Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
La Prisonnière de Bordeaux tient aussi à une forme classique qui lui permet d’étudier scrupuleusement les rapports de classes, mais évite la décharge pulsionnelle et neutralise tous les éléments d’un enchaînement tragique, ce qui peut étonner après la brutalité de Bowling Saturne.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Aidée par les nuances de jeu et les ambiguïtés du parfait duo Isabelle Huppert / Hafsia Herzi, […] Patricia Mazuy confirme la force de son cinéma, ne cherchant jamais la facilité, ou la feignant pour l'instrumentaliser afin de montrer paradoxalement la complexité et les ambivalences du monde et de la place du féminin dans celui-ci.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une rencontre intéressante.
Franceinfo Culture
par Ariane Combes-Savary
Isabelle Huppert et Hafsia Herzi incarnent ces amies improbables avec une facilité déconcertante. La douceur qui s'en dégage irradie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par La rédaction
Incarnant respectivement Alma et Mina, Isabelle Huppert et Hafsia Herzi illuminent ce film aux accents chabroliens, dans lesquels se mêlent habilement lutte des classes et émancipation féminine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Jérémie Oro
Tout à la fois idéal de sororité, théorème chabrolien sur la lutte des classes et démonstration que le paternalisme social ne saurait être l’apanage des hommes, son double portrait de femmes n’est jamais aussi passionnant que lorsqu’il sonde les interstices, ces micro-points de bascule entre deux attitudes, deux regards, via lesquels le réel rattrape brusquement l’utopie.
Le Monde
par Ma. Mt
La relation des deux femmes consistera ainsi à confronter deux « économies » du mensonge : l’une bourgeoise, qui déguise la réalité, l’autre prolétaire, qui procède d’une logique de survie. Ainsi le film s’oriente-t-il vers un magnifique retournement, une qualification positive de l’idée de trahison.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Le spectateur, ébloui, chavire régulièrement, et se laisse emporter par les enjeux de cette amitié si particulière.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Western amoureux ou faux polar, comédie ou mélo, La Prisonnière de Bordeaux, derrière son visage plus doux et harmonieux que les récents films de Mazuy, est lui aussi habité par le vif désir de tout foutre en l’air, de laisser s’échapper ses héroïnes condamnées.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Dans un film tout en douceur et légèreté, Patricia Mazuy narre une histoire d’amitié transclasse entre deux femmes jouées par Isabelle Huppert et Hafsia Herzi.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Isabelle Huppert et Hafsia Herzi, le duo inévitable de l'été 2024.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Étude sociale acérée, La Prisonnière de Bordeaux dépeint la violence de classe avec humour et causticité.
Paris Match
par Yannick Vely
Quand deux stradivarius accordent leur jeu sous la direction d’un brillant chef d’orchestre, cela donne un très bon film, tout en nuance, sur une sonorité qui se heurte aux différences sociales.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Public
par Marie-Pierre Galinon
La Prisonnière de Bordeaux est un cocktail réjouissant de polar politique, de psychologie et de romanesque.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Isabelle Huppert, d’une bouleversante mélancolie, et Hafsia Herzi entre duo et duel dans ce film de la réalisatrice Patricia Mazuy.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Au côté de la parfaite Hafsia Herzi, Isabelle Huppert semble sortir d'une satire de Chabrol : elle apporte de l'ambiguïté, mais aussi un humour décapant à cette Mina fantasque et culottée.
Télérama
par Louis Guichard
Deux femmes de milieux sociaux différents, et dont les maris sont incarcérés, se rencontrent. Une mise en scène superbe, aux échos chabroliens.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Fabrice Fuentes
Ce que La Prisonnière de Bordeaux gagne en lisibilité, la cinéaste le perd en revanche en singularité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Déjà réunies à l’écran par André Téchiné dans Les Gens d’à côté, sorti en juillet, Isabelle Huppert et Hafsia Herzi forment un duo épatant, même si le bouleversement intime de la première prend le pas sur l’intrigue policière développée autour de la seconde. Qui sonne faux et paraît superflue, puisque le véritable sujet, c’est leur relation, leur cohabitation, ce qu’elles apportent l’une à l’autre, la consolation et le soutien.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Entre drame et comédie, une fiction troublante, mais inégale.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Convaincante dans son observation d’une relation transcendant les classes, Patricia Mazuy est plus hâtive dans ses emprunts au film de genre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thomas Baurez
Isabelle Huppert et Hafsia Herzi excellent dans un récit hélas poussif, entre thriller et psychodrame social.
