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Emmanuel Finkiel adopte le regard de l’enfant, sa vision tronquée, son hypervigilance auditive. Ce qui n’est pas vu est entendu, dans un travail impressionnant sur la perception.
Après « Voyages » et « La Douleur », le cinéaste évoque une nouvelle fois la Shoah. Interprété par Mélanie Thierry dans l'un des plus beaux rôles de sa carrière, ce film s'impose comme une réussite majeure.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Voir et entendre des choses qu’on ne comprend pas bien, qu’on comprendra plus tard, et encore, jamais entièrement : c’est l’enfance, et la "Chambre de Mariana" est bien un film sur l’enfance, son cinéma à plusieurs vitesses de lecture, plus encore que sur la Shoah, sa mémoire en plusieurs temps.
La critique complète est disponible sur le site Libération
"La Chambre de Mariana" touche au cœur dans ce qui aurait pu se limiter à être un mélodrame quelconque. Il va au-delà, en s'avérant un grand film d'apprentissage nourri de romanesque.
Cette puissance de la fiction, Mélanie Thierry l’incarne à elle seule, renversante Mariana qu’elle interprète en ukrainien et jusqu’au bout des ongles. Elle est la chair du récit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Huis clos dramatique, sur la vie et la mort, porté par la haute intensité du jeu de Mélanie Thierry, le film joue avec habileté du hors-champ de la guerre et de ses atrocités.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le nouveau film d'Emmanuel Finkiel reconstitue ce huit clos inimaginable avec une troupe d'acteurs tous ukrainiens à l'exception notable de Mélanie Thierry qui, pour tenir le rôle principal a appris la langue ukrainienne. Un exploit dont l'actrice et le film, captivants de bout en bout malgré l'âpreté du propos et du confinement qu'il induit, s'acquittent à merveille.
Dans cette histoire très émouvante de courage et de résilience, Emmanuel Finkiel déploie un mélange de délicatesse et de force dans les sentiments dont lui seul a le secret.
Traduit en termes de mise en scène, le défi consiste à devoir peupler des plans depuis le regard d’un sujet enfermé dans un trou. On sera surpris de la richesse et de l’intelligence sensible des réponses envisagées par Emmanuel Finkiel pour lever l’aporie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Adaptée d’Aharon Appelfeld, une traversée de la guerre “en chambre” aussi forte dans l’évocation de l’intimité d’une relation que dans celle du désastre qui l’assiège.
"La Chambre de Mariana" fait ainsi du statisme de son dispositif et de ce dont il prive son personnage un témoignage d’une grande justesse psychologique sur la survie et l’éveil des sens, où pulsions de mort et de vie cohabitent.
Le film court-circuite avec brio le pensum historique en abordant un désastre collectif par le petit bout de la lorgnette, à travers son écho dans un huis clos intimiste et féminin.
Un rôle dont s’empare avec brio le jeune Artem Kyryk, qui rend fièrement la réplique à une formidable Mélanie Thierry, ayant appris l’ukrainien pour mieux incarner Mariana. Deux caractères à la fois forts et fragiles au service d’un film puissant qui convoque l’Histoire tout en embrassant le romanesque et en célébrant, de fort belle manière, le 7e art.
L’actrice Mélanie Thierry a appris l’ukrainien pour le film. Déjà présente dans La douleur , précédent film d’Emmanuel Finkiel, elle est bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
A partir du texte d’Aharon Appelfeld, Finkiel signe un film à la fois âpre et romanesque dont la précision créait une tension avec les pulsations aléatoires du chaos. Puissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
A la fois fresque historique et récit d'apprentissage, cette adaptation du roman autobiographique d'Aharon Appelfeld séduit par sa mise en scène aussi élaborée que discrète et par le jeu éblouissant de Mélanie Thierry.
Adaptée d'un roman d'Aharon Appelfeld, cette histoire, qui fait tristement écho à l'actualité, prend toute son ampleur dans la mise en scène élégante du cinéaste et grâce à l'interprétation éblouissante de Mélanie Thierry.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
Changeant soudainement de lumière, ce film en permanence sur le fil du rasoir par son jeu sur les sensations, évoque au final le remplacement d’un danger par un autre, avec l’arrivée des soldats soviétiques, supposé soulagement, étant en réalité synonyme du début d’un autre cauchemar.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Ici, le réduit où l’enfant (inventé par Aharon Appelfield à partir d’un matériau autobiographique) trouve refuge dans le Czernowitz occupé de 1942 apparaît moins comme un repli de l’histoire que comme un lieu imposant au film ses dimensions.
20 Minutes
Mélanie Thierry et le jeune Artem Kyryk sont époustouflants dans ce film poignant et nécessaire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mélanie Thierry est une putain sublime. Excessive et magnifique. Quel rôle !
Elle
Une aventure humaine hors normes.
Le Dauphiné Libéré
Emmanuel Finkiel adopte le regard de l’enfant, sa vision tronquée, son hypervigilance auditive. Ce qui n’est pas vu est entendu, dans un travail impressionnant sur la perception.
Les Echos
Après « Voyages » et « La Douleur », le cinéaste évoque une nouvelle fois la Shoah. Interprété par Mélanie Thierry dans l'un des plus beaux rôles de sa carrière, ce film s'impose comme une réussite majeure.
Libération
Voir et entendre des choses qu’on ne comprend pas bien, qu’on comprendra plus tard, et encore, jamais entièrement : c’est l’enfance, et la "Chambre de Mariana" est bien un film sur l’enfance, son cinéma à plusieurs vitesses de lecture, plus encore que sur la Shoah, sa mémoire en plusieurs temps.
