Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Le Monde
par Clarisse Fabre
Ultra-inventif, le film de Caroline Poggi et Jonathan Vinel nous embarque dans une puissante histoire d’amour, déchirant les codes du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Eat the Night est un thriller d’une maîtrise magistrale qui saisit à la gorge et aux tripes, mais c’est aussi une grande fiction sur les traumatismes de notre époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
par Léo Ortuno
De l’histoire d’amour incandescente au thriller halluciné, Eat the Night se déploie des docks du Havre jusqu’aux reliefs infinis d’un jeu vidéo d’heroic fantasy. Les univers se contaminent dans un récit audacieux, où Caroline Poggi et Jonathan Vinel tracent le chemin d’un cinéma qu’on ne voit nulle part ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Élodie Tamayo
Régressif, le cinéma de Poggi-Vinel porte une foi candide dans l’expressivité à tout crin de l’adolescence. Ici, les affects se cristallisent sur la cellule frère-sœur, son possible éclatement ou son élargissement au tiers aimé.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Il y a de grandes chances pour que cette virée à la fois poétique et brutale vous fasse chavirer le cœur dans son dernier acte.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
Un thriller mâtiné de mélodrame qui en dit beaucoup sur notre époque, et fascine autant qu’il émeut.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Marius Chapuis
Cinq ans après Jessica Forever, premier film d’action minimaliste et reptilien où Caroline Poggi et Jonathan Vinel transformaient une banlieue pavillonnaire en terrain de chasse désertique pour un gang de grands enfants violents, Eat the Night tranche par son côté capiteux, charnel, vibrant, par l’espèce d’évidence vitale qui irradie d’un film qui n’a de cesse de se transformer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Cédric Page
Un ovni romantique, violent et flamboyant.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Chloé Caye
Bien que sa structure soit imparfaite et ses intrigues inégales, Eat the night regorge tellement d'idées singulières qu'on garde en mémoire la sensation d'un voyage nocturne assez captivant.
Télé Loisirs
par S.O.
Le tandem de cinéastes élabore une forme hybride originale et très séduisante.
Télérama
par Joseph Boinay
Un récit hybrique qui ensorcelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Malgré quelques invraisemblances dans le scénario, ce nouveau film à deux voix est impressionnant d’innovation et de créativité. Un vrai coup de cœur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Jusqu’ici en friche, leur univers s’épanouit enfin dans le romantisme noir de ce « Eat the Night », sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs cannoise, dont les quelques errements et longueurs n’entament guère les idées de cinéma (beaux échos entre le réel et l’univers virtuel) et le portrait sensible d’une jeunesse violente et désœuvrée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Jérémie Oro
Ode à la liberté de choisir son réel, EAT THE NIGHT de Caroline Poggi et Jonathan Vinel met face à face deux mondes pas si différents : sur Terre comme dans Darknoon, il y a des faibles et des puissants, on fait la guerre et on fait la fête, on trouve des amis, des histoires, des amours. Le jeu est filmé pour ce qu’il est : un espace social et affectif indispensable à de nombreuses vies.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Ce récit d’amour et de perte, sur fond de trafic de drogues et de jeu vidéo, hybride son humeur entre bonne dopamine naturaliste (avec une belle histoire d’amour) et mauvais archaïsme martial et vidéoludique, pour un résultat imparfait mais charmant.
Mad Movies
par S.R.
Ce péché d'hubris de vouloir faire du The Wire dans une ville portuaire française fait bien tâche dans ce tableau pourtant si pertinent d'une une jeunesse.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Retour des Poggi & Vinel sur fond de trafic de drogues, métaverse et histoire d’amour. Une fantasmagorie au style affuté qui laisse pourtant au bord de la route…
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Corentin Lê
Si l'on reconnaît la singularité de la démarche, ce deuxième long dirige son énergie vers la part la moins stimulante dessinée par le scénario.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par O.D.
On ressort insatisfait, déçu par un film dont on sent l’ambition, mais qui tire à hue et à dia, sans avoir réussi à canaliser son propos.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Sylvestre Picard
Mais si tout ce qui concerne Darknoon est bien fichu, le reste du film est un polar post-Refn (lumières fluo, musique techno, vrombissements de moto) beaucoup trop fabriqué pour convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
Ultra-inventif, le film de Caroline Poggi et Jonathan Vinel nous embarque dans une puissante histoire d’amour, déchirant les codes du cinéma.