Positif
par Yannick Lemarié
Sans surprise, le scénario est plié. Le jeu des actrices, leur physique et leur parler si dissemblables constituent assurément la force de La Prisonnière de Bordeaux. Trop systématique, ils en représentent également la limite.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Patricia Mazuy signe son film à plus fort potentiel populaire, tout en restant exigeante sur le plan de l’écriture. Ce récit d’une amitié improbable échappe à tous les clichés, et bénéficie du rayonnement de ses deux actrices.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
L'idée de la "libération" de ces deux femmes, Alma et Mina, aurait pu être une métaphore vibrante et émouvante. Mais ici, elle demeure quelque peu figée, presque théorique.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Film d’actrices avant tout.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Isabelle Huppert et Hafsia Herzi parviennent à incarner une certaine vérité des émotions, mais cette vérité reste enfermée dans un cadre trop étroit, comme si leurs personnages ne parvenaient jamais à se libérer vraiment de leurs prisons intérieures.
Le Figaro
par E.S.
On ne sait pas très bien ce que Mazuy veut dire au spectateur dans un dernier acte où chaque scène contredit la précédente avec un manque de cohérence gênant. Cette valse-hésitation est moins de l'ambiguïté qu'une faiblesse du scénario, jusqu'ici très tenu dans une veine chabrolienne. Isabelle Huppert gagne à partager l'écran avec Hafsia Herzi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Thomas Baurez
La bromance est problématisée à pas si feutrés qu’on n’entend plus rien. Hier, chez Téchiné (Les gens d’à côté) aujourd’hui ici, Herzi regarde à nouveau Huppert. Manque dans les deux cas l’électricité qui viendrait tout embraser.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par Sébastien Ors
Hafsia Herzi est formidable tandis qu'Isabelle Huppert ronronne dans ce film qui s'évertue à démontrer que la sororité recèle de vertus émancipatrices.
Télé Loisirs
par Sébastien Ors
(...) un film qui s'évertue à démontrer que la sororité entre femmes de classes sociales différentes recèle des vertus émancipatrices. C'est un peu court.
Cahiers du Cinéma
La Prisonnière de Bordeaux tient aussi à une forme classique qui lui permet d’étudier scrupuleusement les rapports de classes, mais évite la décharge pulsionnelle et neutralise tous les éléments d’un enchaînement tragique, ce qui peut étonner après la brutalité de Bowling Saturne.
Culturopoing.com
Aidée par les nuances de jeu et les ambiguïtés du parfait duo Isabelle Huppert / Hafsia Herzi, […] Patricia Mazuy confirme la force de son cinéma, ne cherchant jamais la facilité, ou la feignant pour l'instrumentaliser afin de montrer paradoxalement la complexité et les ambivalences du monde et de la place du féminin dans celui-ci.
Femme Actuelle
Une rencontre intéressante.
Franceinfo Culture
Isabelle Huppert et Hafsia Herzi incarnent ces amies improbables avec une facilité déconcertante. La douceur qui s'en dégage irradie.
La Croix
Incarnant respectivement Alma et Mina, Isabelle Huppert et Hafsia Herzi illuminent ce film aux accents chabroliens, dans lesquels se mêlent habilement lutte des classes et émancipation féminine.
La Septième Obsession
Tout à la fois idéal de sororité, théorème chabrolien sur la lutte des classes et démonstration que le paternalisme social ne saurait être l’apanage des hommes, son double portrait de femmes n’est jamais aussi passionnant que lorsqu’il sonde les interstices, ces micro-points de bascule entre deux attitudes, deux regards, via lesquels le réel rattrape brusquement l’utopie.
Le Monde
La relation des deux femmes consistera ainsi à confronter deux « économies » du mensonge : l’une bourgeoise, qui déguise la réalité, l’autre prolétaire, qui procède d’une logique de survie. Ainsi le film s’oriente-t-il vers un magnifique retournement, une qualification positive de l’idée de trahison.
Le Parisien
Le spectateur, ébloui, chavire régulièrement, et se laisse emporter par les enjeux de cette amitié si particulière.
Les Inrockuptibles
Western amoureux ou faux polar, comédie ou mélo, La Prisonnière de Bordeaux, derrière son visage plus doux et harmonieux que les récents films de Mazuy, est lui aussi habité par le vif désir de tout foutre en l’air, de laisser s’échapper ses héroïnes condamnées.