Bande à part
Un grand film terrible et beau.
Closer
Pudique et bouleversant.
Franceinfo Culture
"La Chambre de Mariana" touche au cœur dans ce qui aurait pu se limiter à être un mélodrame quelconque. Il va au-delà, en s'avérant un grand film d'apprentissage nourri de romanesque.
L'Humanité
Emmanuel Finkiel rend hommage de la plus belle des manières à un immense écrivain dont l’acuité du regard et la voix douce ne cessent de nous manquer.
L'Obs
Cette puissance de la fiction, Mélanie Thierry l’incarne à elle seule, renversante Mariana qu’elle interprète en ukrainien et jusqu’au bout des ongles. Elle est la chair du récit.
La Croix
Huis clos dramatique, sur la vie et la mort, porté par la haute intensité du jeu de Mélanie Thierry, le film joue avec habileté du hors-champ de la guerre et de ses atrocités.
La Tribune Dimanche
Le nouveau film d'Emmanuel Finkiel reconstitue ce huit clos inimaginable avec une troupe d'acteurs tous ukrainiens à l'exception notable de Mélanie Thierry qui, pour tenir le rôle principal a appris la langue ukrainienne. Un exploit dont l'actrice et le film, captivants de bout en bout malgré l'âpreté du propos et du confinement qu'il induit, s'acquittent à merveille.
La Voix du Nord
Deux histoires si personnelles qui se rencontrent et nous terrassent en beauté, tandis qu’en Ukraine grondent à nouveau les bruits de la guerre.
Le Figaro
Mélanie Thierry atteint des sommets d’émotion dans ce huis clos adapté du roman d’Aharon Appelfeld.
Le Journal du Dimanche
Dans cette histoire très émouvante de courage et de résilience, Emmanuel Finkiel déploie un mélange de délicatesse et de force dans les sentiments dont lui seul a le secret.
Le Monde
Traduit en termes de mise en scène, le défi consiste à devoir peupler des plans depuis le regard d’un sujet enfermé dans un trou. On sera surpris de la richesse et de l’intelligence sensible des réponses envisagées par Emmanuel Finkiel pour lever l’aporie.
Le Parisien
Un long-métrage qui résonne tristement avec l’actualité, mais se révèle aussi vibrant et lumineux.
Le Point
Le réalisateur Emmanuel Finkiel signe ici une magnifique adaptation du roman d'Aharon Appelfeld portée par une Mélanie Thierry habitée.
Les Fiches du Cinéma
Adaptée d’Aharon Appelfeld, une traversée de la guerre “en chambre” aussi forte dans l’évocation de l’intimité d’une relation que dans celle du désastre qui l’assiège.
Les Inrockuptibles
"La Chambre de Mariana" fait ainsi du statisme de son dispositif et de ce dont il prive son personnage un témoignage d’une grande justesse psychologique sur la survie et l’éveil des sens, où pulsions de mort et de vie cohabitent.
Marianne
Un film bouleversant sur la Shoah.
Marie Claire
Le film court-circuite avec brio le pensum historique en abordant un désastre collectif par le petit bout de la lorgnette, à travers son écho dans un huis clos intimiste et féminin.
Nice-Matin
Un rôle dont s’empare avec brio le jeune Artem Kyryk, qui rend fièrement la réplique à une formidable Mélanie Thierry, ayant appris l’ukrainien pour mieux incarner Mariana. Deux caractères à la fois forts et fragiles au service d’un film puissant qui convoque l’Histoire tout en embrassant le romanesque et en célébrant, de fort belle manière, le 7e art.
Ouest France
L’actrice Mélanie Thierry a appris l’ukrainien pour le film. Déjà présente dans La douleur , précédent film d’Emmanuel Finkiel, elle est bouleversante.
Première
A partir du texte d’Aharon Appelfeld, Finkiel signe un film à la fois âpre et romanesque dont la précision créait une tension avec les pulsations aléatoires du chaos. Puissant.
Sud Ouest
La mise en scène, subtile, repose sur l’observation et un voyeurisme, presque innocent.
Transfuge
[Un] beau film qui boucle une sorte de trilogie après "Voyages" et "La Douleur".
Télé Loisirs
A la fois fresque historique et récit d'apprentissage, cette adaptation du roman autobiographique d'Aharon Appelfeld séduit par sa mise en scène aussi élaborée que discrète et par le jeu éblouissant de Mélanie Thierry.
Télérama
Mélanie Thierry est prodigieuse dans ce film audacieux et bouleversant.
Version Femina
Adaptée d'un roman d'Aharon Appelfeld, cette histoire, qui fait tristement écho à l'actualité, prend toute son ampleur dans la mise en scène élégante du cinéaste et grâce à l'interprétation éblouissante de Mélanie Thierry.
Abus de Ciné
Changeant soudainement de lumière, ce film en permanence sur le fil du rasoir par son jeu sur les sensations, évoque au final le remplacement d’un danger par un autre, avec l’arrivée des soldats soviétiques, supposé soulagement, étant en réalité synonyme du début d’un autre cauchemar.
Cahiers du Cinéma
Ici, le réduit où l’enfant (inventé par Aharon Appelfield à partir d’un matériau autobiographique) trouve refuge dans le Czernowitz occupé de 1942 apparaît moins comme un repli de l’histoire que comme un lieu imposant au film ses dimensions.
Positif
Une adaptation fidèle, un peu trop in fine, heureusement portée Mélanie Thierry, captivante dans le rôle-titre.
aVoir-aLire.com
Un drame de la Seconde Guerre mondiale présentant une facture classique, mais porté par une exceptionnelle Mélanie Thierry.