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35 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette œuvre bouleversante a reçu le Grand prix du jury au Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Bombarda
POUR : Lukas Dhont a ainsi magistralement réussi son pari : filmer la vie avec une grâce infinie.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Avec ses impressionnants jeunes comédiens, cette œuvre lumineuse se mue en ballet mélancolique et flamboyant magnifiquement chorégraphié.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Jérôme Vermelin
Grâce à sa formidable maîtrise des silences et des regards, la beauté de ses cadrages et la lumière de ses jeunes interprètes novices, Eden Dambrine et Gustav de Waele, Close est d'abord et avant tout un immense mélodrame qui sert le cœur et fait rejaillir, par petites touches, ces instants cruciaux qui ont façonné l’existence de chacun d’entre nous. Juste magique.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Parisien
par La Rédaction
Avec une sidérante finesse et une magnifique subtilité, « Close », récompensé du Grand Prix en mai dernier à Cannes, creuse les non-dits d’une relation avortée trop tôt et ses conséquences sur celui qui reste quand l’autre est parti.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CNews
par La rédaction
Lukas Dhont confirme son talent pour filmer avec grâce et pudeur l’adolescence et la quête identitaire.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Beau par son sujet, sa mise en scène et ses interprètes - dont Léa Drucker et Emilie Dequenne, Close abonde en talent et émotion.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Quatre ans après « Girl », Lukas Dhont, 31 ans, incarne plus que jamais la relève du cinéma belge. On pleure beaucoup devant « Close ». Mais on y trouve aussi une forme de lumière.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le jeune cinéaste belge joue à fond la carte claire du mélo limpide et balisé, sur l’innocence perdue, les liens brisés de l’amitié et la perte inconsolable. (...) Sur le terrain de jeu du tragique, Close est relevé par ses interprètes (...).
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Chronique adolescente virant au mélodrame, ce deuxième film bouleversant signé Lukas Dhont confirme son talent d’explorateur de l’intime.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Lukas Dhont (Girl, 2018) signe un film d’abord bluffant de style et d’intensité, puis un peu appliqué et prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Une chavirante histoire d'amitié entre deux ados.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Après le très beau Girl, il y a quatre ans,le réalisateur Lukas Dhont livre une nouvelle pépite d’émotion avec Close, autour de deux jeunes garçons.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Thierry Cheze
Close devient alors un film sur la culpabilité de celui qui reste et Dhont joue des ellipses pour ne jamais verser dans l’insoutenable, quitte parfois à retenir un peu trop artificiellement les chevaux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Grand prix au dernier Festival de Cannes, « Close », du cinéaste belge Lukas Dhont, est l’histoire d’un apprentissage. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par Camille Brun
Après l'impressionnant Girl, Lukas Dhont bouleverse avec ce drame filmé à hauteur d'adolescent et baigné d'une belle lumière de fin d'été.
Télé Loisirs
par Camille Brun
Après l'impressionnant Girl, Lukas Dhont bouleverse avec ce drame filmé à hauteur de garçon, baigné d'une belle lumière de fin d'été. Les acteurs sont formidables.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Le second long métrage de Lukas Dhont est une œuvre forte sur le deuil et l’affirmation de soi, qui confirme le talent de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un film douloureux et fragile.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Sur le terrain de jeu du tragique, Close est relevé par ses interprètes : Eden Dambrine et Gustav De Waele, les deux ados héros, et Émilie Dequenne et Léa Drucker dans le rôle de leurs mères, viennent apporter de la nuance à la dramatisation à l’excès, jouant sur plusieurs niveaux émotionnels, l’amour, la haine, la confusion, le désir, la force et le désespoir.
Ecran Large
par Axelle Vacher
Moins viscéral que le premier film de Lukas Dhont, Close présente malgré tout une chronique émouvante sur l'amitié, l'intimité et l'innocence à l'épreuve des codes traditionnels hétéronormatifs.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Céline Rouden
Heureusement, le film peut compter sur un casting impeccable depuis les deux jeunes acteurs (Eden Dambrine et Gustav De Waele) jusqu’aux adultes dont la très émouvante Émilie Dequenne.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Lukas Dhont est un admirateur de Céline Sciamma. Il pourrait être un cousin de Xavier Dolan, en plus doloriste et moins hystérique. Ou même un petit frère des Dardenne. Un petit frère sentimental, qui aimerait les violonades, les couchers de soleil et les courses dans les champs de fleurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Cl. F.
