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    Close
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    cinefil75
    cinefil75

    5 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 octobre 2022
    Un film déchirant de bout en bout. Pas une seconde l'émotion ne vous lache. Un chef d'oeuvre absolu, porté par des comédiens extraordinaires.
    La Palme d'or du public à venir sans nul doute.
    PLR
    PLR

    466 abonnés 1 559 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 novembre 2022
    Grand Prix du Festival de Cannes (2022). Voilà qui devrait conduire à ce qu’un large public adepte des salles obscures se sente obligé d’apprécier, mais pas forcément de louer excessivement ! Par contre, il n’est pas certain que ça déplace le très grand public populaire. Le thème est à dessein très sentimental. Mais des sentiments, c’est parfois difficile à mettre en scène et faire jaillir de l’écran (et ça n’a rien à voir avec la qualité de l’interprétation qui est réelle ici). Car il faut que ces sentiments s’appuient sur une expression, une action, une intrigue le cas échéant. Un peu plus qu’une simple trame de départ. Or ici c’est très elliptique de tout ça. Vous avez le cadre mais vous n’avez pas trop le fond. A vous spectateurs de deviner (au risque de vous méprendre d’ailleurs). C’est le style narratif qui veut ça. Du film d’auteur si vous n’avez pas deviné qui va encore faire pester un grand ponte de l’industrie du cinéma si vous voyez ce que je veux dire...
    Ça tourne
    Ça tourne

    26 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2022
    Lukas Dhont avait déjà prouvé son talent de réalisateur avec son premier film "Girl". Dans "Close", le cinéaste belge aborde un thème différent tout en conservant un style assez analogue à son premier long-métrage. L'intensité du jeu des acteurs et des plans captés ainsi que la force des non-dits, clamés tout au long du film par le regard des personnages créent un climat d'extrême tension. La force et la pertinence de ce long-métrage méritent largement le Grand Prix du festival de Cannes.
    Pascal
    Pascal

    159 abonnés 1 649 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 novembre 2022
    Lukas Dhont, jeune cinéaste Belge, bénéficie d'une reconnaissance à Cannes dont nombreux de ses collègues pourraient s'enorgueillir à juste titre.

    Caméra d'or en 2018 pour " girl" son premier film , voilà son second, "close" auréolé du grand prix en 2022.

    Qu'elle déception malgré un sujet de départ intéressant ! ( deux jeunes adolescents sont amis et inséparables. Une tragédie survient. Mais que s'est il réellement passé entre-eux ?)

    " Close" aborde plusieurs thèmes : Expérience de la mort d'un proche à un âge auquel on y pense pas, réflexion sur l'amitié, la naissance du désir homosexuel, la culpabilité.

    Le problème c'est que "close" ne fonctionne jamais à l'écran. A part la photo et le casting, Dhont ne propose quasiment aucune idée de mise en scène.

    Beaucoup trop long ( les quarante cinq premières minutes pourraient être traitées en cinq) tandis que la seconde partie ne vaut guère mieux en terme de rythme ; les dialogues ont du être écrits en dix minutes et ne présentent ( mise à part deux ou trois répliques) aucun intérêt.
    Emma
    Emma

    5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 novembre 2022
    J'ai eu la sensation pendant tout le visionnage que le réalisateur est passé complètement à côté de ce qu'il souhaitait nous raconter. L'histoire était pourtant la suivante: Léo et Rémi sont deux jeunes adolescents ayant une amitié très forte, spéciale, paraissant ambiguë pour les autres. Mais un drame vient les séparer. La première partie du film était plutôt correcte, on apprenait à découvrir ces deux garçons, leur relation, leur rapport aux autres puis au moment où le récit commençait vraiment à attiser ma curiosité, le drame arrive et puis plus rien. L'élément perturbateur a été placé bien trop tôt et a cassé tous les enjeux du film. Après cela, plus de rythme et on suit Léo dans de nombreuses scènes muettes, où il n'exprime pas grand chose. On reste sur sa faim, on n'a aucune réponse à nos questions. Pourtant le thème de l'entrée dans l'adolescence, les questionnements liés à la sexualité, la virilité, la sensibilité auraient été très intéressants à exploiter à l'écran. Au lieu de ça, on tombe dans un drame bien sombre où peu d'espoir en ressort. Malgré tout, il y a quelques bons points à souligner. Les jeunes acteurs sont plutôt bons spoiler: (notamment la scène où Rémi se bat contre Léo parce qu'il se sent abandonné par celui-ci)
    , la photographie est plaisante, et les plans de caméra très zoomés, où nous n'avons que des gros plans sur les personnages (rappelant la mise en scène du excellent Mommy), auraient pu très bien fonctionner si le scénario et les émotions avaient été plus approfondis. Je ne recommande donc pas vraiment ce film, qui pour moi, manque son objectif.
    Jean-marc Bonnichon
    Jean-marc Bonnichon

