Bienvenue chez Dalíland, un endroit à part où tout le monde gravite autour de Salvador Dali. Tout le monde est là pour une raison et tout le monde y trouve son compte, y compris l'artiste. Un entourage de profiteurs qu'il faut entretenir, ce qui ne semble pas déranger Dali, qui est toujours forcé à peindre plus, car il a lui-même besoin de stimulations extérieures pour être inspiré. Le film se concentre sur ces différentes relations avec James, le nouvel assistant personnel qui est l'élément central, et sur ce milieu excentrique avec ces soirées de débauches. Mary Harron ne cherche donc pas à retracer la vie de l'artiste, mais à dépeindre l'environnement qui lui a permis de trouver l'inspiration. À ce niveau-là, ça ressemble à beaucoup de films sur des artistes qu'ils soient réels ou fictifs. L'intérêt de l'histoire est clairement limité avec pas mal de choses superficielles, mais le film tient la route grâce à des personnages hauts en couleur et de bons acteurs. Au final, ça se laisse regarder, mais il n'y a rien de spécial.
Tout tourne autour de Dali, surtout les parasites, nous trouvons un artiste entouré au milieu de sa solitude. C est semble t il le principal message. Ben Kinsley est assez convaincant, un peu moins les personnages secondaires ce qui nuit relativement avec cette narration moyenne. Dommage cela aurait pu être mieux, plus inspirant plus envolé plus Dali
Un bon film de Mary Harron ( réalisatrice de American psycho entre autres)..Ben Kingsley en peintre Salvador Dali dans le New York des années 70 est superbe..Film Curieux entre D'Ali et sa femme Gaga..et un protagoniste qui raconte l'histoire joue avec finesse par Christopher Briney..
Déçue du film. Le vrai Dali parlait de manière beaucoup plus excentrique, ce qui n'est pas reproduit par Ben Kingsley. Moins convaincant. On ne retrouve pas le génie du peintre, mais simplement un vieux fou à l'histoire triste. Les autres personnages ne sont pas terriblement accrocheurs, même Amanda Lear paraît terne. Dali méritait un meilleur hommage que cela.