma et qu’il voulait pourtant éviter : l’ennui.
Le Parisien
Ce mauvais plagiat – peut-être involontaire, mais qu’importe ! – du « Magnifique » (1973) avec notre Bébel national ne se voit pas vraiment rattrapé par les prestations plutôt ratées de la plupart de ses comédiens : quelle déception !
Le Point
Au-delà des performances dénuées d'éclat des habituellement plus excitants Henry Cavill, Sam Rockwell mais aussi Bryan Cranston et papy Sam Jackson, ce rollercoaster d'une spectaculaire laideur illustre à son tour l'impuissance de Hollywood à retrouver ce qui faisait jadis l'épice des grands blockbusters d'action des années 1980/1990.
Libération
Epuisante parodie de thriller où une autrice à succès se retrouve embarquée dans un complot par son héros, le dernier film de Matthew Vaughn côtoie des sommets de vide.
Télérama
Après quoi courent-ils vraiment, hormis une inévitable clé USB ? Tout le monde s’en fiche, à commencer par l’auteur de cette comédie, qui pioche un peu dans Le Magnifique et beaucoup dans ses King’s Man successifs, pour secouer des acteurs, des effets spéciaux, les Beatles et des tonnes de renversements de situation dans un shaker à 200 millions de dollars.