Michael Cimino, un mirage américain : Critique presse
Michael Cimino, un mirage américain
Note moyenne
3,6
15 titres de presse
La Croix
Critikat.com
Culturopoing.com
Franceinfo Culture
L'Humanité
L'Obs
Les Fiches du Cinéma
Libération
Positif
Télérama
Cahiers du Cinéma
Le Figaro
Les Inrockuptibles
Le Monde
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Un hommage somptueux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Critikat.com
par Valentin Denis
À travers ce portrait, Thoret se met au diapason d’un pays aux aspirations contrariées.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli & Vincent Nicolet
Une figure cruciale qui continue de hanter la cinéphilie contemporaine, et que Jean-Baptiste Thoret, par l’intermédiaire de ce documentaire, parvient à invoquer d’une fort jolie manière.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Foisonnant de témoignages (Quentin Taranino, John Savage, James Toback, des habitants de Clairton), sur fond d’images somptueuses du Colorado et d’une Amérique profonde, Michael Cimino, un mirage américain est le témoignage incontournable sur un cinéaste essentiel de la seconde moitié du XXe siècle, à la filmographie fulgurante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michèle Levieux
Prix du jury du Festival du film d’histoire de Pessac, après avoir été montré à La Rochelle, Bologne et Deauville, le film de Jean-Baptiste Thoret, autour du cinéaste américain Michael Cimino, est un modèle du genre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Road trip désenchanté, ce documentaire est un beau poème dédié à un fantôme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Proche de Cimino, J-B. Thoret repart sur les lieux de tournage du cinéaste. À travers les témoignages des habitants et de ceux qui l’ont côtoyé, on a le sentiment d’en découvrir plus sur sa personnalité, et de mieux comprendre l’Amérique qu’il voulait raconter.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Olivier Lamm
Dans un documentaire en forme de portrait filmé, Jean-Baptiste Thoret traverse la légende maudite du cinéaste de «Voyage au bout de l’enfer», tiraillé entre John Ford et Luchino Visconti, dessinant une Amérique des paysages et des idéaux bafoués.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Baptiste Roux
Entrecoupé d’envoûtantes séquences routières, où le ruban d’asphalte flanqué de plaines ou de sommets enneigés, à l’heure magique, n’est pas sans évoquer certaines toiles de Georgia O’Keefe, "Michael Cimino, un mirage américain" est un road movie sur un pays-psyché.
Télérama
par Jérémie Couston
Comme surgie des ténèbres, la voix éraillée de Cimino, enregistrée lors d’un précédent voyage, achève de donner à l’ensemble la force d’une élégie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Mahaut Thébault
L’enjeu du film porte dès lors sur la concordance des expériences individuelles avec l’époque lointaine d’une Amérique originelle et légendaire mise en scène par Cimino. Mais le procédé est risqué, car à chaque fantôme exhumé correspond son lot de vapeurs rances, entre bon vieux temps perdu, souvenirs communautaires et nostalgie lyrique.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Tarantino et Oliver Stone, entre autres, disent leur admiration pour le réalisateur de Voyage au bout de l’enfer dans un documentaire évocateur signé Jean-Baptiste Thoret.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
Michael Cimino, un mirage américain est à la fois passionnant et funèbre, habité par les fantômes d’un idéal fordien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Murielle Joudet
De ce nouveau voyage naît ce road-movie qui cherche à chaque séquence à nous prouver qu'il est plus qu'un documentaire sur l'oeuvre d'un auteur, une rumination crépusculaire, mais n'assure pas le minimum en matière de pédagogie et de générosité.
Première
par Thomas Baurez
Après 45 minutes émouvantes où se dessine la désolation de tout un pays, le film prend la tangente vers l’Ouest et ressuscite (enfin) la voix de Cimino. Un autre film démarre qui fait mine d’embrasser une œuvre pour la réhabiliter mais s’arrête en route pour revenir invariablement à son point de départ. Frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
Un hommage somptueux.
Critikat.com
À travers ce portrait, Thoret se met au diapason d’un pays aux aspirations contrariées.
Culturopoing.com
Une figure cruciale qui continue de hanter la cinéphilie contemporaine, et que Jean-Baptiste Thoret, par l’intermédiaire de ce documentaire, parvient à invoquer d’une fort jolie manière.
Franceinfo Culture
Foisonnant de témoignages (Quentin Taranino, John Savage, James Toback, des habitants de Clairton), sur fond d’images somptueuses du Colorado et d’une Amérique profonde, Michael Cimino, un mirage américain est le témoignage incontournable sur un cinéaste essentiel de la seconde moitié du XXe siècle, à la filmographie fulgurante.
L'Humanité
Prix du jury du Festival du film d’histoire de Pessac, après avoir été montré à La Rochelle, Bologne et Deauville, le film de Jean-Baptiste Thoret, autour du cinéaste américain Michael Cimino, est un modèle du genre.
L'Obs
Road trip désenchanté, ce documentaire est un beau poème dédié à un fantôme.
Les Fiches du Cinéma
Proche de Cimino, J-B. Thoret repart sur les lieux de tournage du cinéaste. À travers les témoignages des habitants et de ceux qui l’ont côtoyé, on a le sentiment d’en découvrir plus sur sa personnalité, et de mieux comprendre l’Amérique qu’il voulait raconter.
Libération
Dans un documentaire en forme de portrait filmé, Jean-Baptiste Thoret traverse la légende maudite du cinéaste de «Voyage au bout de l’enfer», tiraillé entre John Ford et Luchino Visconti, dessinant une Amérique des paysages et des idéaux bafoués.
Positif
Entrecoupé d’envoûtantes séquences routières, où le ruban d’asphalte flanqué de plaines ou de sommets enneigés, à l’heure magique, n’est pas sans évoquer certaines toiles de Georgia O’Keefe, "Michael Cimino, un mirage américain" est un road movie sur un pays-psyché.
Télérama
Comme surgie des ténèbres, la voix éraillée de Cimino, enregistrée lors d’un précédent voyage, achève de donner à l’ensemble la force d’une élégie.
Cahiers du Cinéma
L’enjeu du film porte dès lors sur la concordance des expériences individuelles avec l’époque lointaine d’une Amérique originelle et légendaire mise en scène par Cimino. Mais le procédé est risqué, car à chaque fantôme exhumé correspond son lot de vapeurs rances, entre bon vieux temps perdu, souvenirs communautaires et nostalgie lyrique.
Le Figaro
Tarantino et Oliver Stone, entre autres, disent leur admiration pour le réalisateur de Voyage au bout de l’enfer dans un documentaire évocateur signé Jean-Baptiste Thoret.
Les Inrockuptibles
Michael Cimino, un mirage américain est à la fois passionnant et funèbre, habité par les fantômes d’un idéal fordien.
Le Monde
De ce nouveau voyage naît ce road-movie qui cherche à chaque séquence à nous prouver qu'il est plus qu'un documentaire sur l'oeuvre d'un auteur, une rumination crépusculaire, mais n'assure pas le minimum en matière de pédagogie et de générosité.
Première
Après 45 minutes émouvantes où se dessine la désolation de tout un pays, le film prend la tangente vers l’Ouest et ressuscite (enfin) la voix de Cimino. Un autre film démarre qui fait mine d’embrasser une œuvre pour la réhabiliter mais s’arrête en route pour revenir invariablement à son point de départ. Frustrant.