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L'homme sans nom
159 abonnés
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3,0
Publiée le 31 mars 2024
Un nouveau film centré sur une des femmes de Henri VIII, la dernière en l'occurrence. Avec un casting bon mais sans surprise (Vikander comme Law sont habitués de ce type de rôle), Le Jeu de la Reine se permet de grosses libertés historiques pour conclure un arc narratif déjà vu et revu. Pour ce qui est de la forme, tout est très conventionnel. Le tout est plaisant mais avec si peu d'originalité, je pense que j'aurais oublié cette séance d'ici quelques semaines...
Le film m'a fait penser un peu à la série "Les tudors" Ce film raconte la violence conjugale de la reine par son roi. Elle fait en sorte de rester en vie car les 5 autres femmes du roi sont tous mortes. J'ai beaucoup aimer le jeu des 2 acteurs Jude law et Alicia Vikander. Les décors et costumes sont bien. Cela montre une partie du quotidien de la reine face à son mari et roi violent
Peu nombreux sont les films d'époque soignés qui s'aventurent dans l'Europe du XVIème siècle, rien que pour cela, Le Jeu de la Reine vaut le détour, pour les amateurs du genre. Ces quelques années de l'histoire de Catherine Parr, dernière épouse d'un roi monstrueux dans tous les sens du terme, sont un matériau riche pour les scénaristes. Complots, dangers, pouvoir, trahisons, amours contrariés, tout y est. Le Jeu de la Reine s'offre en plus le plaisir d'une réécriture féministe savoureuse, même si peut-être un peu opportuniste, de cette histoire. Alicia Vikander est magnétique, et Jude Law parfait dans ce rôle à contre-emploi.
Je ne me prononcerai pas sur les libertés, que le réalisateur a pris ou n’a pas pris sur la réalité historique mais je peux dire que le film est intéressant, La mise en scène efficace, la photo et les décors magnifiques et l’interprétation sans faille !
« À quoi bon être reine si je n'ai pas le courage de mes convictions. » Dernière épouse du roi Henri VIII, Catherine Parr se retrouve dans une position assez délicate quand on sait ce qui est arrivé à certaines de ses précédentes épouses. Cependant, elle n'est pas du genre à se limiter à ce que l'on attend d'elle, mais son indépendance et surtout sa liberté de penser vont finir par mettre sa vie en danger... Avec son premier film en anglais, qui n'est pas un biopic, Karim Aïnouz réécrit l'histoire avec une Catherine forte de ses prises de position et un Henri tyrannique qui incarne la masculinité toxique avec une question qui est de savoir ce qui arrivera en premier entre la mort du roi ou l'exécution de sa dame... Pour un film qui prend autant de liberté, j'ai trouvé "Firebrand" très sage. Bien qu'amoindri, on parle d'un homme qui a fait décapiter des épouses, donc cette timide chasse aux sorcières ne lui fait pas honneur... Cette tentative de conte féministe est gâchée par un scénario inabouti qui n'exploite jamais le contexte politique et religieux, un montage haché et un manque de tension malgré un cadre restreint. Il reste de beaux costumes, quelques solides performances, mais le film est un peu ennuyeux.
Henri VIII, roi d'Angleterre et d'Irlande de 1509 à 1547, s'est marié à six reprises et a fait exécuter deux de ses épouses. "Le Jeu de la reine" suit Catherine Parr, sa dernière épouse qui craint également pour sa vie. Le film, richement reconstitué, séduit par sa beauté visuelle et la minutie de ses costumes et décors. Toutefois, l'intrigue manque de tension. La performance de Jude Law, quasi méconnaissable, apporte cependant un intérêt majeur : il incarne un Henri VIII à la fois terrifiant et pathétique, dépeignant avec justesse la monstruosité de ce roi vieillissant et paranoïaque.