Les Inrockuptibles
Eat the Night est un thriller d’une maîtrise magistrale qui saisit à la gorge et aux tripes, mais c’est aussi une grande fiction sur les traumatismes de notre époque.
Bande à part
De l’histoire d’amour incandescente au thriller halluciné, Eat the Night se déploie des docks du Havre jusqu’aux reliefs infinis d’un jeu vidéo d’heroic fantasy. Les univers se contaminent dans un récit audacieux, où Caroline Poggi et Jonathan Vinel tracent le chemin d’un cinéma qu’on ne voit nulle part ailleurs.
Cahiers du Cinéma
Régressif, le cinéma de Poggi-Vinel porte une foi candide dans l’expressivité à tout crin de l’adolescence. Ici, les affects se cristallisent sur la cellule frère-sœur, son possible éclatement ou son élargissement au tiers aimé.
La Voix du Nord
Il y a de grandes chances pour que cette virée à la fois poétique et brutale vous fasse chavirer le cœur dans son dernier acte.
Le Journal du Dimanche
Un thriller mâtiné de mélodrame qui en dit beaucoup sur notre époque, et fascine autant qu’il émeut.
Libération
Cinq ans après Jessica Forever, premier film d’action minimaliste et reptilien où Caroline Poggi et Jonathan Vinel transformaient une banlieue pavillonnaire en terrain de chasse désertique pour un gang de grands enfants violents, Eat the Night tranche par son côté capiteux, charnel, vibrant, par l’espèce d’évidence vitale qui irradie d’un film qui n’a de cesse de se transformer.
Ouest France
Un ovni romantique, violent et flamboyant.
Positif
Bien que sa structure soit imparfaite et ses intrigues inégales, Eat the night regorge tellement d'idées singulières qu'on garde en mémoire la sensation d'un voyage nocturne assez captivant.
Télé Loisirs
Le tandem de cinéastes élabore une forme hybride originale et très séduisante.
Télérama
Un récit hybrique qui ensorcelle.
aVoir-aLire.com
Malgré quelques invraisemblances dans le scénario, ce nouveau film à deux voix est impressionnant d’innovation et de créativité. Un vrai coup de cœur.
L'Obs
Jusqu’ici en friche, leur univers s’épanouit enfin dans le romantisme noir de ce « Eat the Night », sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs cannoise, dont les quelques errements et longueurs n’entament guère les idées de cinéma (beaux échos entre le réel et l’univers virtuel) et le portrait sensible d’une jeunesse violente et désœuvrée.
La Septième Obsession
Ode à la liberté de choisir son réel, EAT THE NIGHT de Caroline Poggi et Jonathan Vinel met face à face deux mondes pas si différents : sur Terre comme dans Darknoon, il y a des faibles et des puissants, on fait la guerre et on fait la fête, on trouve des amis, des histoires, des amours. Le jeu est filmé pour ce qu’il est : un espace social et affectif indispensable à de nombreuses vies.
Les Fiches du Cinéma
Ce récit d’amour et de perte, sur fond de trafic de drogues et de jeu vidéo, hybride son humeur entre bonne dopamine naturaliste (avec une belle histoire d’amour) et mauvais archaïsme martial et vidéoludique, pour un résultat imparfait mais charmant.
Mad Movies
Ce péché d'hubris de vouloir faire du The Wire dans une ville portuaire française fait bien tâche dans ce tableau pourtant si pertinent d'une une jeunesse.
CinemaTeaser
Retour des Poggi & Vinel sur fond de trafic de drogues, métaverse et histoire d’amour. Une fantasmagorie au style affuté qui laisse pourtant au bord de la route…
Critikat.com
Si l'on reconnaît la singularité de la démarche, ce deuxième long dirige son énergie vers la part la moins stimulante dessinée par le scénario.
Le Figaro
On ressort insatisfait, déçu par un film dont on sent l’ambition, mais qui tire à hue et à dia, sans avoir réussi à canaliser son propos.
Première
Mais si tout ce qui concerne Darknoon est bien fichu, le reste du film est un polar post-Refn (lumières fluo, musique techno, vrombissements de moto) beaucoup trop fabriqué pour convaincre.