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    Close
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    van wambeke lionel
    van wambeke lionel

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2022
    J’ai adoré le filme très poignant du début jusqu’à la fin ont vie aujourd’hui dans un monde où les gens devraient regarder pour ce rendre compte de ce que les paroles ou les acte ont sur n’importe qui j’ai adoré et je recommande absolument ce film
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    202 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 novembre 2022
    "Close" ou la pornographie des sentiments. Ce film est une arnaque facile. Trop facile. Une guimauve écoeurante. Il pêche constamment par son excès de sentimentalisme outré et pleurnichard. Le réalisateur utilise les ficelles les plus grossières pour tirer les larmes du spectateur et poser ses personnages en éternelles victimes. Même la musique larmoyante finit par achever toute bonne volonté.
    REM_75
    REM_75

    1 abonné 29 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 novembre 2022
    joli, plein de bons sentiments, larmoyant et finalement très conformiste et creux. on a le sentiment d'un manque d'imagination et d'un scénario qui passe à côté d'un sujet qui pourtant nous laisait plein d'attente.
    Juan 75
    Juan 75

    59 abonnés 366 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 novembre 2022
    Tout est parfait dans ce film. La réalisation est lumineuse, les acteurs impressionnants, le scénario intelligent, la direction artistique et la musique intenses. L'émotion va crescendo avec une grande sobriété. On retrouve les mêmes qualités que dans Girl. Une réussite totale sur un sujet sensible et peu vu au cinéma. Un grand film.
    Sandy S
    Sandy S

    29 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 mars 2023
    Ce film m’a profondément énervé car je n’ai pas compris de quoi il parlait. Quel est son thème ? L’homosexualité à l’adolescence ? Si oui, le sujet n’est pas traité à force de non-dits trop importants. Et si ce n’est pas le sujet, alors je ne comprends pas la raison de ce film.
    J’ai l’impression que le réalisateur n’a pas voulu y aller frontalement, mais les personnages se retrouvent très hermétiques. Ils souffrent d’accord, mais pourquoi !!?!
    Ce sujet était en or mais malheureusement il vire au tire-larmes mega pathos. Les scènes répétitives (école, vélo, hockey) sont lassantes. Et quand les acteurs chuchotent - et ils chuchotent beaucoup - et bien on ne comprend rien !

    Grand Prix cannois désespérant.
    BerndGan
    BerndGan

    6 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 novembre 2022
    Film qui traîne en longueur et ne mérite pas que l'on paye une place de cinéma. Il est plutôt pour la télé si on veut pleurer en cœur dans les chaumières...
    JB D
    JB D

    8 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 janvier 2023
    Je l’avais dit lors de la sortie de son premier long-métrage, « Girl » ; Lukas Dhont est un jeune cinéaste surestimé et terriblement conformiste.
    Je suis heureux de voir qu’avec « Close », son deuxième, j’avais d’autant plus raison que toujours personne n’est de mon avis. Ni le public, très touché par le thème du deuil et de la résilience joué par un petit blond mignonnet et bien dirigé, ni le jury de Cannes qui, décidément, s’est joliment planté cette année. Résultat des courses, Grand Prix et belle vie en salle pour le film (tant mieux pour son auteur, bien entendu).

    Ce que je voulais dire, déjà à l’époque, n’avait rien à voir avec l’envie de refuser à ce jeune cinéaste son talent - ses deux films n’ont rien de mal, fondamentalement, et ils sont dans les clous, cochant les bonnes cases avec les bons mots et le bon fonds. Mais plutôt, c’est cette dimension si scolaire, si pâle, si réservée, qui ne pouvait aboutir à autre chose qu’à « Close », qui est un gros téléfilm sans style ni regard.

    Le concept de cinéma que semble établir petit à petit Lukas Dhont serait celui d’un entre-lignes, de petites touches, de regards et de non-dits venant remplir des personnages en quête d’émotions - c’est-à-dire, le spectateur lui-même. A vouloir faire pleurer en étant du bon côté de la morale, Dhont crée l’exploit de faire regretter le pas de côté, l’inattendu, la cruauté même. Le ton est uniforme, aux antipodes justement des émotions que le film entend révéler et faire dialoguer. On dirait un film de jeune psy prudent, qui espère faire le bien sur terre, quand bien même « Close » est le récit d’un chemin de croix dont le spectateur ne saura que faire - ni où se mettre, en face de ce que cela raconte. Cette histoire d’amitié et de potentiel désir, subitement arraché par le destin (!), ne nous demande pas ce que nous en pensons. Dhont empêche toute grille de lecture sociologique ou psychologique (ce qui n’est pas la moindre de ses qualités), mais nous dit quoi penser, quoi ne pas penser, quoi ressentir et quoi espérer. C’est un film tout tracé, sans idées, sans entraves (soudain, le culot lyrique d’un Xavier Dolan nous manque), un film qui dirige son spectateur en braille. Mais cette attention obsessionnelle à ne jamais déplaire, outre qu’elle soulève une forte suspicion sur la nature même du cinéma de Dhont, finit par désamorcer tout enjeu émotionnel.

