Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Œuvre postmoderne, le long métrage de la Belge Fien Troch a tout compris à son époque.
L'Obs
par Nicolas Schaller
(...) voilà un film assez troublant. Dont le naturalisme apparent et les faux airs documentaires sont zébrés d’accents fantastiques – par le biais ici d’un cadrage biscornu, là de l’électro onirique de Johnny Jewel (qui signe la bande-son) –, expressions de la grâce et du trouble identitaire de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Renaud Baronian
Flirtant avec les films de super-héros tout en favorisant la psychologie plutôt que l’action, la cinéaste signe un film étonnant avec l’aide d’un remarquable chef opérateur et d’une jeune comédienne, Cathalina Geraerts, totalement sidérante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Camille Nevers
"Holly" semble l’adaptation à mi-chemin incongru de la "Joie" [de Bernanos] et de "Carrie". Résultat : un Bresson qui aurait assumé le genre fantastique de sa mystique et une musique à la John Carpenter (magnifique bande originale de Johnny Jewel, des Chromatics). Beau et ténu, accomplissant les oracles ambivalents du cinéma [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
La Croix
par Céline Rouden
Les deux comédiens, Cathalina Geeraerts et Felix Heremans, forment ainsi un duo sensible et attachant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un teen movie très singulier, qui mélange drame, satire et mystère, tout en flirtant avec le fantastique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit mystérieux et envoûtant sur l'affirmation de soi, qui dénonce le harcèlement scolaire.
Le Monde
par Cl. F.
Mais le scénario invente miraculeusement quelque chose entre les lignes, autour de la figure du vampire. Holly est peut-être une nouvelle espèce de film de zombies, ancré dans le réel, avec son lot de morts-vivants s’accrochant à quelques lucioles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Convaincant lorsqu’il lorgne du côté du drame métaphysique ou par l’interprétation de sa jeune comédienne, Holly souffre d’une écriture inégale et d’un symbolisme peu subtil.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Fien Troch signe un film passionnant sur la question de la foi et ce besoin d’une figure de madone pour se rassurer. Le tout en équilibre constant et remarquablement orchestré entre le réalisme des situations et un climat de cinéma d’horreur (angoissant mais jamais sanglant) qui tient en haleine jusqu’au bout.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
La réalisatrice entretient l’ambiguïté d’une manière un peu trop systématique. Mais sa mise en scène habile, bien aidée par la lumière mordorée de Frank Van den Eeden (le chef opérateur de Close, de Lukas Dhont) et la musique mi-planante mi-inquiétante de Johnny Jewel, flirte joliment avec le fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
N’est pas télépathe qui veut : filmer de loin, sans croire en l’aura magique de Holly ni en son humanité, c’est se condamner à toiser d’une morgue froide le défilé d’éclopés qui se bouscule à son portillon – et anesthésier des images qui envient à l’héroïne sa puissance de commisération.
CinemaTeaser
Œuvre postmoderne, le long métrage de la Belge Fien Troch a tout compris à son époque.
L'Obs
(...) voilà un film assez troublant. Dont le naturalisme apparent et les faux airs documentaires sont zébrés d’accents fantastiques – par le biais ici d’un cadrage biscornu, là de l’électro onirique de Johnny Jewel (qui signe la bande-son) –, expressions de la grâce et du trouble identitaire de son héroïne.
Le Parisien
Flirtant avec les films de super-héros tout en favorisant la psychologie plutôt que l’action, la cinéaste signe un film étonnant avec l’aide d’un remarquable chef opérateur et d’une jeune comédienne, Cathalina Geraerts, totalement sidérante.
Libération
"Holly" semble l’adaptation à mi-chemin incongru de la "Joie" [de Bernanos] et de "Carrie". Résultat : un Bresson qui aurait assumé le genre fantastique de sa mystique et une musique à la John Carpenter (magnifique bande originale de Johnny Jewel, des Chromatics). Beau et ténu, accomplissant les oracles ambivalents du cinéma [...].
La Croix
Les deux comédiens, Cathalina Geeraerts et Felix Heremans, forment ainsi un duo sensible et attachant.
La Voix du Nord
Un teen movie très singulier, qui mélange drame, satire et mystère, tout en flirtant avec le fantastique.
Le Journal du Dimanche
Un récit mystérieux et envoûtant sur l'affirmation de soi, qui dénonce le harcèlement scolaire.
Le Monde
Mais le scénario invente miraculeusement quelque chose entre les lignes, autour de la figure du vampire. Holly est peut-être une nouvelle espèce de film de zombies, ancré dans le réel, avec son lot de morts-vivants s’accrochant à quelques lucioles.
Les Fiches du Cinéma
Convaincant lorsqu’il lorgne du côté du drame métaphysique ou par l’interprétation de sa jeune comédienne, Holly souffre d’une écriture inégale et d’un symbolisme peu subtil.
Première
Fien Troch signe un film passionnant sur la question de la foi et ce besoin d’une figure de madone pour se rassurer. Le tout en équilibre constant et remarquablement orchestré entre le réalisme des situations et un climat de cinéma d’horreur (angoissant mais jamais sanglant) qui tient en haleine jusqu’au bout.
Télérama
La réalisatrice entretient l’ambiguïté d’une manière un peu trop systématique. Mais sa mise en scène habile, bien aidée par la lumière mordorée de Frank Van den Eeden (le chef opérateur de Close, de Lukas Dhont) et la musique mi-planante mi-inquiétante de Johnny Jewel, flirte joliment avec le fantastique.
Cahiers du Cinéma
N’est pas télépathe qui veut : filmer de loin, sans croire en l’aura magique de Holly ni en son humanité, c’est se condamner à toiser d’une morgue froide le défilé d’éclopés qui se bouscule à son portillon – et anesthésier des images qui envient à l’héroïne sa puissance de commisération.
Transfuge
Le film manque cruellement d'incarnation.