Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Ce qui pourrait être un nouveau départ et un road trip poétique, onirique et solidaire vers une terre promise vire pourtant au cauchemar tant la férocité de la Colombie rurale a peu à envier à l’univers citadin initial.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Laura Mora filme le périple de ces gamins caméra à l’épaule, au plus près, ou dans des plans majestueux de poésie, d’onirisme. Il n’y a pas de happy end. C’est magnifique et désespéré.
L'Humanité
par Lisa Rompillon
Un beau film sur la fraternité et l’envie irrépressible de faire partie du monde.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Embarquant de vrais gamins (surnom local des enfants des rues) dans la contrée du Bajo Cauca, parmi les plus dangereuses de Colombie, Laura Mora en a tiré une ode aux exclus d’un lyrisme inspiré qui sublime la beauté du pays et des gens tout en restituant la violence de leurs vies de misère.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Beau et tragique, à l’image du pays qu’il traverse, ce road movie semé de rencontres heureuses ou malheureuses a des airs d’odyssée, sa réalisatrice lui donnant une dimension initiatique, voire quelque part mythologique, dans une mise en scène inspirée qui tire habilement parti des paysages.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Avec de talentueux jeunes acteurs non-professionnels, Laura Mora explore le désespoir d’une jeunesse privée d’avenir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Parcouru par une salutaire électricité, Los Reyes del mundo survit malgré tout à ses errances pour devenir, au fil du chemin, un cas rare, de film à la fois profondément inégal mais résolument inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Samuel Douhaire
Aussi éprouvant soit-il, Los reyes del mundo parvient aussi à offrir des moments de grande douceur, comme cette rencontre, très émouvante, avec des prostituées dans une maison isolée, où Rá et ses amis redeviennent des petits garçons avides d’amour maternel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Justement récompensé dans de nombreux festivals, le film colombien de Laura Mora est une épopée sincère et généreuse dans l’intériorité sensible de gamins de la rue. Une œuvre filmée à la fois comme un rêve et une aventure.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Olivier Delcroix
On pense à Los Olvidados de Bunuel, mais aussi à La Cité de Dieu de Fernando Mereilles. Un film coup de poing, orageux, tragique, mais traversé de moments de grâce...
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
La bonne idée de Los Reyes del Mundo est de court-circuiter son argument de départ qui aurait pu le conduire sur les voies du film témoin à sujet sociétal en éradiquant tout soupçon de misérabilisme, pour y introduire un élément de fiction digne d’un film d’aventure.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Lou Hupel
La mécanique du drame social se devine, mais la quête devient plus instinctive grâce au geste esthétique affirmé de Laura Mora qui redonne éclat à ce road-trip désenchanté, rencontre édifiante entre l’insouciance et la brutalité, la pudeur et l’insolence de cette bande de jeunes qui se rêvent propriétaires, ou rois du monde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par M. Ma.
L’ellipse y apparaît comme un moyen commode d’avancer sans creuser, et le motif du groupe comme une dispense d’approfondir chaque individualité, laissée à l’état d’esquisse. Surnagent ces moments où l’énergie tumultueuse de la petite bande dessine à elle seule son propre horizon de liberté.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
Ce qui pourrait être un nouveau départ et un road trip poétique, onirique et solidaire vers une terre promise vire pourtant au cauchemar tant la férocité de la Colombie rurale a peu à envier à l’univers citadin initial.
Sud Ouest
Laura Mora filme le périple de ces gamins caméra à l’épaule, au plus près, ou dans des plans majestueux de poésie, d’onirisme. Il n’y a pas de happy end. C’est magnifique et désespéré.
L'Humanité
Un beau film sur la fraternité et l’envie irrépressible de faire partie du monde.
L'Obs
Embarquant de vrais gamins (surnom local des enfants des rues) dans la contrée du Bajo Cauca, parmi les plus dangereuses de Colombie, Laura Mora en a tiré une ode aux exclus d’un lyrisme inspiré qui sublime la beauté du pays et des gens tout en restituant la violence de leurs vies de misère.
Le Journal du Dimanche
Beau et tragique, à l’image du pays qu’il traverse, ce road movie semé de rencontres heureuses ou malheureuses a des airs d’odyssée, sa réalisatrice lui donnant une dimension initiatique, voire quelque part mythologique, dans une mise en scène inspirée qui tire habilement parti des paysages.
Les Fiches du Cinéma
Avec de talentueux jeunes acteurs non-professionnels, Laura Mora explore le désespoir d’une jeunesse privée d’avenir.
Libération
Parcouru par une salutaire électricité, Los Reyes del mundo survit malgré tout à ses errances pour devenir, au fil du chemin, un cas rare, de film à la fois profondément inégal mais résolument inoubliable.
Télérama
Aussi éprouvant soit-il, Los reyes del mundo parvient aussi à offrir des moments de grande douceur, comme cette rencontre, très émouvante, avec des prostituées dans une maison isolée, où Rá et ses amis redeviennent des petits garçons avides d’amour maternel.
aVoir-aLire.com
Justement récompensé dans de nombreux festivals, le film colombien de Laura Mora est une épopée sincère et généreuse dans l’intériorité sensible de gamins de la rue. Une œuvre filmée à la fois comme un rêve et une aventure.
Le Figaro
On pense à Los Olvidados de Bunuel, mais aussi à La Cité de Dieu de Fernando Mereilles. Un film coup de poing, orageux, tragique, mais traversé de moments de grâce...
Les Inrockuptibles
La bonne idée de Los Reyes del Mundo est de court-circuiter son argument de départ qui aurait pu le conduire sur les voies du film témoin à sujet sociétal en éradiquant tout soupçon de misérabilisme, pour y introduire un élément de fiction digne d’un film d’aventure.
Première
La mécanique du drame social se devine, mais la quête devient plus instinctive grâce au geste esthétique affirmé de Laura Mora qui redonne éclat à ce road-trip désenchanté, rencontre édifiante entre l’insouciance et la brutalité, la pudeur et l’insolence de cette bande de jeunes qui se rêvent propriétaires, ou rois du monde.
Le Monde
L’ellipse y apparaît comme un moyen commode d’avancer sans creuser, et le motif du groupe comme une dispense d’approfondir chaque individualité, laissée à l’état d’esquisse. Surnagent ces moments où l’énergie tumultueuse de la petite bande dessine à elle seule son propre horizon de liberté.