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    Club Zero
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    Culturevsnews
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    83 abonnés 229 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 février 2024
    Jessica Hausner nous offre un thriller psychologique captivant avec "Club Zero", un film qui navigue habilement entre l'innovation éducative et les recoins les plus obscurs de la psyché humaine. Porté par un casting exceptionnel composé de Mia Wasikowska, Sidse Babett Knudsen et Amir El-Masry, le film nous entraîne dans une toile complexe de mystère, de manipulation et de conséquences inattendues.

    Mia Wasikowska incarne avec brio Miss Novak, une enseignante qui, à première vue, semble apporter une approche novatrice à l'éducation nutritionnelle dans un lycée privé. Le cours, cependant, évolue rapidement vers un territoire plus sombre, où certains élèves, sans susciter de suspicions parmi les adultes, succombent à l'emprise de Miss Novak et rejoignent le mystérieux Club Zéro.

    L'histoire, à la fois intrigante et dérangeante, explore la dynamique complexe entre éducation, émancipation et manipulation. Les performances impeccables du casting principal ajoutent des couches de subtilité à des personnages qui oscillent entre la fascination et la méfiance. Sidse Babett Knudsen et Amir El-Masry apportent une profondeur supplémentaire à l'ensemble, créant une tension palpable à mesure que l'histoire se dévoile.

    Le réalisme austère de la mise en scène de Jessica Hausner souligne l'atmosphère énigmatique du film, tout en mettant en lumière les questionnements pertinents sur les limites éthiques de l'éducation. Les scènes de nutrition, bien que parfois troublantes, contribuent à l'impact viscéral du récit, renforçant le malaise croissant au sein du public.

    Le mystère entourant le Club Zéro est dévoilé avec une maîtrise narrative, mélangeant tension psychologique et réflexion sociale. L'avertissement concernant la sensibilité des spectateurs est justifié, car le film explore des thèmes dérangeants avec une franchise saisissante.
    Typhaine Dorisonpavy
    Typhaine Dorisonpavy

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 janvier 2024
    Représentation réaliste et représentatif de la manipulation. L'influence est propagée tout le film tout en ayant nous la vision extérieur des dégâts dû à cette manipulation mentale
    AZZZO
    AZZZO

    301 abonnés 808 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2023
    Jessicxa Hausner est une grande cinéaste. Elle crée sur l'écran un univers qui lui est propre. Elle fait partie de ces rares réalisateurs/réalisatrices dont l'on reconnait le style en quelques secondes. Images pâles, environnements épurés, travelings et zooms très lents donnent à ses récits des atmosphères inquiétantes, à mi-chemin entre le réel et le second degré. C'est encore ici le cas lorsqu'elle s'attaque à une dérive spiritualo-environnementaliste de notre société, celle d'une jeunesse éco-anxieuse qui sombre dans le nihilisme.
    Jessica Hausner aime moquer les travers de notre monde et il y a matière sur ce thème. On pourra cependant lui reprocher une approche trop frontale du sujet, un peu trop cynique et explicite, bien loin du subtil et énigmatique "Little Joe". On se délecte toutefois de la véritable critique cachée sous le thème de l'éco-anxiété de la génération X : le ridicule des parents qui, sous couvert d'une ultra-bienveillance de façade, projettent leurs angoisses sur leurs enfants.
    Un film mordant.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    350 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 octobre 2023
    Club Zero se révèle être un film puissant qui aborde avec audace des thématiques délicate. Il aborde la question du contrôle alimentaire en la poussant à son paroxysme. La pratique du jeune extrême est d’ailleurs un danger pour la santé bien réelle. Toutefois, le film ne s'arrête pas là, il évolue vers un aspect sectaire. Encore un parallèle pertinent car en France, certaines “méthode” d’alimentation ont été classée comme dérives sectaires par la Miviludes. En parallèle, il émet une critique percutante du rôle des parents qui délèguent par paresse l'éducation de leurs enfants à l'école.

    Le film excelle à nous présenter divers points de vue sur ces thèmes sans pour autant porter de jugement. Au fil de l'intrigue, une tension palpable se construit progressivement, nourrie par notre inquiétude grandissante pour le destin des élèves impliqués. On constate aussi la pression sociale insidieuse qui pèse sur ceux qui ne font pas partie du club, ainsi que par l'aspect corporatif du groupe qui en ressort. En fin de compte, cette pratique se métamorphose presque en une sorte de religion, suivie aveuglément plutôt que motivée par des convictions personnelles.

