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Fine observation d'un milieu impitoyable, où chacun est le pion d'un autre, les petits étant implacablement exploités par les riches et puissants, "Le Système Victoria", réalisé avec brio par Sylvain Desclous [...] fait à la fois froid dans le dos et séduit par le drame humain qu'il mijote.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Nimbé d’ambiguïtés et de mystères, construits sur une suite de scènes inquiétantes, tantôt brutales, tantôt sensuelles, le film laisse le spectateur faire son propre chemin dans cette relation « humaine » où Balibar enjôle et fascine.
Les comédiens (Damien Bonnard et Jeanne Balibar) sont convaincants, les rouages du scénario s’imbriquent avec fluidité, la sensualité s’impose, malgré une mise en place d’une froideur au diapason d’un script cérébral et distancié.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le scénario, adapté d’un roman d’Éric Reinhardt, mélange deux types de récit de manière assez habile [...]. Un thriller intense, efficace, entre jeux de pouvoirs et passion, interprété par deux acteur·rices exceptionnel·les.
Plus proche d'Hitchcock que de Ken Loach, "Le Système Victoria" est une nouvelle réussite couronnant l'ambition d'un cinéma politique qui n'oublie jamais le romanesque, la complexité et le style.
Si le duo Bonnard-Balibar fonctionne très bien, le film finit néanmoins par s'enliser dans un scénario sans surprise, que la réalisation, classique, peine à faire décoller.
Après « De grandes espérances », Sylvain Desclous adapte le roman d’Éric Reinhardt sur la relation sulfureuse entre un architecte raté et une femme puissante. Mais il ne parvient pas à en restituer toute la troublante ambiguïté.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Du roman éponyme d’Eric Reinhardt, [...], Sylvain Desclous tire étonnamment un film très peu théorique et objectivement désintéressé par la logique de son récit, celle d’un thriller, pour se concentrer sur la chair des amants, et celle des acteurs qui les incarnent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L’aspect thriller aurait pu lui aussi être plus poussé. Cependant, le cinéaste se rattrape lorsqu’il réunit ses deux comédiens. Leurs face-à-face troublent constamment les spectateurs jusqu'à les conduire dans des zones inattendues. Du moins, jusqu’au final, décevant.
On aime… La façon de filmer et d’opposer les milieux du bâtiment, des affaires et du luxe, dans lesquels se déroule cette histoire. Le jeu subtil de Damien Bonnard. On aime moins… Le côté attendu de nombreuses situations, peut-être lié à la présence d’une Jeanne Balibar trop fidèle à son registre de femme fatale.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Violence du BTP et bulle érogène des hôtels chics, architecte frustré et DRH ultralibérale… Un suspense singulier, inspiré d’un roman d’Éric Reinhardt.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Système victoria peine davantage dans son exploration, bancale, des rapports de domination. Un écueil que le film surmonte grâce aux excellentes prestation de Damien Bonnard et Jeanne Balibar.
Manipulations, pots de vin dans le milieu de la construction immobilière, tel est le contenu de ce film tourné comme un thriller mais dont la fin laisse le spectateur un peu sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Plutôt que d’exacerber l’attraction magnétique des deux protagonistes, Sylvain Desclous aborde le couple avec une froideur clinique : chaque échange semble fabriqué, presque vidé de sa substance érotique.
Le problème, ici, est que tout est joué d’avance et que le film, plombé par une gravité de petit séminariste, se borne à touiller un mystère éventé, jusqu’à flirter avec le grotesque (le dernier quart d’heure, passablement gratiné). Moralité : trop de système tue « le Système ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
On applaudit la réalisation soignée et les acteurs talentueux. Pourtant, on a du mal à entrer dans l’histoire. Peut-être parce qu’on ne sait sur quel pied danser : thriller social ou érotique ? Ni l’un ni l’autre. La narration est trop lente, la vision de la femme puissante incarnée par Jeanne Balibar a déjà été vue et revue, fruit d’un scénario somme toute dépassé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
On est d’abord séduit par l’étrange relation qui se noue entre ces deux personnalités que tout oppose, aussi bien humainement que socialement, interprétés avec une belle complexité par Jeanne Balibar et Damien Bonnard, mais l’intensité entre eux se délite trop vite par manque de crédibilité et l’intrigue court finalement assez court.
