Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Sur des images sidérantes, loin de toute apologie, un film édifiant sur la vacuité de notre post-modernité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un film noir à l'atmosphère plus intéressante que son scénario.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Tourné à l’arrache et pour un budget famélique, « Jours sauvages » a des airs de bande-démo pour le réalisateur, ses deux jeunes acteurs (le fils Delon et la débutante Lola Aubrière, couple sexy au jeu inégal) et le musicien Côme Aguiar, dont l’électro efficace comble ostentatoirement les vides.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thierry Chèze
Il y a du Déjà mort de Dahan dans la manière dont Lanzmann tente d’embrasser son époque. Et si son scénario tourne en rond, l’atmosphère créée par le beau travail de la lumière de Pascal Lagriffoul, le chef op’ de Jérôme Bonnell et une BO démente maintient le film à flot.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Autour de ce triangle amoureux assez flou, David Lanzmann tisse une intrigue languissante, qui flirte avec le polar, mais sert surtout de prétexte à une balade atmosphérique dans un Paris nocturne qui rappelle le cinéma « noir » des années 1980, façon Extérieur, nuit, de Jacques Bral. Mais en nettement moins palpitant…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Ma. Mt.
Le jeu pour le moins aléatoire de comédiens desservis par des dialogues sursignifiants, un montage à la machette qu’on dirait parfois celui d’une bande-annonce, une mythologie nocturne cryogénisée digne de la grande époque des « Bains Douches », tout ici concourt à façonner un spectacle d’un autre âge.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Drogue, sexe et argent dans la nuit parisienne : « Jours sauvages » enchaîne avec voyeurisme des scènes à la fois prévisibles et vulgaires. Quelques plans d’Alain-Fabien Delon fendant la ville sur son scooter valent le détour, mais on peine à s’intéresser à cette intrigue qui ressemble surtout à un prétexte.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Sur des images sidérantes, loin de toute apologie, un film édifiant sur la vacuité de notre post-modernité.
Ouest France
Un film noir à l'atmosphère plus intéressante que son scénario.
L'Obs
Tourné à l’arrache et pour un budget famélique, « Jours sauvages » a des airs de bande-démo pour le réalisateur, ses deux jeunes acteurs (le fils Delon et la débutante Lola Aubrière, couple sexy au jeu inégal) et le musicien Côme Aguiar, dont l’électro efficace comble ostentatoirement les vides.
Première
Il y a du Déjà mort de Dahan dans la manière dont Lanzmann tente d’embrasser son époque. Et si son scénario tourne en rond, l’atmosphère créée par le beau travail de la lumière de Pascal Lagriffoul, le chef op’ de Jérôme Bonnell et une BO démente maintient le film à flot.
Télérama
Autour de ce triangle amoureux assez flou, David Lanzmann tisse une intrigue languissante, qui flirte avec le polar, mais sert surtout de prétexte à une balade atmosphérique dans un Paris nocturne qui rappelle le cinéma « noir » des années 1980, façon Extérieur, nuit, de Jacques Bral. Mais en nettement moins palpitant…
Le Monde
Le jeu pour le moins aléatoire de comédiens desservis par des dialogues sursignifiants, un montage à la machette qu’on dirait parfois celui d’une bande-annonce, une mythologie nocturne cryogénisée digne de la grande époque des « Bains Douches », tout ici concourt à façonner un spectacle d’un autre âge.
Le Parisien
Drogue, sexe et argent dans la nuit parisienne : « Jours sauvages » enchaîne avec voyeurisme des scènes à la fois prévisibles et vulgaires. Quelques plans d’Alain-Fabien Delon fendant la ville sur son scooter valent le détour, mais on peine à s’intéresser à cette intrigue qui ressemble surtout à un prétexte.