Infiniment touchant, avec ses personnages très justes, Close souffre d’une mise en scène démonstrative, dans sa manière de nous signifier – à longueur de plans – tantôt la beauté de l’innocence, tantôt la violence de l’apprentissage des codes virils.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Close semble pétrifié dans sa joliesse. Et inversement proportionnelle à l’horreur du drame et à la douleur que vivent les personnages, cette joliesse finit par tenir le film à distance de son sujet, de l’émotion et finalement des spectateur·trices.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Film délicat entre tous, d’une sensibilité à fleur de peau, “Close” évoque l’éveil à la vie dans ce qu’il a de plus beau et de plus brutal. Dommage que le jeune prodige belge alourdisse son propos et coupe l’émotion dans une narration répétitive, une débauche de violons et un pathos un peu trop affiché.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Bande à part
par Benoit Basirico
CONTRE : Nous repérons l’intention louable du réalisateur, qui encourage le spectateur à considérer ses sentiments, mais comme une thèse, sans implication.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Thomas Grignon
Sous couvert d’une délicatesse affectée, le film dévoile un goût passablement masochiste pour le martyre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Laura Tuillier
Ici, la joliesse cabotine du jeune acteur, alliée à des décors nunuches de type champs de fleurs pastels et à un parcours de deuil ultra répétitif, forment une fiction bien peignée qui coche toutes les cases du film bon élève à même de mettre tout le monde d’accord.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par William Le Personnic
Seulement, un basculement narratif plonge le film dans une succession de séquences aussi chargées symboliquement (le hockey, sport viriliste, pour apprendre à encaisser les coups) que jonchées d’envolées lacrymales redondantes.
Transfuge
par Frédéric Mercier
On se dit alors qu’on tient enfin un film où l’on ne cherche pas à nous mâcher le travail, à nous rejouer le même programme afin de nous expliquer ce qu’il faut penser. Grossière erreur !
Télérama
par Marie Sauvion
Cette chronique d’une intense amitié adolescente mise à mal par les clichés de genre vire au mélo appuyé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Aussi émouvante soit-elle, cette réduction de la vie en symbole, du cinéma en leçon, du personnage en pion du destin se fait au détour du plus cruel deus ex machina imaginable dont on nous donne en même temps les raisons et l’absolution de toute responsabilité.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Sur un scénario en creux, le cinéaste greffe des séquences bucoliques (les deux gamins courent beaucoup, mais vraiment beaucoup, dans les prés) qui semblent sans cesse différer son véritable sujet. Mais, à force de l’éviter, le jeune réalisateur finit par passer à côté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par David Ezan
De la part d’un tout jeune cinéaste, on attendait mieux que cet imaginaire finalement très conformiste.
20 Minutes
Cette œuvre bouleversante a reçu le Grand prix du jury au Festival de Cannes.
Bande à part
POUR : Lukas Dhont a ainsi magistralement réussi son pari : filmer la vie avec une grâce infinie.
L'Humanité
Avec ses impressionnants jeunes comédiens, cette œuvre lumineuse se mue en ballet mélancolique et flamboyant magnifiquement chorégraphié.
LCI
Grâce à sa formidable maîtrise des silences et des regards, la beauté de ses cadrages et la lumière de ses jeunes interprètes novices, Eden Dambrine et Gustav de Waele, Close est d'abord et avant tout un immense mélodrame qui sert le cœur et fait rejaillir, par petites touches, ces instants cruciaux qui ont façonné l’existence de chacun d’entre nous. Juste magique.
Le Parisien
Avec une sidérante finesse et une magnifique subtilité, « Close », récompensé du Grand Prix en mai dernier à Cannes, creuse les non-dits d’une relation avortée trop tôt et ses conséquences sur celui qui reste quand l’autre est parti.
CNews
Lukas Dhont confirme son talent pour filmer avec grâce et pudeur l’adolescence et la quête identitaire.
Franceinfo Culture
Beau par son sujet, sa mise en scène et ses interprètes - dont Léa Drucker et Emilie Dequenne, Close abonde en talent et émotion.
La Voix du Nord
Quatre ans après « Girl », Lukas Dhont, 31 ans, incarne plus que jamais la relève du cinéma belge. On pleure beaucoup devant « Close ». Mais on y trouve aussi une forme de lumière.
Le Dauphiné Libéré
Le jeune cinéaste belge joue à fond la carte claire du mélo limpide et balisé, sur l’innocence perdue, les liens brisés de l’amitié et la perte inconsolable. (...) Sur le terrain de jeu du tragique, Close est relevé par ses interprètes (...).
Le Journal du Dimanche
Chronique adolescente virant au mélodrame, ce deuxième film bouleversant signé Lukas Dhont confirme son talent d’explorateur de l’intime.
Les Fiches du Cinéma
Lukas Dhont (Girl, 2018) signe un film d’abord bluffant de style et d’intensité, puis un peu appliqué et prévisible.
Marie Claire
Une chavirante histoire d'amitié entre deux ados.
Ouest France
Après le très beau Girl, il y a quatre ans,le réalisateur Lukas Dhont livre une nouvelle pépite d’émotion avec Close, autour de deux jeunes garçons.
