Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Aden
par Philippe Piazzo
En icône absolue, elle (Emma de Caunes) est comme dans une veste trop grande pour elle, et le rythme languissant du film nous laisse tout le temps de l'imaginer ailleurs... où l'on irait volontiers la rejoindre.
Cine Libre
par Mélanie Lemaire
On n'attend qu'une seule chose : que Anne Frendo se réveille de son rêve à rallonge, qu'elle entre dans une vie réelle plus passionnante, un peu moins rose bonbon. Et que les lumières se rallument pour aller vivre une vraie vie...
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Fluctuat.net
par Manuel Merlet
En laissant Anne s'enfermer dans ses rêves jusqu'à la mort, il (Laurent Heumann) essaie de rappeler la primauté de la réalité sur l'imaginaire. Ce que contredit sa mise en scène, entièrement tissée de fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Si Emma de Caunes est ravissante, Eric Caravaca, lui, est là moins à l'aise dans son rôle de gueule cassée de La Chambre des officiers. Dommage ! On aurait aimé aimer.
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Au-delà des souriantes invocations, des étreintes de celluloïd et des pastiches de série B, le parfum délicat qui émane du film est celui de cette fleur épanouie dans la chaleur dangereuse des vertiges de la représentation, qui se nomma ailleurs la rose pourpre du Caire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Pas facile de démontrer à travers une fresque sentimentale le pouvoir et les dangers d'une imagination débourdante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Ce sont des clichés, et ils sont traités comme tels par Eric Heumann ; ils viennent de la BD, du cinoche à l'ancienne, du roman populaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par David Vincent
Les Amants du Nil n'est rien moins qu'une injure à l'idée même de " cinéma populaire " : un simulacre de peinture vieillotte et désincarnée, une version préhistorique du Syndrome de Stendhal (...).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) ce film rétro et maniéré hésite trop entre une BD à la Blake et Mortimer et un mélo comme le Patient anglais. Quant aux acteurs, dénués de charisme, ils ne parviennent pas à faire décoller l'intrigue amoureuse. On préférera les originaux américains à cette pâle imitation.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
MCinéma.com
par Marc Arlin
Projet attirant, ce mélo rétro avec l'Egypte en toile de fond est une déception. Par manque de clarté ou d'ambition, cette histoire d'amour imaginaire ne touche jamais vraiment.
Première
par Olivier De Bruyn
Hélas , les acteurs semblent perdus dans le grand huit sentimental et la mayonnaise romanesque ne prend pas. On le regrette car Les Amants du Nil fait partie de ces films qu'on aurait aimé aimer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
par Vincent Malausa
Les Amants du Nil, rêverie d'une midinette éprise d'un soldat imaginaire, c'est l'aboutissement d'un rêve de cinéma de tradition française digne du pire feuilleton de l'été sur TF1.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Aden
En icône absolue, elle (Emma de Caunes) est comme dans une veste trop grande pour elle, et le rythme languissant du film nous laisse tout le temps de l'imaginer ailleurs... où l'on irait volontiers la rejoindre.
Cine Libre
On n'attend qu'une seule chose : que Anne Frendo se réveille de son rêve à rallonge, qu'elle entre dans une vie réelle plus passionnante, un peu moins rose bonbon. Et que les lumières se rallument pour aller vivre une vraie vie...
Fluctuat.net
En laissant Anne s'enfermer dans ses rêves jusqu'à la mort, il (Laurent Heumann) essaie de rappeler la primauté de la réalité sur l'imaginaire. Ce que contredit sa mise en scène, entièrement tissée de fantaisie.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Si Emma de Caunes est ravissante, Eric Caravaca, lui, est là moins à l'aise dans son rôle de gueule cassée de La Chambre des officiers. Dommage ! On aurait aimé aimer.
Le Monde
Au-delà des souriantes invocations, des étreintes de celluloïd et des pastiches de série B, le parfum délicat qui émane du film est celui de cette fleur épanouie dans la chaleur dangereuse des vertiges de la représentation, qui se nomma ailleurs la rose pourpre du Caire.
TéléCinéObs
Pas facile de démontrer à travers une fresque sentimentale le pouvoir et les dangers d'une imagination débourdante.
Télérama
Ce sont des clichés, et ils sont traités comme tels par Eric Heumann ; ils viennent de la BD, du cinoche à l'ancienne, du roman populaire.
Chronic'art.com
Les Amants du Nil n'est rien moins qu'une injure à l'idée même de " cinéma populaire " : un simulacre de peinture vieillotte et désincarnée, une version préhistorique du Syndrome de Stendhal (...).
L'Humanité
(...) ce film rétro et maniéré hésite trop entre une BD à la Blake et Mortimer et un mélo comme le Patient anglais. Quant aux acteurs, dénués de charisme, ils ne parviennent pas à faire décoller l'intrigue amoureuse. On préférera les originaux américains à cette pâle imitation.
MCinéma.com
Projet attirant, ce mélo rétro avec l'Egypte en toile de fond est une déception. Par manque de clarté ou d'ambition, cette histoire d'amour imaginaire ne touche jamais vraiment.
Première
Hélas , les acteurs semblent perdus dans le grand huit sentimental et la mayonnaise romanesque ne prend pas. On le regrette car Les Amants du Nil fait partie de ces films qu'on aurait aimé aimer.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
Les Amants du Nil, rêverie d'une midinette éprise d'un soldat imaginaire, c'est l'aboutissement d'un rêve de cinéma de tradition française digne du pire feuilleton de l'été sur TF1.