    13 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 novembre 2022
    Film intimiste (intime?) qui évoque un sujet sensible et intéressant :le suicide d'un adolescent.
    L'adolescence période charnière, période de tous les dangers.
    La résilience après un drame de cette nature d'autant plus difficile qu'il faut éviter de culpabiliser quiconque
    Dans ce film au sujet fort des acteurs jeunes et sensibles et qui semblent y croire cela reste le point positif
    Mais un film hélas particulièrement mal filmé avec des visages au plus près en permanence ce qui donne la "nausee" des dialogues creux qui ne font rien avancer un film qui tourne en rond comme une boucle sans fin.
    En fait pour qu'un film soit réussi il faut de bons acteurs (ici ils sont peut être présents mais on ne sait pas bien) il faut un metteur en scène qui cadre les acteurs(absent) et surtout un scénario (complètement absent)
    Une fois de plus déçu par une récompense à Cannes
    El_galu31
    El_galu31

    88 abonnés 340 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 novembre 2022
    C'était pas le prix du grand prix qui devait
    remporter c'était la palme d'or tout court
    quelle chef-d'œuvre incroyable
    que c'est beau le cinéma jouer comme ça
    Respect au acteurs «immense »
    pascal vincourt
    pascal vincourt

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 novembre 2022
    D'un thème délicat à traiter il en ressort un film sombre et ennuyeux ! J'ai suivi l'avis des critiques qui me semblait bonnes mais pour ma part je n'ai pas passé un bon moment de cinéma.
    Jorik V
    Jorik V

    1 269 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2022
    Il y a des œuvres qu’on regrette de ne pas avoir plus apprécié. Des univers dans lesquels on déplore de na pas avoir su davantage s’immerger. Des films qu’on s’en voudrait presque de n’avoir peut-être pas su appréhender et évaluer à leur juste valeur. Et « Close », le Grand Prix du jury (ex-aequo avec l’insignifiant « Des étoiles à midi » de Claire Denis) rentre pleinement dans cette catégorie particulière. On ne doute pas une seule seconde que cette haute distinction soit méritée mais on ne fait pas partie de ceux qui ont été déchiré et bouleversé par cette belle histoire. Juste ému et touché en catimini. L’histoire nous parle d’une amitié d’enfants très forte et intense qui subit les regards des autres puis, après un drame que l’on ne dévoilera pas, du manque de l’autre et du poids de la culpabilité. Dans les deux cas, c’est brillant, juste et très finement observé. Et tout cela à hauteur d’enfants uniquement, ce qui est d’ailleurs frustrant car on aurait aimé que les parents entrent dans la danse du scénario de manière plus prégnante de manière à exprimer plus que ce que le film nous offre à ce niveau.

    Il doit y avoir une forte part d’autobiographie de la part de Lukas Dhont dans ce « Close ». Pas dans tout ce qui se joue sous nos yeux mais dans cette relation forte entre deux gamins. Leur amitié est dépeinte avec beaucoup de douceur et d’acuité, sans être trop démonstratif. Dhont semble filmer des instants volés, d’un naturel confondant, bien aidé par ses deux trouvailles d’acteurs en herbe que sont Eden Dambrine et Gustav De Waele. Tout est empreint de douceur et de délicatesse sans non plus verser dans la joliesse béate (la photographie, solaire et appliquée est de toute beauté). On peut dire que leur relation amicale transpire le vrai. La première partie est donc très belle et réussie. Ce qui va suivre l’est tout autant mais après l’instant pivot du long-métrage, tout devient plus répétitif et monotone. Dhont excelle dans les non-dits et les silences qui en disent long mais finit par en abuser un peu. Ce qui a pour effet de lasser petit à petit le spectateur tant les dialogues sont rares et que la récurrence de certains motifs (hockey, cueillette de fleurs, école, ...) devient lassante.

    On a souvent lu sur ce film son excès de pathos et son côté tire-larmes proféré par une partie des festivaliers cannois tandis que l’autre trouvait le film trop dans la retenue. On fait clairement partie de cette seconde catégorie. On sent que le cinéaste flamand révélé par « Girl » a voulu éviter le trop-plein de scènes larmoyantes et de pathos en forme de chantage à l’émotion. Cependant, à trop garder celle-ci en surface sur la forme mais en alignant les séquences tragiques et lourdes de sens, il y a comme une contradiction que l’on ressent et qui nous empêche d’être émus comme on le voudrait. Alors oui les larmes coulent à une ou deux reprises mais le plus souvent on reste extérieur à la souffrance de Léo, alors que pas mal de scènes devraient nous fendre le cœur davantage vu l’ampleur du drame et de ce que l’on nous montre. On reste donc le plus souvent insensible et parfois la symbolique nous apparaît un peu lourde de sens (le plan final) même si elle est tout à fait de rigueur. « Close » reste donc un beau film, juste et touchant, en plus d’être superbement réalisé, mais dont l’émotion se heurte à sa volonté de pudeur et d’introspection.