Ce qui manque au film pour dire vraiment quelque chose du capitalisme, c’est le travail en lui-même. De la construction de la tour, de l’effort ouvrier, etc., on ne verra pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Reste qu'on ne croit pas trop à ce couple chimérique, éphémère et qui semble fabriqué le temps d'un chantier. Et, à la fin, on se dit que le héros s'en est sorti sans trop de dégâts mais sans savoir qui, dans ce petit jeu, a manipulé qui.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Passé une première demi-heure intrigante qui parvient à infuser peu à peu une dose de suspense dans cette tranche de vie naturaliste, la multiplication des fils narratifs tirés avant d’être abandonnés en cours de route finit par émousser l’intérêt.
Ce vrai-faux thriller à la belle gueule d'atmosphère brouille les cartes à l'envi, ce qui laisse augurer un vaste champ des possibles, pour, in fine, nous conduire nulle part.
Portée essentiellement par des dialogues surlignés, la dénonciation du capitalisme méconnaît la dimension physique du travail ouvrier pour s’intéresser surtout à la libido contrariée du petit-bourgeois.
Damien Bonnard et Jeanne Balibar peinent à rendre passionnante cette plongée dans les dessous du BTP. Après l’original et stimulant De grandes espérances, ce Système Victoria déçoit.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Abus de Ciné
Fine observation d'un milieu impitoyable, où chacun est le pion d'un autre, les petits étant implacablement exploités par les riches et puissants, "Le Système Victoria", réalisé avec brio par Sylvain Desclous [...] fait à la fois froid dans le dos et séduit par le drame humain qu'il mijote.
Diverto
Un polar social oppressant qui interroge sans jamais abandonner son gout pour le non-dit.
Elle
Un thriller exaltant.
La Tribune Dimanche
Nimbé d’ambiguïtés et de mystères, construits sur une suite de scènes inquiétantes, tantôt brutales, tantôt sensuelles, le film laisse le spectateur faire son propre chemin dans cette relation « humaine » où Balibar enjôle et fascine.
Le Parisien
Les comédiens (Damien Bonnard et Jeanne Balibar) sont convaincants, les rouages du scénario s’imbriquent avec fluidité, la sensualité s’impose, malgré une mise en place d’une froideur au diapason d’un script cérébral et distancié.
Les Echos
Un film original et troublant.
Les Inrockuptibles
Le scénario, adapté d’un roman d’Éric Reinhardt, mélange deux types de récit de manière assez habile [...]. Un thriller intense, efficace, entre jeux de pouvoirs et passion, interprété par deux acteur·rices exceptionnel·les.
Marianne
Un film grinçant sur la sauvagerie économique et sociale.
Marie Claire
Une métaphore parfaite, bien que parfois un poil trop littérale, du capitalisme immobilier sans foi ni loi.
Transfuge
Plus proche d'Hitchcock que de Ken Loach, "Le Système Victoria" est une nouvelle réussite couronnant l'ambition d'un cinéma politique qui n'oublie jamais le romanesque, la complexité et le style.
Franceinfo Culture
Si le duo Bonnard-Balibar fonctionne très bien, le film finit néanmoins par s'enliser dans un scénario sans surprise, que la réalisation, classique, peine à faire décoller.
L'Humanité
Le film ne tient certes pas toutes ses promesses mais reste un intrigant thriller machiavélique.
La Croix
Après « De grandes espérances », Sylvain Desclous adapte le roman d’Éric Reinhardt sur la relation sulfureuse entre un architecte raté et une femme puissante. Mais il ne parvient pas à en restituer toute la troublante ambiguïté.
Libération
Du roman éponyme d’Eric Reinhardt, [...], Sylvain Desclous tire étonnamment un film très peu théorique et objectivement désintéressé par la logique de son récit, celle d’un thriller, pour se concentrer sur la chair des amants, et celle des acteurs qui les incarnent.
Nice-Matin
L’aspect thriller aurait pu lui aussi être plus poussé. Cependant, le cinéaste se rattrape lorsqu’il réunit ses deux comédiens. Leurs face-à-face troublent constamment les spectateurs jusqu'à les conduire dans des zones inattendues. Du moins, jusqu’au final, décevant.
