Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La cinéaste autrichienne Jessica Hausner envisage l’obsession du contrôle de l’alimentation dans une forme radicale. Autour d’une gourou sectaire, un teen-movie glaçant, au style carré.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Avec une précision maladive, Jessica Hausner déploie un drame radical et provocateur avec "Club Zero", satire glaçante sur la création d'une secte, la manière dont les plus vulnérables se font endoctriner et le rejet croissant de la science.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
Jessica Hausner signe un film percutant qui retourne l'estomac, au propre comme au figuré, de par le sujet qu'il aborde et ses choix de mise en scène radicaux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Club Zero ne nous laisse pas, contrairement aux protagonistes, sur notre faim. Le film s’inscrit avec panache dans la longue tradition des satires de la bourgeoisie, et dépasse même la critique de la classe qu’il égratigne.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Avec ce scénario au menu terrifiant, Jessica Hausner envisage une forme extrême du trouble de l’alimentation, l’une des maladies les plus difficiles et les plus graves.
Le Figaro
par Bertrand de Saint Vincent
C’est un chef-d’œuvre de lucidité glaçante. On en sort en titubant, l’estomac noué.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
La cinéaste autrichienne crée un univers hors du temps et d’une géographie précise, à la fois artificielle avec ses couleurs flashy et clinique, avec ses cadres implacablement géométriques. Un contraste visuel qui instille le malaise, au même titre que le mélange ingénieusement déstabilisant de tragédie en marche et de drôlerie absurde à la limite du ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
On frise alors le drame au fur et à mesure que Jessica Hausner appuie là où ça fait mal, livrant un regard impitoyable, glacial, à l'image de sa mise en scène, sur les dérives mortifères de notre société.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré ses longueurs, cette fable acide sur notre époque ne manque pas d'atouts.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Cette fiction grinçante sur les nouvelles religions pseudo-écolos et leurs adeptes ne laisse pas indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Dérangeant – au-delà de certaines scènes chocs – et saisissant à la fois, Club Zero atteint l’objectif qu’il s’est manifestement donné : nous faire réfléchir en nous retournant l’estomac, qu’il soit plein ou vide…
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Julien Rousset
À travers cette fable cinglante, Jessica Hausner nous confronte à notre obsession bourgeoise de la minceur, et, très au-delà, avec une mise en scène au scalpel, aux périls d’une foi sans raison. Difficile de ne pas voir en miss Novak, faussement douce et vraiment glaçante, une mystique des années 2020
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
La forme caricaturale du film renvoie à l'ambition universelle du propos : ce n'est pas à de pauvres jeunes gens désemparés qu'il s'en prend, mais à la terrifiante absurdité d'un phénomène de manipulation qu'on reconnaît hélas facilement, envisagée sur ton sardonique [...] qui amène à les considérer de manière plus abstraite, avec distance.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par M. Dl.
Le véritable intérêt de Club Zero se joue ailleurs, chez les parents qui manquent nettement de lucidité, aveuglés par le prestige de l’école. Parmi eux, un personnage émerge : malgré son inquiétude grandissante devant l’amaigrissement de sa fille, la mère d’Elsa (Elsa Zylberstein) jalouse secrètement sa capacité à se passer de nourriture.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un conte réjouissant sur les névroses contemporaines, dans le style froid et distancié désormais inhérent au cinéma de la réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Alice Leroy
Le maniérisme appuyé de la mise en scène, la maîtrise obsessionnelle du cadre et la perfection maniaque des décors n'arrangent rien – ils déportent le film du côté de la fable sardonique, accusant un peu plus l’écart avec des enjeux pourtant bien réels.
Critikat.com
par Josué Morel
Depuis Little Joe, le cinéma de Jessica Hausner s'est fondu dans une esthétique festivalière plus calibrée. Elle livre ici une satire empesée du « wokisme », ou du moins ce que les réactionnaires mettent derrière ce néologisme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
GQ
par Maxime Joly
Le film peut plaire à travers son esthétique minimaliste scandinave mais l’univers aseptisé créé par Jessica Hausner tend à reléguer son sujet principal — le syndrome du sauveur et le phénomène de secte selon ses dires — au second plan.