    On se délecte du casting impeccable. Mia Wasikowska, déjà impressionnante dans "Blackbird" (2020) et "Bergman Island" (2021), continue de se démarquer. De plus, l'ensemble des élèves offre des performances vraiment remarquables. On a même la surprise de retrouver la française Elsa Zylberstein.
    Fiers R.
    Fiers R.

    96 abonnés 409 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 octobre 2023
    Commençons par le même problème que le précédent film de l’autrichienne Jessica Hausner, « Little Joe », pourtant autrement plus réussi : en effet, la musique - enfin l’accompagnement sonore - est encore une fois ici horripilante! Décidément, la cinéaste fait des choix vraiment particuliers niveau sonore, des choix qui nous agressent l’oreille plutôt que de la flatter et qui ne collent absolument pas à l’atmosphère du long-métrage. On a droit à des sortes de bruitages étranges constitués de cordes et de percussions, vaguement inspirés du folklore tibétain mais qui semblent davantage destinés à être stridents et agressifs qu’agréables pour le spectateur.

    Ceci posé, la réalisatrice a un univers et des tics stylistiques reconnaissables qui se retrouvent encore une fois ici, entre froideur clinique des images, plans très travaillés et accessoirement assez lents ainsi qu’un décorum aseptisé. Un aspect visuel qui en vaut un autre et qui, il faut l’avouer, colle plutôt bien à son histoire. Ici, c’est une satire des nouvelles habitudes alimentaires telles que le véganisme, l’alimentation consciente et autres tendances à la mode ainsi que des écoles de riches et, à moindre mesure, de certains aspects du wokisme qu’elle nous propose. Très bonne idée me direz-vous, tellement cette idéologie prête à rire dans ses fondements les plus extrêmes...

    Sauf que le traitement appliqué ici nous pousse plutôt à bailler et à regarder notre montre durant près de deux heures plutôt que de nous faire rire ou de nous bousculer, puisque cela semble être le but affiché du long-métrage, « Club zéro » étant présenté en sélection officielle à Cannes comme l’un des opus dérangeants de la sélection. Et bien comme « L’été dernier » de Breillat, rien ne nous choque et tout cela ressemble surtout à un pétard mouillé. Si la scène du vomi ravalé est celle qui est censée nous retourner le bide, elle est avant tout ridicule et inutile. On a aussi beaucoup de mal à savoir où se positionne la cinéaste sur le sujet qu’elle traite. On ne sait plus si elle le moque, nous invite à l’empathie ou passe à côté de l’aspect satirique prétendument annoncé. Quant à sa conclusion, pompée sur des œuvres géniales et, elles, vraiment malaisantes, telles que « L’Heure de la sortie » ou « L’Invitation », elle tombe comme un cheveu sur la soupe et détourne du sujet initial.

    On peut aussi avancer que le personnage principal, celui de cette enseignante en nutrition mystérieuse, joué par Mia Wasikowska, manque d’un réel background. Et l’interprétation un peu trop décalée des enfants comme celle de leurs parents aboutit à une œuvre déconnectée du réel et qui par conséquent impacte moins le spectateur que prévu alors que des pathologies comme la boulimie, l’anorexie et le diabète demeurent des sujets sérieux. Quant au rythme de ce « Club zéro » il se rapproche justement de l’encéphalogramme plat. C’est mou et ennuyeux au possible en plus d’être répétitif dans ces séquences de cours comme lors de celles avec les parents. On a hâte que ce long-métrage neurasthénique et raté se termine et on peut dire que contrairement à son « Little Joe » du même acabit formel et raffiné, ici Hausner se plante et mérite un zéro pointé.

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    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 172 abonnés 7 494 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 octobre 2023
    Dans un lycée privé, Miss Novak initie un cours sur la nutrition à travers un concept innovant, celui de “l’alimentation consciente”. En bousculant les habitudes alimentaires, elle va parvenir à faire tomber sous son emprise certains élèves et les faisant rejoindre le mystérieux Club Zero… quitte à jouer avec leurs santés.

