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Au cœur des ténèbres et des lueurs furtives d’un château, le réalisateur brésilien Karim Aïnouz filme comme un Rembrandt en clair-obscur le duel paranoïaque entre le roi Henri VIII, despote obèse et pourri, et sa sixième reine, l’indépendante et altière Catherine Parr.
S'il est probablement moins punk qu'il n'imagine l'être, "Le Jeu de la reine" dynamite malgré tout le patriarcat et vient exploser l'Histoire constamment écrite par les hommes dans un puissant récit de sororité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Ce n'est pas la moindre des qualités du réalisateur Karim Aïnouz d’avoir privilégié ses acteurs dans sa mise en scène, où d'autres auraient préféré le faste et les effets. Le Jeu de la reine n'en est que plus beau et convaincant.
Barbu, ogresque, tour à tour séducteur et terrifiant de cruauté, Jude Law est méconnaissable dans la peau du tyran rongé par la gangrène. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Le film intrigue quand même en ce qu’il rehausse son approche classique d’une atmosphère flirtant parfois avec l’épouvante gothique. Le spectateur reste tendu par cette bataille royale assez angoissante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Première réalisation en langue anglaise du Brésilien Karim Aïnouz, "Le Jeu de la reine" est un film historique en forme de partie d’échecs où brille Alicia Vikander. La mise en scène, un peu trop sage, l’empêche toutefois de prétendre au souffle épique espéré.
En tournant dans un manoir sinistre du Derbyshire majoritairement éclairé à la bougie, mais (hélas) sans jamais trop s’éloigner d’un classicisme attendu, Aïnouz nous plonge dans un XVIe siècle infesté par la peste et les complots – déjoués avec dextérité par Catherine Parr, première femme à publier un recueil de poèmes en langue anglaise… La wonder woman du film, c’est elle.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
S’il n’atteint pas l’ampleur du magnifique « La Vie invisible d’Euridice Gusmao », Karim Aïnouz propose une relecture vivifiante, singulière, féministe, assez rock de la relation entre Catherine Parr et Henri VIII.
Si l’approche est un peu factice, notons que Jude Law, dans le rôle du roi purulent, change radicalement de registre. C’est le grand événement du film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Du côté des comédiens, Jude Law en fait tellement dans la peau du roi tonitruant, bedonnant, dominateur et cruel, qu’il se montre rapidement fatigant. Face à lui, Alicia Vikander fait preuve de la présence d’une huître dans le rôle de Catherine Parr, ce qui nuit sensiblement à la confrontation.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Jude Law se charge d’assurer le spectacle en roi mourant d’une vilaine infection de la jambe, crado et libidineux, puant et vociférant, confirmant avec cette performance très divertissante la tournure bouffonne qu’est en train de prendre sa filmo, après son rôle de Capitaine Crochet dans le dernier Peter Pan. Mais même cette amusante prestation histrionique, au final, finit par sembler mécanique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Si le cadre du récit historique met encore plus en lumière la pulsion académique pour le sujet qui innervait déjà La Vie invisible d'Eurídice Gusmão, on a du mal à croire qu'il s'agit du même cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
Une fresque saisissante dans laquelle Jude Law livre une éblouissante performance.
Ouest France
Mise en scène et clair obscur magnifient cette partie d'échecs mortelle (...).
Dernières Nouvelles d'Alsace
Au cœur des ténèbres et des lueurs furtives d’un château, le réalisateur brésilien Karim Aïnouz filme comme un Rembrandt en clair-obscur le duel paranoïaque entre le roi Henri VIII, despote obèse et pourri, et sa sixième reine, l’indépendante et altière Catherine Parr.
Ecran Large
S'il est probablement moins punk qu'il n'imagine l'être, "Le Jeu de la reine" dynamite malgré tout le patriarcat et vient exploser l'Histoire constamment écrite par les hommes dans un puissant récit de sororité.