    A force de pincettes, à force d’être à la bonne hauteur, à la bonne lumière, à l’écoute, de fleur de peau le film devient pot de fleur : c’est-à-dire une sorte de jolie jardinière de grande distribution où l’on distille quelques rares parfums, souvent mièvres, contrôlés sous cloche pour provoquer ‘’quelque chose’’ en toute assurance.

    C’est ce qui donne au film son aspect décoratif (en fait l’antithèse du cinéma ; pardon au jury), tentant vainement de filmer des choses profondes et délicates - l’enfance qui découvre la tragédie de la vie, l’incommunicabilité, les traces que l’on porte pour toujours, l’absolution - le tout avec des enfants qui courent dans des champs de fleurs et une bande-son cheap. Ce n’est pas la peine de vous dire que quand le drame se noue, il ne manque pas de pleuvoir.

    Les deux mères, Léa Drucker et Emilie Dequenne, font ce qu’elles peuvent étant donné la sur-écriture de leurs personnages et de leurs dialogues. La pauvreté de la mise en scène, elle, se révèle peu à peu après quelques jolis plans de course en steadycam dans les prés bourgeonnants : une tentative de dialogue avec un verre d’eau pousse l’absence de créativité et de spontanéité de son auteur dans les retranchements : fantasme d’un cinéma à la fois réaliste (au plus près de ses sujets) et hautement symbolique. Il faut voir la culmination du pardon entre la mère et l’ami de son fils dans la forêt, en vêtements de sage-femme, pour se rendre compte que, définitivement, Dhont n’est pas un jeune surdoué du cinéma européen, mais plutôt la part symptômatique d’un certain cinéma d’auteur pour festival, abandonnant la charge émotionnelle à un programme en pointillé, savemment dosé et facilement récompensable.
    Maintenant qu’il a rangé sa chambre par deux fois, on attend de Dhont qu’il la mette en désordre. Ce par quoi les grands cinéastes ont toujours commencé.
    velocio
    velocio

    1 305 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 octobre 2022
    Comme dans "Girl", l’ennui est souvent présent dans la vision de "Close", mais, en plus, contrairement à certains réalisatrices et à certaines réalisateurs qui, par crainte de tomber dans le pathos, en arrivent, à notre grand regret, à éliminer de leur film tout ce qui pourrait produire de l’émotion chez le spectateur, Lukas Dhont n’a pas de telle pudeur et c’est, au contraire, très généreusement, trop généreusement qu’il a ouvert le robinet tire-larmes. Voir critique complète sur https://www.critique-film.fr/critique-express-close/
    Yves G.
    Yves G.

    1 464 abonnés 3 489 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2022
    Léo et Rémi sont amis depuis l’enfance. Ils partagent tout : les mêmes jeux, les mêmes rires, les mêmes repas, une fois chez l’un, une fois chez l’autre, jusqu’aux nuits qu’ils passent ensemble dans le même lit… Mais avec l’entrée au collège et l’adolescence, le regard qui pèse sur eux corrompt leur relation.

    Pendant plusieurs semaines, la bande-annonce de "Close" a précédé, jusqu’à l’indigestion, chaque film distribué dans le circuit UGC ou MK2. Elle révèle sans en rien cacher tous les pans de la première partie du film et fait naître une interrogation : quelle histoire nous racontera "Close" ? celle de deux adolescents homosexuels en but à l’hostilité de leurs camarades de classe et qui auront le courage de s’aimer malgré tous les obstacles ? ou au contraire, dans une version moins heureuse, celle de l’implacable corrosion d’une amitié amoureuse qui ne résistera pas à la pression du groupe ?

    Ni l’une ni l’autre. "Close" s’engage de façon surprenante dans une toute autre direction. On n’en dira pas plus pour ménager le choc que cette bifurcation sidérante provoque.