    En traitant pour sujet principal, l’endoctrinement d’adolescents par le biais de la manipulation mentale, Club Zero (2023) avait ce je-ne-sais-quoi qui titillait ma curiosité, mais au final, force est de constater qu’en l’espace de (presque) 120 minutes, le film à plutôt tendance à brasser du vent qu’autre chose. C’est d’autant plus regrettable qu’il y avait pourtant matière à en faire un bon film, en dépeignant un mouvement sectaire qui s’immisce au sein de l’école, ces décors aseptisés et vieillots, cette lente descente aux enfers et cette dégradation physique qui finit par gagner l’ensemble des étudiants.

    L’ennui, c’est que très rapidement, le film tourne à vide, malgré quelques rares bonnes idées disséminées ici et là spoiler: (mention spéciale pour la scène de vomi ré-ingurgité !)
    et la façon qu’à la réalisatrice de dépeindre les parents à la fois impuissants et totalement déconnectés de la réalité. Au final, c’est une sévère désillusion, Jessica Hausner semble s’être plus focalisée sur ses décors et ses acteurs.trices que sur son scénario.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 672 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 octobre 2023
    Rien ne va dans le nouveau film de Jessica Hausner.

    S'il est entendu qu'il s'apparente plus à un conte qu'à un récit réaliste, il n'en demeure pas moins que l'école qui sert de décor au film est tellement invraisemblable qu'on a beaucoup de mal à entrer dans le film. La décoration, les costumes, les locaux : tout est froid, stylisé, désincarné à l'extrême (le cours de mandarin, le trampoline, la danse).

    On ne s'identifie évidemment à aucun personnage (la profondeur psychologique est nulle), mais plus grave, on se désintéresse assez vite de ce que l'on voit.

    Les dialogues semblent une compilation de tous les sujets à la mode, sans que l'on saisisse jamais où veut en venir la réalisatrice. S'il s'agit de dénoncer les excès de certaines théories, alors le film est très maladroit. S'il s'agit de dénoncer les abus d'une classe dominante, cela a été fait mille fois.

    Je me demande si le sujet du film n'est pas tout simplement de filmer des décors stylés comme une maison de poupée.

    Une petite chose prétentieuse sans intérêt, qui pète plus haut que son cul, et qui ne me réconcilie pas avec la réalisatrice autrichienne, déjà coupable du calamiteux Little Joe.
    Olivier K.
    Olivier K.

    14 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 octobre 2023
    Un film profondément ,ennuyeux, sans intrigue, un parti pris de la lenteur et de la distanciation. Un casting international d'acteurs qui font de leur mieux, dans des rôles statiques, mal écrits.
    Orno13
    Orno13

    11 abonnés 594 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2023
    Un bon thriller glaçant, glacant dans sa mise en forme et son dispositif. Froid comme l est le thème du film ou la réalisatrice Jessica hausner décrit un monde où la nourriture pour mlle novak nutritionniste est un fléau capitaliste et environnemental, ces préceptes jusqu au bouliste va séduire 5 étudiants qui assistent à ces cours dans une école prive dont elle est salarié.
    Ces 5 jeunes dont la plupart vivent dans des foyers aisés mais dysfonctionnelle von formé une secte dont le gourou mlle nowak va peu à peu les embrigadés, les coupes de leur familles pour les convaincre de former un groupe nommé club zero qui consiste à ne plus manger.
    On comprend comment cela va finir.
    Jessica hausner réalise un bon film grâce à une mise en scène qui traduit bien le malaise diffus notamment sur ses plans de biais et en contre plongée.me hic c est que le thème est traître de façon trop caricaturale tellement que a la fin ce n est pas très crédible.
    Sebastien Guyard
    Sebastien Guyard

    48 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2023
    Très belle photographie et musique, à la Gus Van Sant.
    Le propos n'est pas dénué d'intérêt, bien au contraire, l'interprétation excellente et c'est un film à voir au cinéma.
    garnierix
    garnierix

    230 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 octobre 2023
    La question de base du film est vite réglée avant même le générique de début. Donc, n’allez pas voir ce film si c’est juste pour comprendre "l’alimentation consciente" (les méfaits de la consommation moderne sont connus). Le film traite surtout de la manipulation —ici il s’agit de la question alimentaire, mais il y a d’autres exemples de manipulations, et il est intéressant de prendre ce film comme un symbole (c’est un exemple de manipulation parmi d’autres). On retrouve le fait qu’une personne manipulée finit par traiter de bornés ou de manipulateurs (conscients ou pas) tous ceux qui veulent lui ouvrir les yeux. L’issue est souvent fatale, comme dans le film où certains finissent par croire des choses comme "si je ne mange pas, je n’ai pas besoin de vomir" !

