J'ai vu ce film en avant-première et il m'a beaucoup touchée. On rit , on pleure, les comédiens sont super! Jean-Paul Rouve change de registre et il est épatant. Beaucoup de plaisir à revoir Marie Gillain aussi, qu'on voit trop peu, toujours magnifique et juste. On est emporté par cette belle histoire familiale. On y est allé avec nos deux grands qui ont beaucoup aimé aussi.
Un film qui met en exergue les relations entre frères. Des comédiens qui nous propose un registre inattendu pour une surprise encore plus grande, une mention pour JP Rouve qui alterne habilement entre frère-boulet et grand frère-protecteur. Un rôle fait de nuance dans l’extrême. Un film que j’ai adoré.
Ranger dans la catégorie comédie ce second long-métrage de Julien Guetta nous paraît pour le moins réducteur. Les cadors lorgne bien évidemment sur ce genre cinématographique notamment à travers le personnage interprété par Jean-Paul Rouve. Le comédien semble d’ailleurs avoir participé à l’écriture des gags qui lui sont attribués dans certaines scènes. Mais cette comédie n’est pas un long fleuve tranquille. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/festivals/albi/oeillades-2022/#LC
Le duo de frères est surprenant et fonctionne très bien, porté par d'excellents comédiens, Jean-Paul Rouve et Grégoire Ludig, entourés de Michel Blanc et Marie Gillain que nous avons toujours plaisir à retrouver ! Le milieu des dockers dans lequel se passe le film a été très peu exploité au cinéma ce qui est très intéressant, et cela donne lieu à de magnifiques images. J'ai aussi beaucoup aimé la musique (mention spéciale à la chanson du générique de fin !). Film émouvant devant lequel on passe un très bon moment !
Vu en avant-première dans un festival en Normandie, salles pleines et rires puis émotions. Sans doute le meilleur rôle de Jean-Paul Rouve depuis longtemps. Du Dewaere en lui. Peut-être quelques lenteurs mais un très beau film.
Vu en avant première ! Très bon film sincère autour d’une relation entre frères sur des décors et paysages magnifiques. C’est touchant et toujours juste. Bravo !
Super film tourné dans la manche un vrai régal. On retrouve un JP Rouve fantastique dans son rôle et une découverte de Grégoire Ludig dans un long métrage Tous les ingrédients sont là pour passer un super moment au cinéma
Il y a certains films qui nous font nous poser beaucoup de questions. D’abord, on se demande si ses scénaristes ont déjà été au cinéma. Puis, si ses producteurs avaient bien conscience de ce qu’ils s’apprêtaient à financer. Ensuite, si le réalisateur a eu conscience du peu d’intérêt de ce qu’il allait mettre en scène. Et enfin, pourquoi de grands acteurs tels que Michel Blanc, Marie Gillain ou Jean-Paul Rouve pourquoi ont donné leur aval pour tourner dedans. « Les Cadors » fait bien entendu partie de cette catégorie. Pas que ce soit un long-métrage foncièrement mauvais. Ni même raté. Juste qu’il fait partie de ceux qu’on oublie aussitôt sorti de la projection. De ceux qu’on visionne avec envie en rentrant dans la salle puis qui nous déçoive ou nous indiffère au fur et à mesure que les minutes passent. Et pourtant, il a le mérite (heureusement!) d’être très court car il fait moins de quatre-vingt-dix minutes montre en main. Mais elles paraissent tout de même un chouïa longuettes car on est face à une production générique, banale et qui ne prend vraiment sur aucun de ces versants, que ce soit le polar, la comédie et, à moindre mesure, le drame. Bien que sur ce dernier aspect, les flashbacks narrant l’enfance de ces deux frères avec un père violent et alcoolique sont les moments les plus rares mais réussis du long-métrage par leur justesse et leur tendresse.
C’est bien simple, « Les Cadors » ne fonctionne pas ou quasiment jamais car il n’est ni prenant, ni drôle. Et pour une comédie mâtinée de polar, c’est tout de même quelque peu dommageable. Ce qui est le plus triste c’est de voir des comédiens de talent signer pour camper des personnages ou des caricatures de personnages qu’ils ont déjà joué maintes fois auparavant. Et souvent en mieux. Jean-Paul Rouve joue encore une fois l’hurluberlu lunaire et gaffeur (et après l’excellent « Zaï Zaï Zaï Zaï » où il excelle, c’est bien décevant). Un rôle connu de Michel Blanc dans ses jeunes années, ce qui donne l’impression d’une passation de flambeau. Quant à ce dernier, il reprend encore son rôle de mec pète-sec peu aimable et irascible comme il en fait beaucoup récemment dans une nouvelle variation qui ne fera pas date. Marie Gillain joue quant à elle les utilités et seul Grégoire Ludig montre un aspect plus intime de son talent. On suit donc les pérégrinations peu intéressantes de ces deux frères au caractère opposé avec un ennui poli tant le rire est absent et le sourire rare. On dirait un petit téléfilm, insignifiant au possible, un peu désincarné et anecdotique. Un long-métrage à voir à la télévision un soir de pluie comme on dit, et encore...
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