    Close est le deuxième film de Lukas Dhont, un jeune réalisateur belge âgé de trente ans à peine et beau comme un Dieu. Son premier film, "Girl", avait obtenu la Caméra d’or à Cannes en 2018. Il aura laissé à tous ceux qui l’ont vu une marque profonde. Il est probable que ce soit le cas aussi de "Close", Grand Prix du jury qui, dit-on, a manqué de peu la Palme d’Or – attribuée cette année à Sans filtre.

    On peut certes lui reprocher un certain maniérisme. Sa caméra est collée aux acteurs et refuse tout plan large, accroissant le sentiment d’étouffement. Elle filme avec complaisance ces deux charmants bambins qui courent dans les champs sous une douce lumière crépusculaire ou pédalent sur leurs vélos. Voulant filmer des émotions tues, Lukas Dhont se condamne à accumuler les métaphores sursignifiantes : un hockeyeur qui chute jusqu’à l’épuisement, un poignet brisé qui cicatrise…

    Pour autant, "Close" est poignant. Cette réussite est due à ses deux jeunes héros qui, comme celui de Girl, impressionnent la pellicule de leur ambiguïté pré-adolescente. Mais elle le doit au moins autant aux deux actrices qui interprètent les rôles des deux mères. Sans maquillage, assumant leur quarantaine bien frappée, elles sont l’une et l’autre impressionnantes de maîtrise. Depuis "Rosetta", Emilie Dequenne m’émeut dans chacun de ses films (même si ses choix n’ont pas toujours été avisés) : "La Fille du RER", "À perdre la raison", "Les Hommes du feu", "Chez nous", "Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait"…. Je lui trouve une sincérité poignante – et la voix de Virginie Effira ce qui ne gâche rien. Son rôle n’est pourtant pas simple ; mais elle réussit à en interpréter les douloureuses contradictions avec une pudeur bouleversante.
    André P.
    André P.

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 novembre 2022
    Sujet sensible mais pourquoi ces longueurs mélodramatiques accentuées par une musique aux violons larmoyants tout aussi insupportable. Dommage. La culture des fleurs et le hockey sur glace sont photogéniques, les acteurs aussi mais ça ne sauve pas ce film très surestimé.
    Flynil
    Flynil

    4 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 novembre 2022
    J'ai littéralement l'impression d'avoir été arnaqué. Le jeu des acteurs est bon, mais le film est extrêmement mal réalisé. C'est long, répétitif et sans saveur. La cause LGBT mérite mieux que ce film.
    celia
    celia

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 novembre 2022
    La visée argumentation du film est réfléchie cependant, la réalisation est plus que médiocre avec un scénario rébarbatif. Les images se répètent. On entre dans un cycle sans fin. Je ne le recommande pas du tout.
    Jones C.
    Jones C.

    8 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 novembre 2022
    Quelle déception, encore un film surcoté Made in Cannes, Dhont nous joue du violon au sens propre comme au sens figuré.....des plans émotifs à n'en plus finir, le scénario est d'une banalité, mais surtout le film est beaucoup trop long, et les nombreuses scènes ne sont pas crédible au vu de l'âge des protagonistes! Seule la photo s'en sort bien, quand à l'acteur principal, il a été trouvé dans un train, encore un casting sauvage ou le réal se base sur le faciès et non sur le talent, coaché sur le tas, on nous programme un gosse pour coller à ce film débordant de patho.
    Fiona M
    Fiona M

    3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 janvier 2023
    Suis-je la seule qui s’est ennuyée à mourir pendant ce film ?
    Je comprends absolument l’idée, mais pour moi, c’est raté. C’est long, très long. Très difficile aussi de ressentir les émotions des personnages. Pour moi, ça n’a pas pris. C’est un problème de réalisation.
    Vraiment dommage parce que les acteurs sont très bons.
    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 novembre 2022
    J'aurais aimé être davantage toucher par Close qui traite d'un sujet dur en évitant certaines facilités , qui est superbement filmé et joué mais qui, à mon sens, souffre de faiblesses scénaristiques. L'événement central du film sur lequel se construit le mélodrame est trop soudain tout comme certaines situations qui paraissent peu crédibles vu l'âge des deux adolescents. De plus , dans sa dernière partie, le film abuse des violons alors qu'avec plus d'épure, le film aurait gagné en intensité. Reste de belles scenes pleines de non dits et des passages d'un grand lyrisme formel , notamment les scènes bucoliques. Bref, un joli film mais pas, en ce qui me concerne, un film bouleversant.
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