La critique complète est disponible sur le site GQ
La Croix
par Céline Rouden
Un conte glaçant et une satire féroce de notre époque qui sombre très vite dans la caricature.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le film, formellement rigoureux, pousse la logique jusqu’à l’absurde et au drame, en adoptant une tonalité aussi ironique que clinique. Est-ce cela qui nous a un peu gêné ? On rit (jaune), c’est vrai, à intervalles réguliers, mais la problématique tourne en rond.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
On rit parfois au cours de ce long métrage, mais on rit jaune : de la folie de Miss Novak, de l’emprise qu’elle exerce sur ses « disciples » ou du désarroi des parents.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Force est de constater que l'envie de satire de Hausner atteint vite ses limites dans « Club zéro », au sujet passionnant (les ravages de la nourriture saine dans les jeunes générations) mais à la facture bien light.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé Loisirs
par Sébastien Ors
Si sa mise en scène impressionne, la réalisatrice passe à côté de son sujet en balayant les motivations de ses personnages (culte du corps, écologie…) pour s'empêtrer dans un fatras idéologique pseudo-religieux.
Voici
par La Rédaction
Club Zero déborde de thématiques intéressantes mais son traitement clinique tient trop souvent le spectateur à distance.
L'Obs
par X. L.
La manière caricaturale dont elle malmène celles et ceux qui tentent en vain de s’opposer à ce projet funeste montre de quel côté se range la réalisatrice. Ce prosélytisme cruel pour une pathologie qui fait de véritables victimes dans la vraie vie est écœurant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Jessica Hausner livre une maigre réflexion sur l’emprise dans nos sociétés contemporaines. Agaçant, et assez vain.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Si le film de Jessica Hausner apparaît aussi inepte et consternant, c’est qu’au-delà de son très maigre et paresseux dispositif formel semblable à un algorithme, il se révèle également d’une pauvreté intellectuelle criante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Le ton se veut décapant. L’esthétique agressivement géométrique et frigide, histoire de bien enfoncer le clou de l’hygiénisme social [...]. Autant de facilités qui rendent cette comédie noire aussi déplaisante que ce qu’elle raille, pleine du nihilisme mal dégrossi d’un spectateur qui aurait appris ce qu’est le capitalisme devant "Black Mirror".
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par François Léger
Englué dans la satire faussement saillante, Club Zéro torpille toute possibilité de créer le malaise (une inoffensive scène de vomi ingurgité). Pas si drôle et toujours là où on l’attend.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Ce conte sur les dérives hygiénistes est piégé par son esthétique épurée et son cynisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
La cinéaste autrichienne Jessica Hausner envisage l’obsession du contrôle de l’alimentation dans une forme radicale. Autour d’une gourou sectaire, un teen-movie glaçant, au style carré.
Ecran Large
Avec une précision maladive, Jessica Hausner déploie un drame radical et provocateur avec "Club Zero", satire glaçante sur la création d'une secte, la manière dont les plus vulnérables se font endoctriner et le rejet croissant de la science.
Franceinfo Culture
Jessica Hausner signe un film percutant qui retourne l'estomac, au propre comme au figuré, de par le sujet qu'il aborde et ses choix de mise en scène radicaux.
L'Humanité
Club Zero ne nous laisse pas, contrairement aux protagonistes, sur notre faim. Le film s’inscrit avec panache dans la longue tradition des satires de la bourgeoisie, et dépasse même la critique de la classe qu’il égratigne.
Le Dauphiné Libéré
Avec ce scénario au menu terrifiant, Jessica Hausner envisage une forme extrême du trouble de l’alimentation, l’une des maladies les plus difficiles et les plus graves.
Le Figaro
C’est un chef-d’œuvre de lucidité glaçante. On en sort en titubant, l’estomac noué.
Le Journal du Dimanche
La cinéaste autrichienne crée un univers hors du temps et d’une géographie précise, à la fois artificielle avec ses couleurs flashy et clinique, avec ses cadres implacablement géométriques. Un contraste visuel qui instille le malaise, au même titre que le mélange ingénieusement déstabilisant de tragédie en marche et de drôlerie absurde à la limite du ridicule.
Le Point
On frise alors le drame au fur et à mesure que Jessica Hausner appuie là où ça fait mal, livrant un regard impitoyable, glacial, à l'image de sa mise en scène, sur les dérives mortifères de notre société.
Les Echos
Malgré ses longueurs, cette fable acide sur notre époque ne manque pas d'atouts.
Marianne
Cette fiction grinçante sur les nouvelles religions pseudo-écolos et leurs adeptes ne laisse pas indifférent.