Ouest France
On aime… La façon de filmer et d’opposer les milieux du bâtiment, des affaires et du luxe, dans lesquels se déroule cette histoire. Le jeu subtil de Damien Bonnard. On aime moins… Le côté attendu de nombreuses situations, peut-être lié à la présence d’une Jeanne Balibar trop fidèle à son registre de femme fatale.
Première
Un film en totale prise sur notre époque et par là même glaçant et oppressant.
Télé Loisirs
Les intentions sont bonnes, mais la mise en application est malheureusement souvent confuse.
Télérama
Violence du BTP et bulle érogène des hôtels chics, architecte frustré et DRH ultralibérale… Un suspense singulier, inspiré d’un roman d’Éric Reinhardt.
Version Femina
Malgré certaines longueurs, le talent de ces acteurs nous permet d'être happés par ces deux personnages dont on ne sait où l'histoire les mènera.
Voici
Le Système victoria peine davantage dans son exploration, bancale, des rapports de domination. Un écueil que le film surmonte grâce aux excellentes prestation de Damien Bonnard et Jeanne Balibar.
aVoir-aLire.com
Manipulations, pots de vin dans le milieu de la construction immobilière, tel est le contenu de ce film tourné comme un thriller mais dont la fin laisse le spectateur un peu sur sa faim.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Plutôt que d’exacerber l’attraction magnétique des deux protagonistes, Sylvain Desclous aborde le couple avec une froideur clinique : chaque échange semble fabriqué, presque vidé de sa substance érotique.
L'Obs
Le problème, ici, est que tout est joué d’avance et que le film, plombé par une gravité de petit séminariste, se borne à touiller un mystère éventé, jusqu’à flirter avec le grotesque (le dernier quart d’heure, passablement gratiné). Moralité : trop de système tue « le Système ».
La Voix du Nord
On applaudit la réalisation soignée et les acteurs talentueux. Pourtant, on a du mal à entrer dans l’histoire. Peut-être parce qu’on ne sait sur quel pied danser : thriller social ou érotique ? Ni l’un ni l’autre. La narration est trop lente, la vision de la femme puissante incarnée par Jeanne Balibar a déjà été vue et revue, fruit d’un scénario somme toute dépassé.
Le Dauphiné Libéré
L’aspect sociétal, plus nuancé et mieux maîtrisé, pallie la faiblesse du récit érotico-amoureux.
Le Journal du Dimanche
On est d’abord séduit par l’étrange relation qui se noue entre ces deux personnalités que tout oppose, aussi bien humainement que socialement, interprétés avec une belle complexité par Jeanne Balibar et Damien Bonnard, mais l’intensité entre eux se délite trop vite par manque de crédibilité et l’intrigue court finalement assez court.
Le Monde
Ce qui manque au film pour dire vraiment quelque chose du capitalisme, c’est le travail en lui-même. De la construction de la tour, de l’effort ouvrier, etc., on ne verra pas grand-chose.
Le Point
Reste qu'on ne croit pas trop à ce couple chimérique, éphémère et qui semble fabriqué le temps d'un chantier. Et, à la fin, on se dit que le héros s'en est sorti sans trop de dégâts mais sans savoir qui, dans ce petit jeu, a manipulé qui.
Les Fiches du Cinéma
Le récit manque de précision. Le son et l’image varient parfois trop de qualité.
Positif
Passé une première demi-heure intrigante qui parvient à infuser peu à peu une dose de suspense dans cette tranche de vie naturaliste, la multiplication des fils narratifs tirés avant d’être abandonnés en cours de route finit par émousser l’intérêt.
Télé 7 Jours
Ce vrai-faux thriller à la belle gueule d'atmosphère brouille les cartes à l'envi, ce qui laisse augurer un vaste champ des possibles, pour, in fine, nous conduire nulle part.
Cahiers du Cinéma
Portée essentiellement par des dialogues surlignés, la dénonciation du capitalisme méconnaît la dimension physique du travail ouvrier pour s’intéresser surtout à la libido contrariée du petit-bourgeois.
Le Figaro
Damien Bonnard et Jeanne Balibar peinent à rendre passionnante cette plongée dans les dessous du BTP. Après l’original et stimulant De grandes espérances, ce Système Victoria déçoit.