Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce drame poignant pourrait coiffer au poteau La Zone d’intérêt de Jonathan Glazer, Le Cercle des neiges de Juan Antonio Bayona, Moi capitaine de Matteo Garrone ou Perfect Days de Wim Wenders, tant son sujet parle au parent, à l’enseignant ou à l’élève (voire aux trois à la fois) qui sommeille quelque part en nous.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Rumeurs, non-dits, méfiance intergénérationnelle et casse tête de l'enseignement à l'heure des réseaux sociaux, le film tire à vue avec une précision chirurgicale.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Représentant l’Allemagne aux Oscars, la Salle des profs est un sérieux candidat à la statuette du meilleur film en langue étrangère. Ce thriller haletant d’Ilker Catak brosse le magnifique portrait d’une enseignante, sans rien dévoiler de son intimité et de son quotidien hors de l’école.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Sud Ouest
par Julien Rousset
A partir d’une péripétie, Ilker Catak bâtit un thriller captivant, au récit vertigineux, mis en scène avec une rigueur de tous les plans.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La salle des profs du titre est un petit théâtre de violences psychologiques et de normes morales contradictoires.
Elle
par Françoise Delbecq
Un formidable drame psychologique.
Femme Actuelle
par La Rédaction
La tension du film tient dans ce lien entre l'ordinaire de la vie scolaire et les grands sujets sous-jacents.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La progression du récit et les tensions propres au thriller mènent à une fin ouverte qui questionne le civisme, la tolérance et l’intégrité. Beau programme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Plus qu’un film de suspense en milieu scolaire, « la Salle des profs » est un huis clos étouffant sur une enseignante mue par une haute idée de son métier qui veut bien faire, chute, tente de se rattraper et s’enlise telle une souris prise dans sa roue. Seule malgré les autres. Glaçant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Grand succès dans les salles allemandes, ce film en lice pour l’Oscar du meilleur film international relate avec l’intensité d’un thriller les répercussions d’une série de vols dans un collège et en fait le miroir d’une société allemande fracturée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
L’engrenage diabolique n’élude les questions dérangeantes (l’enfant roi, la xénophobie, l’aplomb des menteurs) et transforme peu à peu le film en un étonnant thriller paranoïaque.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Seule contre tous, ou presque, Carla Nowak, interprétée de façon remarquable par Leonie Benesch, est collée au tableau noir de la petite société scolaire, par un scénario au cordeau.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le film est fort. Il évite tout manichéisme, décrit de l'intérieur les coulisses d'une profession, opte pour une image de format étroit qui enserre l'intrigue dans un décor kafkaïen, le tout sur un air de violon lancinant. Le suspense est là.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
İlker Çatak pose les bonnes questions sur les multiples enjeux du système éducatif en nous embarquant dans une chronique humaniste, mais jamais candide, qui tient aussi du thriller avec son ambiance très tendue entretenue par une mise en scène nerveuse.
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Dans une mise en scène au cordeau, La Salle des profs, rivé au visage de l’actrice principale de plus en plus isolée, se maintient à la frontière de la réalité et du mensonge, transformant le collège en zone d’hallucination, métaphore d’une société diablement polarisante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Un film mené où le lycée est mis en scène comme une micro-société.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Ilker Çatak signe une fable édifiante et anxiogène où se croire du côté de la justice amène aux pires confusions. Efficace et perturbant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Lelo Jimmy Batista
"La Salle des profs" a été conçu sans la moindre volonté programmatique, s’amusant juste au fil du récit à saisir les perches les plus cinglantes, sans perversion ni sournoiserie, et à jouer d’idées souvent brillantes [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Une fiction haletante scénarisée et mise en scène avec une intelligence sardonique.
Marie Claire
par Emily Barnett
[...] un presque thriller paranoïaque qui mêle racisme larvé, vengeance, injustice, solitude...
Ouest France
par Pascale Vergereau
Ce thriller psychologique en milieu scolaire expose avec finesse les difficultés du métier.
Positif
par Louise Dumas
Le film invente un genre qu'on pourrait appeler le "thriller pédagogique". Il est construit et tourné aussi efficacement qu'un film à suspense [...].
