Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Les performances complémentaires de ces deux comédiens remarquables apportent une humanité poignante à un thriller aussi original que bourré de suspense.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
S’il se perd un peu, parfois, dans un dédale mental emmêlant le drame collectif du climat et le drame personnel des héros, En plein feu donne à éprouver utilement l’urgence climatique et ses périls.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Angles morts, perspectives tronquées, hors champs sonores : tout nous fait ressentir l’exiguïté et la claustrophobie, de manière sensorielle et angoissante. Avec une fin surréaliste aussi inattendue que bienvenue.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
La force et la puissance du film résident dans sa réalisation. N'ayant pas les moyens de faire un film à grand spectacle, Quentin Reynaud privilégie le plan hyper-serré et claquemurant, le travail sur la perspective tronquée et entravée ainsi que sur un montage (y compris dans le son) qui brise les conventions pour nous faire ressentir au plus près de notre épiderme l'incandescence et l'angoisse de ses deux héros.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Autour d’une histoire de deuil, Quentin Reynaud met en scène le réchauffement climatique dans un film au réalisme suffocant en montrant la catastrophe des méga-feux et l’horreur apocalyptique de la terre brûlée.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Tourné un an avant les violents incendies des Landes de 2022, ce film prémonitoire, diablement efficace, malgré quelques maladresses scénaristiques, fait froid dans le dos.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
TF1 News
par Jérôme Vermelin
Un film catastrophe qui déjoue tous les clichés du cinéma hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Voici
par La Rédaction
Mi-drame mi-film de genre, un exercice de style immersif à l'actualité brûlante.
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
(...) l’originalité du film de Quentin Reynaud, nonobstant flashbacks et séquences oniriques, est d’abord de camper sans complexes et sans gonflette sur la frontière du survival et du film catastrophe en mettant à l’épreuve – du feu, mais pas seulement – les corps de ses acteurs.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
"En plein feu" est un thriller étouffant, prémonitoire puisque tourné avant les grands incendies des Landes de l'été 2022, mais inégal.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Film catastrophe sur les feux de forêt dans les Landes. Film de survie pour un homme et son père, cernés par les flammes (Alex Lutz et André Dussolier). Mais aussi drame intime au cœur d’une sorte de purgatoire. Quentin Reynaud, réalisateur à suivre.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Moins convaincant dans sa dernière partie, lestée par des flashbacks pas forcément utiles, l’ensemble vaut pour sa mise en scène et ses acteurs inspirés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Ma. Mt.
On craint d’abord que ce principe d’immobilité soit au détriment du film. Or, Reynaud trouve là l’occasion d’une sobriété salutaire, terrain propice pour aménager la montée en tension. Ainsi la menace ne sera-t-elle jamais abordée de front, mais désignée par ses effets, comme une série d’augures de plus en plus inquiétants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Quentin Reynaud est là où on ne l’attend pas - le réalisateur surprend en se lançant dans un film de genre qui mêle efficacement scénario catastrophe et survival psychologique. En plein feu met le spectateur en tension, malgré quelques problèmes de rythme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Dans la foulée de son percutant « Cinquième Set », qui se déroulait dans le monde du tennis, le réalisateur Bordelais s’essaie avec bonheur au film catastrophe, genre assez rare dans le cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par M. Au.
Puissant, malgré des défauts de narration et des métaphores trop appuyées.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
On se laisse convaincre au fur et à mesure que la tension monte, servie par la photographie léchée de Vincent Mathias (Au revoir là-haut), qui rend l’incendie presque irréel. Au cœur de ce très actuel mégafeu, on ne voit pas tant les flammes que des couleurs mortelles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Quentin Reynaud, le réalisateur de 5e set, retrouve Alex Lutz, son acteur fétiche. Mais son nouveau long métrage hésite entre film catastrophe sur fond d’incendie géant et drame intime onirique autour de la relation père-fils, jusqu’à perdre en route le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par La Rédaction
Trop nombreuses, ces scènes de « survivalisme » non plausibles prêtent presque à sourire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Gilles Esposito
Alors que le caractère extrême de la situation produit naturellement des images quasi irréelles, le réalisateur Quentin Reynaud en rajoute dans l'onirisme et dans un arrière-plan familial pas très fin, au point que l'ensemble sent le roussi de l'occasion manquée.
Première
par Thierry Chèze
Mais plutôt que de faire de ce brasier le personnage central de son récit, le cinéaste n’a choisi de l’envisager que comme le moyen d’explorer un événement traumatisant vécu par son héros et de raconter le sentiment de culpabilité qui ne le quitte plus depuis. Cette partie qui devient centrale martèle trop les choses de façon scolaire et lacrymale pour susciter l’émotion (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un peu confuse et pas très convaincante, cette aventure pyrogène a des airs de fin du monde.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Les traumas intimes des personnages, cousus de fil blanc, deviennent alors l'étincelle d’un récit qui ne sait plus trop où il va.
20 Minutes
Les performances complémentaires de ces deux comédiens remarquables apportent une humanité poignante à un thriller aussi original que bourré de suspense.
