Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
Amel et les fauves est porté par des acteurs bouleversants. C’est un film sur l’amour, le combat et la rédemption. Un film qui prend aux tripes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Ouest France
par La Rédaction
Un film fort.
L'Obs
par F. F.
Portrait à charge de la société tunisienne, où l’injustice règne, où les marginaux sont exclus, où les prolos sont déconsidérés, où les femmes sont forcément coupables : Mehdi Hmili (« Thala mon amour ») regarde, sans illusion, le résultat de la « révolution du jasmin » et s’attaque à un certain obscurantisme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Mehdi Hmili s’essaye au polar social, mais la beauté de l’interprétation de Afef Ben Mahmoud n’arrive pas à éclipser un scénario trop souvent confus.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Bernard Génin
L'auteur est plein de bonnes intentions, dommage qu'il perde son sujet à mi-chemin en multipliant les personnages secondaires et les scènes de violence gratuite.
Première
par Thierry Chèze
C’est une Tunisie loin des images d’Epinal que nous montrent cee deux heures intenses où confrontée à une société patriarcale, machiste, totalement corrompue et soumise à la Loi du plus fort, cette mère- courage va devoir elle- même faire des choix moraux impossibles, donnant du relief et de l’âpreté à un film maniant l’ambiguïté comme une arme de précision.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Mathilde Blottière
À travers la trajectoire du jeune homme, filmée avec un naturalisme nerveux et une certaine dose de dolorisme, Mehdi Hmili brosse le portrait sombre d’une société violente et corrompue, plus de dix ans après la « révolution de jasmin ».
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Cette spirale du malheur, interprétée non sans outrance dans le monde interlope de la nuit, est décidément bien chargée et ce n’est pas son rétablissement final tombé du ciel scénaristique qui nous aide à la faire passer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Laura Tuillier
Cette recherche continue de la fièvre (plans tremblants, cuts nombreux, musique emphatique) finit par définir un niveau moyen où chaque séquence se déroule sur le même modèle et où aucune n’instaure de dynamique singulière.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Franceinfo Culture
Amel et les fauves est porté par des acteurs bouleversants. C’est un film sur l’amour, le combat et la rédemption. Un film qui prend aux tripes.
Ouest France
Un film fort.
L'Obs
Portrait à charge de la société tunisienne, où l’injustice règne, où les marginaux sont exclus, où les prolos sont déconsidérés, où les femmes sont forcément coupables : Mehdi Hmili (« Thala mon amour ») regarde, sans illusion, le résultat de la « révolution du jasmin » et s’attaque à un certain obscurantisme.
Les Fiches du Cinéma
Mehdi Hmili s’essaye au polar social, mais la beauté de l’interprétation de Afef Ben Mahmoud n’arrive pas à éclipser un scénario trop souvent confus.
Positif
L'auteur est plein de bonnes intentions, dommage qu'il perde son sujet à mi-chemin en multipliant les personnages secondaires et les scènes de violence gratuite.
Première
C’est une Tunisie loin des images d’Epinal que nous montrent cee deux heures intenses où confrontée à une société patriarcale, machiste, totalement corrompue et soumise à la Loi du plus fort, cette mère- courage va devoir elle- même faire des choix moraux impossibles, donnant du relief et de l’âpreté à un film maniant l’ambiguïté comme une arme de précision.
Télérama
À travers la trajectoire du jeune homme, filmée avec un naturalisme nerveux et une certaine dose de dolorisme, Mehdi Hmili brosse le portrait sombre d’une société violente et corrompue, plus de dix ans après la « révolution de jasmin ».
Le Monde
Cette spirale du malheur, interprétée non sans outrance dans le monde interlope de la nuit, est décidément bien chargée et ce n’est pas son rétablissement final tombé du ciel scénaristique qui nous aide à la faire passer.
Libération
Cette recherche continue de la fièvre (plans tremblants, cuts nombreux, musique emphatique) finit par définir un niveau moyen où chaque séquence se déroule sur le même modèle et où aucune n’instaure de dynamique singulière.