Derniers Avis : En plein feu - Page 5

Le film est génial sur les 2 premiers tiers de l histoire. On est complètement pris de-dans. Les décors sont incroyables, la manière dont le réalisateur fait monter la tension est géniale. Mais vers les dernières 30 minutes, le réalisateur fait apparaître des flash-back qui nous perturbe. On ne sait plus où on va. On fait la connaissance de nouveau personnage qui n ont aucun intérêt.Le film perd toute sa saveur et on ressort déçu alors qu on avait un début génial. Dommage.

Quentin Reynaud nous offre un film catastrophe minimaliste réduit quasiment à deux personnages, mais qui n’en demeure pas moins un film catastrophe parfaitement crédible et hautement angoissant. Le film est court, à peine 1h25 et paradoxalement, il semble durer plus longtemps. Non pas que l’on s’ennuie, même si il y a quelques scènes un peu étranges spoiler: (hallucinations, rêves éveillés)
qui interrogent, mais surtout parce que la tension nerveuse est forte de bout en bout et que le film est assez éprouvant pour le spectateur. Quentin Reynaud réussit toute la première partie, celle dans la voiture. C’est étouffant, on a l’impression d’un piège qui se referme et la chaleur est presque palpable. La musique est discrète mais efficace mais surtout le travail sur le son que je veux souligner. Dans une situation extrême comme celle-ci, n’importe quel son est, soit source d’angoisse, soit source d’espoir : un grésillement de radio, un craquement d’arbre, un cri d’animal, le bruit des vagues, on est à l’affut de chaque son, et même le silence est plus angoissant encore que dans d’autres films. D’un point de vue technique, j’imagine que filmer le feu est toujours un gros challenge. Que Reynaud nous montre un ciel vaguement rougeoyant ou bien un mur de flamme, l’effet reste le même. Il filme le feu comme s’il était un personnage à part entière du film, comme on filme un monstre de film d’horreur : on ne croit pas réellement en lui mais il est tapis dans l’ombre ou bien il vous saute dessus, il vous encercle, vous rattrape, vous laisse entrevoir un espoir avant de vous surprendre, l’effet est parfaitement rendu. La fumée aussi est parfaitement rendue à l’écran : orange, opaque, elle vous fait perdre vos repères jusque dans votre propre jardin, elle engloutit vous espoirs, elle est la complice active du feu, celle sui vous jette dans ses griffes. André Dussollier et Alex Lutz incarne un père, ancien militaire probablement veuf et un peu ronchon et radoteur, et un fils divorcé, qui a perdu le contact avec son fils adolescent et qui se remet très mal d’un traumatisme personnel (que l’on découvre plus tard). Les deux comédiens sont très biens, aucun ne cherche à tirer la couverture à lui, et on arrive à toucher du doigt la relation compliqué qu’ils ont. Il n’y a pas à chercher très longtemps pour comprendre que les relations père-fils sont au cœur du film. On ne peut pas dire que cela soit un angle original, c’est sur… Le scénario insiste quand même beaucoup sur ces relations dysfonctionnelles entre Joseph et Simon mais surtout entre Simon et son fils Sam de 16 ans. On sent qu’il y a un nœud à dénouer, au cœur du drame, entre ces deux là. Ce nœud, on le comprend, spoiler: c’est un deuil mal fait. Sur ce deuil, le film en dit trop ou pas assez. Soit on choisit d’appuyer sur cet abcès et alors on ne reste pas dans l’allusif,
ou alors on se dispense de cette intrigue supplémentaire pour se concentrer sur le feu. Le film choisit de ne pas choisir entre la catastrophe et le drame intime, il essaie de nouer les deux mais ce n’est pas vraiment aboutit. Peut-être aurait-il mieux valu en faire moins dans le côté « trauma » et « rêve récurrent » et davantage sur le côté « survivaliste » du film, car c’est surtout cela qui fonctionne. Autant le scénario était totalement maitrisé dans sa première heure, autant la toute fin laisse une étrange impression, une impression un peu fumeuse, sans mauvais jeu de mot. Après nous avoir offert, tout au long du film quelques scènes intrigantes spoiler: (flash back ? flash forward ?)
, il nous offre une scène finale un tout petit peu décevante, presque banale. Mais ce que je retiens surtout de « En Plein Feu », c’est qu’une intrigue toute simple peut s’avérer bien plus angoissante qu’un film catastrophe grand spectacle signé Hollywood. On pense immédiatement au méga feu de Gironde de 2022, un méga feu qui déborde les pompiers, où les secours ne parviennent plus à secourir, où les gens sont livrés à eux même, ou les autorités toutes les autorités, sont impuissantes, c’es tune impression de fin du monde. Tout cela relevait du phantasme cinématographique il y a 20 ans, aujourd’hui c’est une réalité. En cela, le film de Quentin Reynaud est diaboliquement efficace.