Première
par Yohan Haddad
Leonie Benech, formidable comédienne qui n’est pas sans rappeler Isabelle Huppert, livre une performance exceptionnelle, tout en nuances, et cristallise parfaitement la douleur et les attentes liés au métier d’enseignant. Un film plus important que jamais.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Mais, au-delà de ces vagues de questionnements qui s’entrechoquent, la véritable force du film réside dans sa capacité à entretenir un suspense inattendu au fur et à mesure que la spirale semble engloutir cette enseignante de maths et d’éducation physique passant de victime à coupable.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
C’est à un véritable thriller en milieu scolaire que l’on assiste, entre réflexions pédagogiques, philosophiques, politiques et vie de classe.
Télérama
par Jérémie Couston
Le réalisateur İlker Çatak apporte beaucoup de nuance et d’ambiguïté à un genre, “le film de prof”, qui en manque souvent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Lukas Moreau
Quand bien même le film n’est pas dénué d’automatismes, il déploie toutefois un récit discrètement retors qui refuse l’univocité de son postulat pour effleurer un malaise plus profond.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un film sous tension, formidablement interprété par la comédienne Leonie Benesch. Mais certaines facilités dans la progression du récit et une fin bien trop lourde gâchent en partie l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Le film est porté par le jeu subtil de Leonie Benech confrontée à une situation ubuesque qui la dépasse.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Film allemand sociétal passionnant comme un thriller.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Élie Raufaste
Pour lutter contre les nouveaux fascismes, le self control serait-il la clé, comme l’incarne – non sans brio – cette héroïne qui plie, mais ne rompt pas dans l’escalade de la violence ? En réalité, parce qu’il joue avant tout sur la peur viscérale de l’Autre, le film repose sur le fantasme de la bonne correction : il est ainsi le premier à comploter contre son personnage.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le jeu avec la vidéo rappelle un peu les films de Haneke, et le récit, un peu trop bien ficelé, alambiqué, moralisateur, rappelle un peu les films de l’Iranien Asghar Farhadi. Heureusement, Leonie Benesch a une belle présence et parvient à donner de la vie à tout cet attirail narratif un peu trop sophistiqué et bien huilé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
[...] un cinéma efficace et haletant, bien aidé par une musique digne d’un film épouvante mais dont le message est délivré avec la finesse d’un Panzer, en écrasant tous les personnages [...].
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
20 Minutes
Ce drame poignant pourrait coiffer au poteau La Zone d’intérêt de Jonathan Glazer, Le Cercle des neiges de Juan Antonio Bayona, Moi capitaine de Matteo Garrone ou Perfect Days de Wim Wenders, tant son sujet parle au parent, à l’enseignant ou à l’élève (voire aux trois à la fois) qui sommeille quelque part en nous.
CinemaTeaser
Rumeurs, non-dits, méfiance intergénérationnelle et casse tête de l'enseignement à l'heure des réseaux sociaux, le film tire à vue avec une précision chirurgicale.
L'Humanité
Représentant l’Allemagne aux Oscars, la Salle des profs est un sérieux candidat à la statuette du meilleur film en langue étrangère. Ce thriller haletant d’Ilker Catak brosse le magnifique portrait d’une enseignante, sans rien dévoiler de son intimité et de son quotidien hors de l’école.
Sud Ouest
A partir d’une péripétie, Ilker Catak bâtit un thriller captivant, au récit vertigineux, mis en scène avec une rigueur de tous les plans.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La salle des profs du titre est un petit théâtre de violences psychologiques et de normes morales contradictoires.
Elle
Un formidable drame psychologique.
Femme Actuelle
La tension du film tient dans ce lien entre l'ordinaire de la vie scolaire et les grands sujets sous-jacents.
Franceinfo Culture
La progression du récit et les tensions propres au thriller mènent à une fin ouverte qui questionne le civisme, la tolérance et l’intégrité. Beau programme.
L'Obs
Plus qu’un film de suspense en milieu scolaire, « la Salle des profs » est un huis clos étouffant sur une enseignante mue par une haute idée de son métier qui veut bien faire, chute, tente de se rattraper et s’enlise telle une souris prise dans sa roue. Seule malgré les autres. Glaçant.
La Croix
Grand succès dans les salles allemandes, ce film en lice pour l’Oscar du meilleur film international relate avec l’intensité d’un thriller les répercussions d’une série de vols dans un collège et en fait le miroir d’une société allemande fracturée.
La Voix du Nord
L’engrenage diabolique n’élude les questions dérangeantes (l’enfant roi, la xénophobie, l’aplomb des menteurs) et transforme peu à peu le film en un étonnant thriller paranoïaque.