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    Jean-Marc J
    Jean-Marc J

    36 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2022
    Film émouvant et sensible sur une histoire d'amitié ambiguë entre deux jeunes garçons. La rentrée et le souhait d'un des deux d'éliminer l'ambiguïté va conduire à un drame.
    Frédéric Marynberg
    Frédéric Marynberg

    5 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 novembre 2022
    Beaucoup'de lenteur et une réalisation qui ne fait pas passer les émotions... on s'attendait à beaucoup mieux.
    Guiciné
    Guiciné

    162 abonnés 1 240 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 novembre 2022
    Un film bouleversant, d'une pudeur subtile et d'une sensibilité à fleur de peau.
    Le scénario est parfaitement construit et la psychologie des personnages est magnifiquement rendue par tous les acteurs.
    Un grand film, impératif.
    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    40 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 mars 2023
    Si “Close” a reçu le grand prix du festival de Cannes 2022, c’est qu’il fait profondément penser au modèle de société dans lequel nous restons enfermés, spoiler: où la mort reste un tabou
    , exempt de communication. Ce que je n’aime pas, c’est qu’il véhicule ce modèle. Les films qui sortent au cinéma incarnent le changement d’une société ; avec “Close”, j’ai l’impression qu’elle stagne dans sa manière d’être et de s’exprimer. Le silence fait partie du deuil, je ne le nie pas, mais il n'apporte rien en soi de laisser ses émotions sous silence et d’en faire une valeur forte dans un film. “Close” part d’une bonne intention, mais je n’aime pas l’approche du film, très timide au niveau de l‘expression des émotions par la parole. Ajouter cette difficulté à s’exprimer, cela renforce le pathos dans un long-métrage, comme on le sait si bien le faire dans le cinéma européen, sans pour autant apporter quelque chose de constructif pour faire avancer la narration. “Close” apporte peu au paysage cinématographique, malgré une belle esthétique et une appréciable technicité. Même si la lumière est recherchée, les cadres et portraits travaillés, les aller-retours incessant entre plan-séquences calme/chuchoté/silencieux, suivi des plans de hockey sur glace/cours de récréation/vie de famille deviennent vite répétitif. D’ailleurs Léo (Eden Dambrine) semble rapidement effacé du groupe scolaire dans lequel il évolut, l’intention première derrière la caméra est de montrer la vie et les doutes de Léo sur son existence, face au trouble de la mort de son ami. Dès lors, seul Léo compte, et tout le reste semble effacé avec des personnages qui ont peu de relief, aussi bien pour les parents de ce dernier que son frère. La cause de la mort est elle-même suggérée, elle parait aussi floue, qu’elle est irréel : spoiler: la souffrance de Remi, (Gustav De Waele) semble bien trop brève pour en arriver à la crédibilité d’un suicide
    . Malheureusement, ce n’est pas l’expressivité que j’attends du cinéma, j’ai besoin d’un minimum de dialogue pour sentir la construction des personnages et leurs évolutions.
    spoiler: Le mot “mort” ou “suicide” ne sont d’ailleurs pas énoncé une seule fois dans le film
    , pour renforcer cette timidité des mots et du deuil. J’ai été touché sur certaines scènes silencieuses, mais malheureusement trop ponctuées avec des scènes de dialogue très terre à terre, qui déçoivent tellement elles n’affrontent pas le sujet de face.
    ali b.
    ali b.

    3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 novembre 2022
    Ce film propose une seule émotion à son public : l’ennui bien déprimant qui arrive parfois pendant l’adolescence. Pendant la première demi heure on s’ennuie avec le personnage principal (sauf si on trouve divertissant la routine sans poésie d’un adolescent) puis un bon vieux ressors mélo nous achève pour juste être bien déprimé pendant tout le film, suivant la même routine fade d’un collégien lambda mais en étant déprimé. Les gens nostalgiques de la vie quand elle est fade, ennuyante et déprimante se régaleront.
    Mention spéciale pour le rythme et les dialogues :
    « -Tu veux boire un truc ?
    - Je veux bien un verre d’eau.
    - Tu veux rien d’autre ?
    - Non ça va un verre d’eau c’est bien.
    - Moi aussi je vais boire un verre d’eau.

    - Tu veux manger quelque chose ?
    - Non merci je n’ai pas faim. »

    QUELLE INTENSITÉ !!!

    Criant de vérité, bref…
    Felipe Dla Serna
    Felipe Dla Serna

    20 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 novembre 2022
    Même si le sujet est prenant, la réalisation ne l’est pas autant. J’avoue que les dialogues, presque monosyllabiques, ne m’ont pas spécialement émus. La caméra a l’épaule ne m’a pas emballé non plus et encore moins dans les séquences interminables de hockey sur glace.
    Le harcèlement a l’école, l’homosexualité adolescente, l’amitié-camaraderie…autant de tabous-sujets traités dans ce film qui, malgré la forme et le format, prennent une place intéressante dans ce film qui aurait pu aller bien plus loin….dommage!
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