Franceinfo Culture
Ce n'est pas la moindre des qualités du réalisateur Karim Aïnouz d’avoir privilégié ses acteurs dans sa mise en scène, où d'autres auraient préféré le faste et les effets. Le Jeu de la reine n'en est que plus beau et convaincant.
Le Dauphiné Libéré
Jude Law et Alicia Vikander incarnent avec intensité les tourments et les passions de ces figures historiques.
Le Figaro
Visage impassible mais cœur battant à tout rompre, Alicia Vikander affronte avec une belle audace un Jude Law aussi méconnaissable qu’inquiétant.
Le Journal du Dimanche
Une drame historique à la direction artistique somptueuse, contrastant avec une mise en scène anxiogène et vénéneuse.
Le Point
Barbu, ogresque, tour à tour séducteur et terrifiant de cruauté, Jude Law est méconnaissable dans la peau du tyran rongé par la gangrène. Une réussite.
Télé Loisirs
Une démonstration de cinéma, depuis l'interprétation jusqu'à la mise en scène, en passant par son intrigue de palais absolument fascinante.
aVoir-aLire.com
Une œuvre puissante qui rappelle à chacun le devoir et l’exigence de la liberté.
La Croix
Un film d’époque élégant mais un peu trop académique.
La Voix du Nord
Le film intrigue quand même en ce qu’il rehausse son approche classique d’une atmosphère flirtant parfois avec l’épouvante gothique. Le spectateur reste tendu par cette bataille royale assez angoissante.
Les Fiches du Cinéma
Première réalisation en langue anglaise du Brésilien Karim Aïnouz, "Le Jeu de la reine" est un film historique en forme de partie d’échecs où brille Alicia Vikander. La mise en scène, un peu trop sage, l’empêche toutefois de prétendre au souffle épique espéré.
Paris Match
Stimulant et très original, à défaut d’être pleinement convaincant.
Rolling Stone
En tournant dans un manoir sinistre du Derbyshire majoritairement éclairé à la bougie, mais (hélas) sans jamais trop s’éloigner d’un classicisme attendu, Aïnouz nous plonge dans un XVIe siècle infesté par la peste et les complots – déjoués avec dextérité par Catherine Parr, première femme à publier un recueil de poèmes en langue anglaise… La wonder woman du film, c’est elle.
Sud Ouest
S’il n’atteint pas l’ampleur du magnifique « La Vie invisible d’Euridice Gusmao », Karim Aïnouz propose une relecture vivifiante, singulière, féministe, assez rock de la relation entre Catherine Parr et Henri VIII.
Télérama
Jude Law, méconnaissable, livre une belle performance.
L'Obs
On cherche ici la puissance tellurique de la mise en scène du réalisateur brésilien de « la Vie invisible d’Eurídice Gusmão ».
Le Monde
Si l’approche est un peu factice, notons que Jude Law, dans le rôle du roi purulent, change radicalement de registre. C’est le grand événement du film.
Le Parisien
Du côté des comédiens, Jude Law en fait tellement dans la peau du roi tonitruant, bedonnant, dominateur et cruel, qu’il se montre rapidement fatigant. Face à lui, Alicia Vikander fait preuve de la présence d’une huître dans le rôle de Catherine Parr, ce qui nuit sensiblement à la confrontation.
Première
Jude Law se charge d’assurer le spectacle en roi mourant d’une vilaine infection de la jambe, crado et libidineux, puant et vociférant, confirmant avec cette performance très divertissante la tournure bouffonne qu’est en train de prendre sa filmo, après son rôle de Capitaine Crochet dans le dernier Peter Pan. Mais même cette amusante prestation histrionique, au final, finit par sembler mécanique.
Critikat.com
Si le cadre du récit historique met encore plus en lumière la pulsion académique pour le sujet qui innervait déjà La Vie invisible d'Eurídice Gusmão, on a du mal à croire qu'il s'agit du même cinéaste.
Les Inrockuptibles
Le film, à l’instar de sa captive, se subit plus qu’il ne se vit.