Un film décevant en rapport à une B.A qui donnait envie, où l'on aurait pu penser avoir un scénario de scènes haletantes, mais il n'en est rien, le début fonctionnait bien, puis l'intérêt s'amenuise pour ne laisser place qu'à des scènes assez plates et attendues.
Frustrant !

Certaines scènes de la nature en colère sont réussies mais pour le reste c’est comme un feuilleton familiale-lacrymal qui ne présente aucun intérêt. Je suis parti avant la fin.

Un feu géant ravage la forêt des Landes et les personnages d'Alex Lutz et André Dussollier doivent suivre le plan d'évacuation. Père et fils se retrouvent vite "En plein feu". En mode survival, ce thriller brûlant n'en fait jamais trop et questionne les doutes et instincts de survie d'anti-héros tout en sensibilisant indirectement au dérèglement climatique.

Un film très bien, qui retrace les incendies qui il y a eu dans les Landes et quand on voit les images des flammes c'est quand-même impressionnant a voir et a bien regardé comment il vont arriver à s'en sortir pour sortir de l'incendie et des flammes. je vous le recommande d'aller le voir.

Film avec un bon suspens. Malheureusement on en sait pas assez sur les personnages ce qui ne permets pas de bien comprendre le film

Deux etoiles c'est bien assez pour ce film. Je viens du cinéma, film sans intérêt, aucune logique hyper déçu.... Autant d'éloge pour un film qui ne mène a rien.

Tout est incohérent, pas crédible. Il n'y que l'idée qui est bonne. Le scénario est affligeant, même, écrire des bêtises comme pousser une voiture pour la faire démarrer sans pouvoir monter dedans...,

En plein Feu est un film sans prétention d'être le film de l'année mais qui possède une force d'émotion hors du commun. L'épopée touchante d'un père de famille brisé et de son père qui est son opposé direct. Ce film nous tiens pesant grâce à la fumé du feu, sans savoir quand il commence ou fini, le feu est présent comme un ennemi qui est nul part et partout, la lumière du jour s'ouvrant comme une porte de sortie. C'est un très beau film qui est très fort et tiens au tripes avec un super jeux d'acteur.

Intéressé par la BA vue par hasard sur les réseaux et influencé par des souvenirs de "Fire" le film russe traitant des feux de forêts, je me rends à la séance d'"En plein Feu". Le décor est planté dès le début du film de ce village dans les Landes qui se prépare pour une N-ièmes évacuations où la plupart des habitants se connaissent, spoiler: Un élément important qui rentrera en compte lors de l'appel d'une des habitantes qui va impacter moralement les protagonistes lorsque sa maison est en feu
.

Passer cette mise en bouche, le décor se fige avec ce bouchon causé par l'évacuation avec une tension qui monte aussi vite que la température. Une succession d'événement va entretenir cette tension quoique relativement anecdotique. La suite va cependant faire retomber cette tension avec un scénario assez plat où on se demande l'utilité ( spoiler: le décès du père qui ne m'a pas plus impacté que ça, les pompiers qui ne se posent même pas la question quand ils croisent un homme seul dans les bois, une femme qui ne va rien apporter au scénario
.

La Force de "Fire" était l'action au cœur du Feu, le côté survivaliste de ce film m'a plus ennuyé que tenu en alène. On notera cependant la beauté des décors des Landes et les différences d'ambiances qui sont bien gérées tout du long du film.

Film très mou
Absolument pas réaliste, la ou les pompiers reste très peu de tps , lui reste des heures . Manques de dialogue
Je me suis forcer à rester jusqu’à la fin
Le fils a le bon canal radio , comme part hasard ..

Le jeu d'acteur d'André dissocier et alex lutz est très bien. Le film nous tient en haleine jusqu'à la fin. Vont -ils s'en sortir ? Vont -ils périrent ? Est ce la réalité ou un mauvais rêve ? Le film est très bien fait. C'est intéressant de voir comment se passe les évacuations en cas de feu forêt . Je recommande

Un sujet de « film catastrophe ». Classé ici drame (d’accord, tout brûle), action (pas tellement), thriller (pas du tout). En fait, sitôt le sujet posé – la catastrophe, cet incendie quoi, l’échappatoire par la route qui se referme avec un bouchon inextricable, suite à la demande des autorités d’évacuer la zone – il n’y a plus de réels développements. Donc très peu d’action. Nos survivants attendent longuement dans leur véhicule, c’est l’occasion pour eux de causer, d’échanger, de penser, de cauchemarder… mais pas d’agir ! Le spectateur va surtout être occupé avec ça ! 85 minutes c’est plutôt court. Mais comme il n’y a pas de réel contenu dans ce scénario, ça s’explique.

A moitié réussi, ou à moitié raté. La tension de l'incendie est bien rendue, et surtout la forêt et le feu sont bien filmés ce qui fait l'intérêt, si l'on veut, du film. Malheureusement, le réalisateur nous inflige d'interminables gros plans sur les visages de Dussolier et Lutz. Aucun acteur ne peut être intéressant en étant filmé de cette manière. On se demande parfois ce qu'on apprend dans les écoles de cinéma françaises.