    Mais il faut aimer le genre d’esthétique qui préside à ce film : carré, dépouillé, froid. Esthétique qui concerne autant les images, que les dialogues, que le jeu des acteurs (ils ont souvent l’air d’être en répétition, quand ce n’est pas en somnolence). Ce n’est pas parce que cette enseignante de nutrition est du genre zen, que le réalisateur devait tout filmer genre zen. Le rythme est donc très mou. Ça manque de force. Beaucoup sont bien sûr à la peine —sauf une scène finale où un tableau accroché au mur prend une importance suggestive pour le réalisateur (on n’en dit pas plus pour ne pas spoiler, mais cette scène est particulièrement réussie).

    Noter, pour ceux qui l’aiment, qu’on découvre l’actrice principale de la série danoise Borgen. Elle joue d’ailleurs bien la politicienne dans ce milieu scolaire.

    A.G.
    Daniele
    Daniele

    14 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 octobre 2023
    Parfaitement maîtrisé cinématographiquement mais au contenu douteux, confus ou à la recherche du sensationnalisme.
    Comment un apprentissage à l'alimentation réfléchie dégénère ? spoiler:
    en auto-aneantissement collectif ? spoiler:

    Jeu ambigu et malsain avec des pauses satiriques côté adulte lourdaudes ou incongrues.
    Ufuk K
    Ufuk K

    515 abonnés 1 471 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 octobre 2023
    "Club Zero" en compétition cette année au festival de Cannes (sélection officielle) est un thriller dramatique qui m'a laissé une impression mitigée. En effet sur le papier ce film me semblait intéressant, au final la réalisatrice autrichienne Jessica Hausner livre un récit pas aboutit et qui manque sérieusement de férocité, au final je me suis ennuyé la plupart du temps c'est dommage car le film aborde des idées intéressantes sur notre société (crise de l'environnement, société de consommation, culte de la minceur et du physique, inégalités sociales).
    sergedu84
    sergedu84

    8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 octobre 2023
    Excellente fable immorale. Une très grande finesse. On en sort souriant mais il ne faut pas en dévoiler plus.
    Yves G.
    Yves G.

    1 454 abonnés 3 480 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2023
    Une nouvelle enseignante, Miss Novak (Mia Wasikowska) est recrutée par la directrice (Sidse Nanett Knudsen) d’un lycée privé dont les élèves, souvent issus de milieux très aisés, sont triés sur le volet. Elle se voit confier la responsabilité d’animer auprès d’une demie-douzaine un atelier sur la nutrition. Mais elle se révèle bientôt un véritable gourou qui entraîne ses étudiants dans les pires excès.

    Jessica Hausner est une cinéaste troublante. Comme son précédent film, "Little Joe", "Club zero" se déroule dans un futur dystopique, dans un lieu indéterminé. Les décors y sont glaçants qui reflètent le vide désespérant des cœurs et des âmes.

    "Club zero", nous dit-elle, est un film sur la déresponsabilisation des parents qui cèdent à l’école la responsabilité d’éduquer leurs enfants. C’est aussi un film sur les troubles alimentaires, l’anorexie et le « péril du jeûne » – pour reprendre l’execellent jeu de mot de la critique du film dans Médiapart – qui a suscité en moi un trouble identique à celui qu’avait fait naître en 2020 Swallow dont l’héroïne souffrait du syndrome de Pica. C’est aussi me semble-t-il un film sur l’emprise et les phénomènes sectaires, avec les logiques de groupe qu’ils induisent, l’évolution du personnage de Ben étant particulièrement caractéristique à ce titre.

    Mia Wasikowska – qui, l’âge venant, ressemble de plus en plus à Jodie Foster – joue le rôle ingrat de Miss Nowak. Jessica Hausner refuse toute psychologisation. On ne saura rien de ce personnage, de son passé, des motifs qui l’ont amenée à devenir ce qu’elle est.

    Le scénario se heurtait à une difficulté structurelle : une fois posés les personnages et leur situation, quel ressort utiliser pour éviter le surplace et faire avancer le récit ? La solution est un peu bancal. les rebondissements ne sont pas tous crédibles. Et la fin de "Club zero" est capillo-tractée. Pour autant, si vous avez déjà vu cette semaine "Le Procès Goldman" et le Woody Allen, "Club zero" mérite le détour.
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