Henri VIII, roi d'Angleterre et d'Irlande entre 1509 et 1547, a eu 6 épouses : une est morte en couche, deux ont été décapitées sur son ordre, deux autres ont été répudiées à sa demande (un roi charmant donc !). Ce film nous propose de suivre sa fin de vie auprès de sa 6ème femme, Catherine Parr, alors qu'il est de plus en plus diminué par une jambe gangréneuse. Cette reine, avec son intelligence et sa force de caractère, va tenter de garder sa place et son rang dans un environnement totalement méphitique entre son mari, l'église, et les possibles traîtres à la cour... Un bon casting (Jude Law, Alicia Vikander), une reconstitution d'époque convaincante, une atmosphère malsaine bien poisseuse, et une histoire somme toute assez prenante durant les 120 minutes de ce drame historique : qui sortira vainqueur de cette partie d'échecs grandeur nature ? Le Roi ? La Reine ? ou une autre pièce de l'échiquier ? Une intrigue de palais à découvrir sans sourciller ! Site CINEMADOURG.free.fr
Une mise en scène un peu trop académique mais une esthétique léchée au cœur de laquelle peuvent parfaitement s'exprimer Alicia Vikander et un Jude Law absolument époustouflant.
Magnifique film avec Jude Law et Alicia Vikander impeccables et très justes dans leurs rôles. Belle photographie, belle reconstitution d'époque, superbes costumes. J'ai trouvé ce film bien réalisé, captivant et dépaysant, je n'ai pas vu le temps passer.
Après le superbe La Vie invisible d’ Eugénie Gusmão en 2019, on avait perdu de vue le réalisateur Karim Aïnouz. Il nous présente maintenant un film historique des plus classiques, en costumes et avec vieux châteaux et calvalcades. En prenant cette fois comme sujet le diabolique Henry VIII, roi d’Angleterre au 16ème siècle, époux de six femmes et dont il coupera la tête à quelques unes pour des motifs divers, il se lance un défi d’une autre grandeur. Pour le spectateur français, un petit détour préalable dans Wikipedia ne sera pas inutile pour ne pas se perdre entre les différents protagonistes et essayer de comprendre l’évolution de la religion ou la nature des alliances, autrement que par de fines allusions… Rien de très original dans le traitement cinématographique. Cela ressemble fort à une commande de producteurs ayant entendu parler des Rois Maudits. Jude Law s’en tire lui, plutôt bien dans un rôle d’assassin lubrique.
Surprenant ce film, c'est moins que l'on puisse dire surtout à cette époque. Cet Henri VIII était un criminel, un assassin et sa 6e épouse possédait un courage hors-pair...Quant à Jude Law, méconnaissable, je n'ai même pas vu son regard, d'un despotisme incroyable, n'hésitant pas à empoisonner et étrangler ses épouses, j'ignorais cette période historique. Les acteurs sont excellents, malgré quelques longueurs. Cette régente était les prémices de la femme plus indépendante, surtout après tout ce qu'elle avait subi...
Intérêt historique certain même si je ne suis pas sûre que quelques libertés soient prises... l'ambiance est bien transcrite avec de très beaux costumes et très beaux décors. Jude Law est magistral en Henri VIII . Par contre, ce film fait très documentaire, il manque un soupçon de quelque chose pour qu'on s'attache aux personnages.
Intéressant mais il met très longtemps à démarrer on a du mal à rentrer dans le film, et c’est qu’à la moitié où ça devient intéressant. Le reste est assez lent et même pas très intéressant. Et à la moitié de film on se prend dans l’histoire de cette reine survivante aux colères du roi. Les acteurs sont plutôt tous bons, et on aime revivre cette époque, difficile et horrible par moment. À noter que 99 % du film est tourné dans le château.
Passionnant!!!! Jude Law est méconnaissable dans ce rôle de composition…le roi d’Angleterre Henri VIII..le roi aux 6 femmes….un roi obèse , presque invalide , malade et colérique….les dernières années de sa vie avec sa dernière et sixième femme Catherine Parr …..habituellement on s’intéresse plus à ses deux premières épouses , période du schisme avec l’église de Rome . C’est très intéressant de découvrir cette femme moderne dans ce 16eme siècle ….