Première
Close devient alors un film sur la culpabilité de celui qui reste et Dhont joue des ellipses pour ne jamais verser dans l’insoutenable, quitte parfois à retenir un peu trop artificiellement les chevaux.
Sud Ouest
Grand prix au dernier Festival de Cannes, « Close », du cinéaste belge Lukas Dhont, est l’histoire d’un apprentissage. Bouleversant.
Télé 2 semaines
Après l'impressionnant Girl, Lukas Dhont bouleverse avec ce drame filmé à hauteur d'adolescent et baigné d'une belle lumière de fin d'été.
Télé Loisirs
Après l'impressionnant Girl, Lukas Dhont bouleverse avec ce drame filmé à hauteur de garçon, baigné d'une belle lumière de fin d'été. Les acteurs sont formidables.
aVoir-aLire.com
Le second long métrage de Lukas Dhont est une œuvre forte sur le deuil et l’affirmation de soi, qui confirme le talent de son auteur.
CinemaTeaser
Un film douloureux et fragile.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sur le terrain de jeu du tragique, Close est relevé par ses interprètes : Eden Dambrine et Gustav De Waele, les deux ados héros, et Émilie Dequenne et Léa Drucker dans le rôle de leurs mères, viennent apporter de la nuance à la dramatisation à l’excès, jouant sur plusieurs niveaux émotionnels, l’amour, la haine, la confusion, le désir, la force et le désespoir.
Ecran Large
Moins viscéral que le premier film de Lukas Dhont, Close présente malgré tout une chronique émouvante sur l'amitié, l'intimité et l'innocence à l'épreuve des codes traditionnels hétéronormatifs.
La Croix
Heureusement, le film peut compter sur un casting impeccable depuis les deux jeunes acteurs (Eden Dambrine et Gustav De Waele) jusqu’aux adultes dont la très émouvante Émilie Dequenne.
Le Figaro
Lukas Dhont est un admirateur de Céline Sciamma. Il pourrait être un cousin de Xavier Dolan, en plus doloriste et moins hystérique. Ou même un petit frère des Dardenne. Un petit frère sentimental, qui aimerait les violonades, les couchers de soleil et les courses dans les champs de fleurs.
Le Monde
Infiniment touchant, avec ses personnages très justes, Close souffre d’une mise en scène démonstrative, dans sa manière de nous signifier – à longueur de plans – tantôt la beauté de l’innocence, tantôt la violence de l’apprentissage des codes virils.
Les Inrockuptibles
Close semble pétrifié dans sa joliesse. Et inversement proportionnelle à l’horreur du drame et à la douleur que vivent les personnages, cette joliesse finit par tenir le film à distance de son sujet, de l’émotion et finalement des spectateur·trices.
Paris Match
Film délicat entre tous, d’une sensibilité à fleur de peau, “Close” évoque l’éveil à la vie dans ce qu’il a de plus beau et de plus brutal. Dommage que le jeune prodige belge alourdisse son propos et coupe l’émotion dans une narration répétitive, une débauche de violons et un pathos un peu trop affiché.
Bande à part
CONTRE : Nous repérons l’intention louable du réalisateur, qui encourage le spectateur à considérer ses sentiments, mais comme une thèse, sans implication.
Critikat.com
Sous couvert d’une délicatesse affectée, le film dévoile un goût passablement masochiste pour le martyre.
Libération
Ici, la joliesse cabotine du jeune acteur, alliée à des décors nunuches de type champs de fleurs pastels et à un parcours de deuil ultra répétitif, forment une fiction bien peignée qui coche toutes les cases du film bon élève à même de mettre tout le monde d’accord.
Positif
Seulement, un basculement narratif plonge le film dans une succession de séquences aussi chargées symboliquement (le hockey, sport viriliste, pour apprendre à encaisser les coups) que jonchées d’envolées lacrymales redondantes.
Transfuge
On se dit alors qu’on tient enfin un film où l’on ne cherche pas à nous mâcher le travail, à nous rejouer le même programme afin de nous expliquer ce qu’il faut penser. Grossière erreur !
Télérama
Cette chronique d’une intense amitié adolescente mise à mal par les clichés de genre vire au mélo appuyé.
Cahiers du Cinéma
Aussi émouvante soit-elle, cette réduction de la vie en symbole, du cinéma en leçon, du personnage en pion du destin se fait au détour du plus cruel deus ex machina imaginable dont on nous donne en même temps les raisons et l’absolution de toute responsabilité.
L'Obs
Sur un scénario en creux, le cinéaste greffe des séquences bucoliques (les deux gamins courent beaucoup, mais vraiment beaucoup, dans les prés) qui semblent sans cesse différer son véritable sujet. Mais, à force de l’éviter, le jeune réalisateur finit par passer à côté.
La Septième Obsession
De la part d’un tout jeune cinéaste, on attendait mieux que cet imaginaire finalement très conformiste.