Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
"Mis Hermanos" s’impose ainsi comme un drame social fort et brillamment exécuté. Viscéral et percutant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Attentive à la vulnérabilité sociale et à la violence juvénile, Claudia Huaiquimilia signe une diatribe qui, sous ses dehors hostiles et désespérés, dénote une tendresse inattendue.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Hélène Boons
Il y a des défauts dans Mis hermanos, du lisse et quelques échappées oniriques en forêt qui contreviennent à la cohérence du postulat initial. Néanmoins, la mise en scène extrait les délinquants du régime d’exception carcéral pour maintenir leur droit à la jeunesse, c’est-à-dire à la dilatation de l’espace et du temps.
L'Obs
par Sophie Grassin
Touchant, politique, jouant avec une certaine adresse entre l’intérieur et l’extérieur, « Mis hermanos » se démarque du film carcéral, un genre en soi, et de la veine documentaire par ses scènes oniriques – bourrés d’anxiolytiques, les gosses dérivent entre rêve et réalité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Cl. F.
Il fallait cette mesure pour filmer l’irracontable : Mis Hermanos revient sur un épisode tragique, survenu en 2007 dans le centre de Puerto Montt, dans le sud du Chili : une dizaine d’adolescents avaient organisé une émeute, dans l’espoir de pouvoir s’échapper lors de l’arrivée des pompiers. Tous moururent étouffés. Avant ce sinistre final, la réalisatrice prend le temps de filmer les visages, pour qu’on ne les oublie jamais.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par La rédaction
[...] le deuxième film de la Chilienne Claudia Huaiquimilla peine à faire varier sa mise en scène pour ne pas se cantonner au seul accompagnement bienveillante d’une histoire édifiante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Baurez
Si le scénario s’enfonce peu à peu dans ce que l’on attend de lui (figures imposées du film de prison), Claudia Huaiquimilla s’en sort en restant au plus près de ses personnages comme pour les protéger d’un hors-champ réducteur. Il se dégage une sensualité et une douceur qui n’empêchent bien sûr pas la violence. Fort.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
"Mis Hermanos" s’impose ainsi comme un drame social fort et brillamment exécuté. Viscéral et percutant.
Les Fiches du Cinéma
Attentive à la vulnérabilité sociale et à la violence juvénile, Claudia Huaiquimilia signe une diatribe qui, sous ses dehors hostiles et désespérés, dénote une tendresse inattendue.
Cahiers du Cinéma
Il y a des défauts dans Mis hermanos, du lisse et quelques échappées oniriques en forêt qui contreviennent à la cohérence du postulat initial. Néanmoins, la mise en scène extrait les délinquants du régime d’exception carcéral pour maintenir leur droit à la jeunesse, c’est-à-dire à la dilatation de l’espace et du temps.
L'Obs
Touchant, politique, jouant avec une certaine adresse entre l’intérieur et l’extérieur, « Mis hermanos » se démarque du film carcéral, un genre en soi, et de la veine documentaire par ses scènes oniriques – bourrés d’anxiolytiques, les gosses dérivent entre rêve et réalité.
Le Monde
Il fallait cette mesure pour filmer l’irracontable : Mis Hermanos revient sur un épisode tragique, survenu en 2007 dans le centre de Puerto Montt, dans le sud du Chili : une dizaine d’adolescents avaient organisé une émeute, dans l’espoir de pouvoir s’échapper lors de l’arrivée des pompiers. Tous moururent étouffés. Avant ce sinistre final, la réalisatrice prend le temps de filmer les visages, pour qu’on ne les oublie jamais.
Libération
[...] le deuxième film de la Chilienne Claudia Huaiquimilla peine à faire varier sa mise en scène pour ne pas se cantonner au seul accompagnement bienveillante d’une histoire édifiante.
Première
Si le scénario s’enfonce peu à peu dans ce que l’on attend de lui (figures imposées du film de prison), Claudia Huaiquimilla s’en sort en restant au plus près de ses personnages comme pour les protéger d’un hors-champ réducteur. Il se dégage une sensualité et une douceur qui n’empêchent bien sûr pas la violence. Fort.