Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Ouest France
par Thierry Chèze
Des images exceptionnelles et authentiques.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Lynx condense des images collectées sur le temps long, nécessaire pour les capturer : elles sont magnifiques, dans les paysages éblouissants du Jura, traversés aussi par d’autres bêtes, le bestiaire plus familier des renards, des chamois, des hermines, des oiseaux.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Images superbes d’une nature sauvage près de chez nous cette fois, dans le Jura.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Moins littéraire que Vincent Munier, qui avait embarqué au Tibet l’écrivain Sylvain Tesson dans La Panthère des neiges, Laurent Geslin filme le lynx en majesté : il est comme le roi des forêts, héros secret, avançant à pas de loup parmi les hêtres et les sapins.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit qui provoque l’émerveillement et appelle, avec sincérité et émotion, à la conservation de l’espèce.
Le Parisien
par La Rédaction
Un documentaire contemplatif dans une forêt merveilleusement filmée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Coralie Schaub
C’est une grande goulée d’air pur, un ravissement pour les mirettes, des sons rares et étonnants qui titillent les esgourdes. En ces temps mornes et étouffants, foncez en salles vous faire chouchouter les sens et l’âme avec Lynx, un subtil documentaire réalisé par Laurent Geslin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
par Vincent Ostria
Certes, Lynx manque de contextualisation précise ; de plus, il faut subir une musique élégiaque envahissante, accepter un montage très scénarisé – avec, par exemple, des champs-contrechamps artificiellement dramatisés –, mais il reste la vérité du filmage, irréfutable, et la splendeur animale sans apprêt.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Le documentaire de L. Geslin se distingue par la beauté de sa photographie, mais se heurte à une limite formelle qui, hélas, l’empêche de prétendre à la réussite espérée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Sophie Avon
Après « La Panthère des neiges », voici un autre documentaire animalier, plus classique, « Lynx » de Laurent Geslin. Nouveau chant d’amour à la nature et à ses équilibres précieux.
Télérama
par François Ekchajzer
S’il ne brille pas par son originalité, le résultat se démarque du tout-venant en accordant une place inhabituelle aux sons de la nature, se gardant de les noyer sous une musique surabondante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Lorsque l’animal daigne enfin pointer le museau, la voix off invente une vague narration pour relier entre elles les rares images du lynx. Mais sans nous captiver. Restent de très belles images. C’est le service minimum.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Si la voix off évite d'humaniser la bête, un discours pédagogique sur ses habitudes et son rôle dans l'équilibre des forêts minore l'adrénaline sécrétée par les images.
Première
par Thierry Chèze
Dommage alors qu’en contradiction avec ce parti pris de réalisation, Geslin ait choisi de scénariser son récit, de faire appel à des voix- off explicatives. Bref de reconstituer toute son épopée de manière trop maladroite et brinquebalante pour ne pas en perdre une grande partie de la saveur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ouest France
Des images exceptionnelles et authentiques.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Lynx condense des images collectées sur le temps long, nécessaire pour les capturer : elles sont magnifiques, dans les paysages éblouissants du Jura, traversés aussi par d’autres bêtes, le bestiaire plus familier des renards, des chamois, des hermines, des oiseaux.
La Voix du Nord
Images superbes d’une nature sauvage près de chez nous cette fois, dans le Jura.
Le Dauphiné Libéré
Moins littéraire que Vincent Munier, qui avait embarqué au Tibet l’écrivain Sylvain Tesson dans La Panthère des neiges, Laurent Geslin filme le lynx en majesté : il est comme le roi des forêts, héros secret, avançant à pas de loup parmi les hêtres et les sapins.
Le Journal du Dimanche
Un récit qui provoque l’émerveillement et appelle, avec sincérité et émotion, à la conservation de l’espèce.
Le Parisien
Un documentaire contemplatif dans une forêt merveilleusement filmée.
Libération
C’est une grande goulée d’air pur, un ravissement pour les mirettes, des sons rares et étonnants qui titillent les esgourdes. En ces temps mornes et étouffants, foncez en salles vous faire chouchouter les sens et l’âme avec Lynx, un subtil documentaire réalisé par Laurent Geslin.
L'Humanité
Certes, Lynx manque de contextualisation précise ; de plus, il faut subir une musique élégiaque envahissante, accepter un montage très scénarisé – avec, par exemple, des champs-contrechamps artificiellement dramatisés –, mais il reste la vérité du filmage, irréfutable, et la splendeur animale sans apprêt.
Les Fiches du Cinéma
Le documentaire de L. Geslin se distingue par la beauté de sa photographie, mais se heurte à une limite formelle qui, hélas, l’empêche de prétendre à la réussite espérée.
Sud Ouest
Après « La Panthère des neiges », voici un autre documentaire animalier, plus classique, « Lynx » de Laurent Geslin. Nouveau chant d’amour à la nature et à ses équilibres précieux.
Télérama
S’il ne brille pas par son originalité, le résultat se démarque du tout-venant en accordant une place inhabituelle aux sons de la nature, se gardant de les noyer sous une musique surabondante.
L'Obs
Lorsque l’animal daigne enfin pointer le museau, la voix off invente une vague narration pour relier entre elles les rares images du lynx. Mais sans nous captiver. Restent de très belles images. C’est le service minimum.
Le Monde
Si la voix off évite d'humaniser la bête, un discours pédagogique sur ses habitudes et son rôle dans l'équilibre des forêts minore l'adrénaline sécrétée par les images.
Première
Dommage alors qu’en contradiction avec ce parti pris de réalisation, Geslin ait choisi de scénariser son récit, de faire appel à des voix- off explicatives. Bref de reconstituer toute son épopée de manière trop maladroite et brinquebalante pour ne pas en perdre une grande partie de la saveur.