Le Dauphiné Libéré
Seule contre tous, ou presque, Carla Nowak, interprétée de façon remarquable par Leonie Benesch, est collée au tableau noir de la petite société scolaire, par un scénario au cordeau.
Le Figaro
Le film est fort. Il évite tout manichéisme, décrit de l'intérieur les coulisses d'une profession, opte pour une image de format étroit qui enserre l'intrigue dans un décor kafkaïen, le tout sur un air de violon lancinant. Le suspense est là.
Le Journal du Dimanche
İlker Çatak pose les bonnes questions sur les multiples enjeux du système éducatif en nous embarquant dans une chronique humaniste, mais jamais candide, qui tient aussi du thriller avec son ambiance très tendue entretenue par une mise en scène nerveuse.
Le Monde
Dans une mise en scène au cordeau, La Salle des profs, rivé au visage de l’actrice principale de plus en plus isolée, se maintient à la frontière de la réalité et du mensonge, transformant le collège en zone d’hallucination, métaphore d’une société diablement polarisante.
Les Echos
Un film mené où le lycée est mis en scène comme une micro-société.
Les Fiches du Cinéma
Ilker Çatak signe une fable édifiante et anxiogène où se croire du côté de la justice amène aux pires confusions. Efficace et perturbant.
Libération
"La Salle des profs" a été conçu sans la moindre volonté programmatique, s’amusant juste au fil du récit à saisir les perches les plus cinglantes, sans perversion ni sournoiserie, et à jouer d’idées souvent brillantes [...].
Marianne
Une fiction haletante scénarisée et mise en scène avec une intelligence sardonique.
Marie Claire
[...] un presque thriller paranoïaque qui mêle racisme larvé, vengeance, injustice, solitude...
Ouest France
Ce thriller psychologique en milieu scolaire expose avec finesse les difficultés du métier.
Positif
Le film invente un genre qu'on pourrait appeler le "thriller pédagogique". Il est construit et tourné aussi efficacement qu'un film à suspense [...].
Première
Leonie Benech, formidable comédienne qui n’est pas sans rappeler Isabelle Huppert, livre une performance exceptionnelle, tout en nuances, et cristallise parfaitement la douleur et les attentes liés au métier d’enseignant. Un film plus important que jamais.
Rolling Stone
Mais, au-delà de ces vagues de questionnements qui s’entrechoquent, la véritable force du film réside dans sa capacité à entretenir un suspense inattendu au fur et à mesure que la spirale semble engloutir cette enseignante de maths et d’éducation physique passant de victime à coupable.
Télé 7 Jours
C’est à un véritable thriller en milieu scolaire que l’on assiste, entre réflexions pédagogiques, philosophiques, politiques et vie de classe.
Télérama
Le réalisateur İlker Çatak apporte beaucoup de nuance et d’ambiguïté à un genre, “le film de prof”, qui en manque souvent.
Critikat.com
Quand bien même le film n’est pas dénué d’automatismes, il déploie toutefois un récit discrètement retors qui refuse l’univocité de son postulat pour effleurer un malaise plus profond.
Le Parisien
Un film sous tension, formidablement interprété par la comédienne Leonie Benesch. Mais certaines facilités dans la progression du récit et une fin bien trop lourde gâchent en partie l’ensemble.
Le Point
Le film est porté par le jeu subtil de Leonie Benech confrontée à une situation ubuesque qui la dépasse.
aVoir-aLire.com
Film allemand sociétal passionnant comme un thriller.
Cahiers du Cinéma
Pour lutter contre les nouveaux fascismes, le self control serait-il la clé, comme l’incarne – non sans brio – cette héroïne qui plie, mais ne rompt pas dans l’escalade de la violence ? En réalité, parce qu’il joue avant tout sur la peur viscérale de l’Autre, le film repose sur le fantasme de la bonne correction : il est ainsi le premier à comploter contre son personnage.
Les Inrockuptibles
Le jeu avec la vidéo rappelle un peu les films de Haneke, et le récit, un peu trop bien ficelé, alambiqué, moralisateur, rappelle un peu les films de l’Iranien Asghar Farhadi. Heureusement, Leonie Benesch a une belle présence et parvient à donner de la vie à tout cet attirail narratif un peu trop sophistiqué et bien huilé.
Paris Match
[...] un cinéma efficace et haletant, bien aidé par une musique digne d’un film épouvante mais dont le message est délivré avec la finesse d’un Panzer, en écrasant tous les personnages [...].