Dernières Nouvelles d'Alsace
S’il se perd un peu, parfois, dans un dédale mental emmêlant le drame collectif du climat et le drame personnel des héros, En plein feu donne à éprouver utilement l’urgence climatique et ses périls.
L'Obs
Angles morts, perspectives tronquées, hors champs sonores : tout nous fait ressentir l’exiguïté et la claustrophobie, de manière sensorielle et angoissante. Avec une fin surréaliste aussi inattendue que bienvenue.
La Septième Obsession
La force et la puissance du film résident dans sa réalisation. N'ayant pas les moyens de faire un film à grand spectacle, Quentin Reynaud privilégie le plan hyper-serré et claquemurant, le travail sur la perspective tronquée et entravée ainsi que sur un montage (y compris dans le son) qui brise les conventions pour nous faire ressentir au plus près de notre épiderme l'incandescence et l'angoisse de ses deux héros.
Le Dauphiné Libéré
Autour d’une histoire de deuil, Quentin Reynaud met en scène le réchauffement climatique dans un film au réalisme suffocant en montrant la catastrophe des méga-feux et l’horreur apocalyptique de la terre brûlée.
Le Figaro
Tourné un an avant les violents incendies des Landes de 2022, ce film prémonitoire, diablement efficace, malgré quelques maladresses scénaristiques, fait froid dans le dos.
TF1 News
Un film catastrophe qui déjoue tous les clichés du cinéma hollywoodien.
Voici
Mi-drame mi-film de genre, un exercice de style immersif à l'actualité brûlante.
Cahiers du Cinéma
(...) l’originalité du film de Quentin Reynaud, nonobstant flashbacks et séquences oniriques, est d’abord de camper sans complexes et sans gonflette sur la frontière du survival et du film catastrophe en mettant à l’épreuve – du feu, mais pas seulement – les corps de ses acteurs.
Franceinfo Culture
"En plein feu" est un thriller étouffant, prémonitoire puisque tourné avant les grands incendies des Landes de l'été 2022, mais inégal.
La Voix du Nord
Film catastrophe sur les feux de forêt dans les Landes. Film de survie pour un homme et son père, cernés par les flammes (Alex Lutz et André Dussolier). Mais aussi drame intime au cœur d’une sorte de purgatoire. Quentin Reynaud, réalisateur à suivre.
Le Journal du Dimanche
Moins convaincant dans sa dernière partie, lestée par des flashbacks pas forcément utiles, l’ensemble vaut pour sa mise en scène et ses acteurs inspirés.
Le Monde
On craint d’abord que ce principe d’immobilité soit au détriment du film. Or, Reynaud trouve là l’occasion d’une sobriété salutaire, terrain propice pour aménager la montée en tension. Ainsi la menace ne sera-t-elle jamais abordée de front, mais désignée par ses effets, comme une série d’augures de plus en plus inquiétants.
Les Fiches du Cinéma
Quentin Reynaud est là où on ne l’attend pas - le réalisateur surprend en se lançant dans un film de genre qui mêle efficacement scénario catastrophe et survival psychologique. En plein feu met le spectateur en tension, malgré quelques problèmes de rythme.
Sud Ouest
Dans la foulée de son percutant « Cinquième Set », qui se déroulait dans le monde du tennis, le réalisateur Bordelais s’essaie avec bonheur au film catastrophe, genre assez rare dans le cinéma français.
Télé Loisirs
Puissant, malgré des défauts de narration et des métaphores trop appuyées.
Télérama
On se laisse convaincre au fur et à mesure que la tension monte, servie par la photographie léchée de Vincent Mathias (Au revoir là-haut), qui rend l’incendie presque irréel. Au cœur de ce très actuel mégafeu, on ne voit pas tant les flammes que des couleurs mortelles.
La Croix
Quentin Reynaud, le réalisateur de 5e set, retrouve Alex Lutz, son acteur fétiche. Mais son nouveau long métrage hésite entre film catastrophe sur fond d’incendie géant et drame intime onirique autour de la relation père-fils, jusqu’à perdre en route le spectateur.
Le Parisien
Trop nombreuses, ces scènes de « survivalisme » non plausibles prêtent presque à sourire.
Mad Movies
Alors que le caractère extrême de la situation produit naturellement des images quasi irréelles, le réalisateur Quentin Reynaud en rajoute dans l'onirisme et dans un arrière-plan familial pas très fin, au point que l'ensemble sent le roussi de l'occasion manquée.
Première
Mais plutôt que de faire de ce brasier le personnage central de son récit, le cinéaste n’a choisi de l’envisager que comme le moyen d’explorer un événement traumatisant vécu par son héros et de raconter le sentiment de culpabilité qui ne le quitte plus depuis. Cette partie qui devient centrale martèle trop les choses de façon scolaire et lacrymale pour susciter l’émotion (...).
aVoir-aLire.com
Un peu confuse et pas très convaincante, cette aventure pyrogène a des airs de fin du monde.
Paris Match
Les traumas intimes des personnages, cousus de fil blanc, deviennent alors l'étincelle d’un récit qui ne sait plus trop où il va.