Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
« Goodbye » est aussi original que sensible dans sa façon d’évoquer amitié et mortalité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Nicolas Cailleaud
Un film d'animation touchant.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Atsuko Ishizuka signe un récit initiatique empreint de tendresse et de mélancolie, servi par des images splendides.
Voici
par La Rédaction
Sorte de Stand By Me version animation japonaise, ce Goodbye touchera en plein cœur petits et grands.
Ecran Large
par Déborah Lechner
Dans un premier temps, Goodbye est touchant dans sa simplicité, avant de devenir ronflant à mesure qu'il tente maladroitement d'élever (trop haut) son propos.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par X. L.
La première partie s’embourbe dans un scénario entortillé et une impression de déjà-vu. L’épilogue (hélas trop bref) relève en revanche le niveau avec un coup de théâtre aussi inattendu que bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par S.C.
Un road-trip plein d'entrain, engourdi dans sa chute par une cascade de mélo.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par V. Cau.
La qualité principale du film, dont il tire sa puissance évocatrice et sa beauté, réside dans ce geste qui parvient à unir, dans le même tableau, l’immuable et la fragilité de la jeunesse en devenir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Goodbye rappelle avec une infinie délicatesse la douleur qui accompagne souvent la sortie de l'enfance.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Tant pis si le dernier acte, mystique, apparaît un peu tire-larmes, on se laisse malgré tout envoûter par son charme mélancolique.
Télérama
par Cécile Mury
On pense à l’attachante petite bande du Stand by Me de Rob Reiner, jusqu’au bout, ou presque. Car la conclusion, fastidieux enchaînement de séquences mélo plutôt grandiloquentes, n’est pas vraiment à la hauteur du reste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une aventure introspective et mélancolique, un peu trop lacrymale.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Marius Chapuis
Malgré un beau thème, le film d’Atsuko Ishizuka souffre d’un manque d’identité visuelle et surtout d’un recours systématique à une pop mièvre pour sursignifier les émotions.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
« Goodbye » est aussi original que sensible dans sa façon d’évoquer amitié et mortalité.
CNews
Un film d'animation touchant.
Les Fiches du Cinéma
Atsuko Ishizuka signe un récit initiatique empreint de tendresse et de mélancolie, servi par des images splendides.
Voici
Sorte de Stand By Me version animation japonaise, ce Goodbye touchera en plein cœur petits et grands.
Ecran Large
Dans un premier temps, Goodbye est touchant dans sa simplicité, avant de devenir ronflant à mesure qu'il tente maladroitement d'élever (trop haut) son propos.
L'Obs
La première partie s’embourbe dans un scénario entortillé et une impression de déjà-vu. L’épilogue (hélas trop bref) relève en revanche le niveau avec un coup de théâtre aussi inattendu que bouleversant.
Le Figaro
Un road-trip plein d'entrain, engourdi dans sa chute par une cascade de mélo.
Le Monde
La qualité principale du film, dont il tire sa puissance évocatrice et sa beauté, réside dans ce geste qui parvient à unir, dans le même tableau, l’immuable et la fragilité de la jeunesse en devenir.
Première
Goodbye rappelle avec une infinie délicatesse la douleur qui accompagne souvent la sortie de l'enfance.
Télé 7 Jours
Tant pis si le dernier acte, mystique, apparaît un peu tire-larmes, on se laisse malgré tout envoûter par son charme mélancolique.
Télérama
On pense à l’attachante petite bande du Stand by Me de Rob Reiner, jusqu’au bout, ou presque. Car la conclusion, fastidieux enchaînement de séquences mélo plutôt grandiloquentes, n’est pas vraiment à la hauteur du reste.
Le Journal du Dimanche
Une aventure introspective et mélancolique, un peu trop lacrymale.
Libération
Malgré un beau thème, le film d’Atsuko Ishizuka souffre d’un manque d’identité visuelle et surtout d’un recours systématique à une pop mièvre pour sursignifier les émotions.