Rolling Stone
Dérangeant – au-delà de certaines scènes chocs – et saisissant à la fois, Club Zero atteint l’objectif qu’il s’est manifestement donné : nous faire réfléchir en nous retournant l’estomac, qu’il soit plein ou vide…
Sud Ouest
À travers cette fable cinglante, Jessica Hausner nous confronte à notre obsession bourgeoise de la minceur, et, très au-delà, avec une mise en scène au scalpel, aux périls d’une foi sans raison. Difficile de ne pas voir en miss Novak, faussement douce et vraiment glaçante, une mystique des années 2020
Culturopoing.com
La forme caricaturale du film renvoie à l'ambition universelle du propos : ce n'est pas à de pauvres jeunes gens désemparés qu'il s'en prend, mais à la terrifiante absurdité d'un phénomène de manipulation qu'on reconnaît hélas facilement, envisagée sur ton sardonique [...] qui amène à les considérer de manière plus abstraite, avec distance.
Le Monde
Le véritable intérêt de Club Zero se joue ailleurs, chez les parents qui manquent nettement de lucidité, aveuglés par le prestige de l’école. Parmi eux, un personnage émerge : malgré son inquiétude grandissante devant l’amaigrissement de sa fille, la mère d’Elsa (Elsa Zylberstein) jalouse secrètement sa capacité à se passer de nourriture.
aVoir-aLire.com
Un conte réjouissant sur les névroses contemporaines, dans le style froid et distancié désormais inhérent au cinéma de la réalisatrice.
Cahiers du Cinéma
Le maniérisme appuyé de la mise en scène, la maîtrise obsessionnelle du cadre et la perfection maniaque des décors n'arrangent rien – ils déportent le film du côté de la fable sardonique, accusant un peu plus l’écart avec des enjeux pourtant bien réels.
Critikat.com
Depuis Little Joe, le cinéma de Jessica Hausner s'est fondu dans une esthétique festivalière plus calibrée. Elle livre ici une satire empesée du « wokisme », ou du moins ce que les réactionnaires mettent derrière ce néologisme.
GQ
Le film peut plaire à travers son esthétique minimaliste scandinave mais l’univers aseptisé créé par Jessica Hausner tend à reléguer son sujet principal — le syndrome du sauveur et le phénomène de secte selon ses dires — au second plan.
La Croix
Un conte glaçant et une satire féroce de notre époque qui sombre très vite dans la caricature.
La Voix du Nord
Le film, formellement rigoureux, pousse la logique jusqu’à l’absurde et au drame, en adoptant une tonalité aussi ironique que clinique. Est-ce cela qui nous a un peu gêné ? On rit (jaune), c’est vrai, à intervalles réguliers, mais la problématique tourne en rond.
Le Parisien
On rit parfois au cours de ce long métrage, mais on rit jaune : de la folie de Miss Novak, de l’emprise qu’elle exerce sur ses « disciples » ou du désarroi des parents.
Paris Match
Force est de constater que l'envie de satire de Hausner atteint vite ses limites dans « Club zéro », au sujet passionnant (les ravages de la nourriture saine dans les jeunes générations) mais à la facture bien light.
Télé Loisirs
Si sa mise en scène impressionne, la réalisatrice passe à côté de son sujet en balayant les motivations de ses personnages (culte du corps, écologie…) pour s'empêtrer dans un fatras idéologique pseudo-religieux.
Voici
Club Zero déborde de thématiques intéressantes mais son traitement clinique tient trop souvent le spectateur à distance.
L'Obs
La manière caricaturale dont elle malmène celles et ceux qui tentent en vain de s’opposer à ce projet funeste montre de quel côté se range la réalisatrice. Ce prosélytisme cruel pour une pathologie qui fait de véritables victimes dans la vraie vie est écœurant.
Les Fiches du Cinéma
Jessica Hausner livre une maigre réflexion sur l’emprise dans nos sociétés contemporaines. Agaçant, et assez vain.
Les Inrockuptibles
Si le film de Jessica Hausner apparaît aussi inepte et consternant, c’est qu’au-delà de son très maigre et paresseux dispositif formel semblable à un algorithme, il se révèle également d’une pauvreté intellectuelle criante.
Libération
Le ton se veut décapant. L’esthétique agressivement géométrique et frigide, histoire de bien enfoncer le clou de l’hygiénisme social [...]. Autant de facilités qui rendent cette comédie noire aussi déplaisante que ce qu’elle raille, pleine du nihilisme mal dégrossi d’un spectateur qui aurait appris ce qu’est le capitalisme devant "Black Mirror".
Première
Englué dans la satire faussement saillante, Club Zéro torpille toute possibilité de créer le malaise (une inoffensive scène de vomi ingurgité). Pas si drôle et toujours là où on l’attend.
Télérama
Ce conte sur les dérives hygiénistes est piégé par son esthétique épurée et son cynisme.