Libération
Dans un film tout en douceur et légèreté, Patricia Mazuy narre une histoire d’amitié transclasse entre deux femmes jouées par Isabelle Huppert et Hafsia Herzi.
Marianne
Isabelle Huppert et Hafsia Herzi, le duo inévitable de l'été 2024.
Marie Claire
Étude sociale acérée, La Prisonnière de Bordeaux dépeint la violence de classe avec humour et causticité.
Paris Match
Quand deux stradivarius accordent leur jeu sous la direction d’un brillant chef d’orchestre, cela donne un très bon film, tout en nuance, sur une sonorité qui se heurte aux différences sociales.
Public
La Prisonnière de Bordeaux est un cocktail réjouissant de polar politique, de psychologie et de romanesque.
Sud Ouest
Isabelle Huppert, d’une bouleversante mélancolie, et Hafsia Herzi entre duo et duel dans ce film de la réalisatrice Patricia Mazuy.
Télé 7 Jours
Au côté de la parfaite Hafsia Herzi, Isabelle Huppert semble sortir d'une satire de Chabrol : elle apporte de l'ambiguïté, mais aussi un humour décapant à cette Mina fantasque et culottée.
Télérama
Deux femmes de milieux sociaux différents, et dont les maris sont incarcérés, se rencontrent. Une mise en scène superbe, aux échos chabroliens.
Critikat.com
Ce que La Prisonnière de Bordeaux gagne en lisibilité, la cinéaste le perd en revanche en singularité.
Le Journal du Dimanche
Déjà réunies à l’écran par André Téchiné dans Les Gens d’à côté, sorti en juillet, Isabelle Huppert et Hafsia Herzi forment un duo épatant, même si le bouleversement intime de la première prend le pas sur l’intrigue policière développée autour de la seconde. Qui sonne faux et paraît superflue, puisque le véritable sujet, c’est leur relation, leur cohabitation, ce qu’elles apportent l’une à l’autre, la consolation et le soutien.
Les Echos
Entre drame et comédie, une fiction troublante, mais inégale.
Les Fiches du Cinéma
Convaincante dans son observation d’une relation transcendant les classes, Patricia Mazuy est plus hâtive dans ses emprunts au film de genre.
Ouest France
Isabelle Huppert et Hafsia Herzi excellent dans un récit hélas poussif, entre thriller et psychodrame social.
Positif
Sans surprise, le scénario est plié. Le jeu des actrices, leur physique et leur parler si dissemblables constituent assurément la force de La Prisonnière de Bordeaux. Trop systématique, ils en représentent également la limite.
aVoir-aLire.com
Patricia Mazuy signe son film à plus fort potentiel populaire, tout en restant exigeante sur le plan de l’écriture. Ce récit d’une amitié improbable échappe à tous les clichés, et bénéficie du rayonnement de ses deux actrices.
Dernières Nouvelles d'Alsace
L'idée de la "libération" de ces deux femmes, Alma et Mina, aurait pu être une métaphore vibrante et émouvante. Mais ici, elle demeure quelque peu figée, presque théorique.
La Voix du Nord
Film d’actrices avant tout.
Le Dauphiné Libéré
Isabelle Huppert et Hafsia Herzi parviennent à incarner une certaine vérité des émotions, mais cette vérité reste enfermée dans un cadre trop étroit, comme si leurs personnages ne parvenaient jamais à se libérer vraiment de leurs prisons intérieures.
Le Figaro
On ne sait pas très bien ce que Mazuy veut dire au spectateur dans un dernier acte où chaque scène contredit la précédente avec un manque de cohérence gênant. Cette valse-hésitation est moins de l'ambiguïté qu'une faiblesse du scénario, jusqu'ici très tenu dans une veine chabrolienne. Isabelle Huppert gagne à partager l'écran avec Hafsia Herzi.
Première
La bromance est problématisée à pas si feutrés qu’on n’entend plus rien. Hier, chez Téchiné (Les gens d’à côté) aujourd’hui ici, Herzi regarde à nouveau Huppert. Manque dans les deux cas l’électricité qui viendrait tout embraser.
Télé 2 semaines
Hafsia Herzi est formidable tandis qu'Isabelle Huppert ronronne dans ce film qui s'évertue à démontrer que la sororité recèle de vertus émancipatrices.
Télé Loisirs
(...) un film qui s'évertue à démontrer que la sororité entre femmes de classes sociales différentes recèle des vertus émancipatrices. C'est un peu court.