Carax est un anthropologue des images, il s'appuie sur un corpus issu de ses propres films (mais pas uniquement) afin de mettre à jour l’image inconsciente comme une survivance de l’imaginaire enfantin a travers lequel il désigne Godard comme père putatif et c’est bouleversant.
Un florilège d’images choisies qui dressent SON portrait Poétique Dramatique Provocateur Utile Le destinataire initial du film en donne la forme qui aurait fini par me lasser si Annette n’avait pas fait cette apparition si impromptue qui bien sûr fait pleurer Sacré coquin de Leos tu nous attends toujours au tournant …
Le cinéma c'est de l'art mais qu'est ce que l'art ? l'art est pour moi un outil pour douter de soit douter de ce que l'on sait et douter de ce que l'on ressent peut de film ont remarqué cela aujourd'hui il n'y as eu que Le livre d'image et C'est pas moi qui ont su être du véritable cinéma
Une affiche et un synopsis très prometteurs, surtout quand on connaît le talent de Leos Carax qui sait très bien poser une ambiance forte en émotions. Ce film de commande n’est qu’un montage d’une succession de plans dont on peine à comprendre le fil. Beaucoup sont inappropriés pour la taille d’un écran de cinéma, on a donc même pas la possibilité d’être transporté par de belles images. Expérience très frustrante et très décevante.
Du très beau Carax. Un bel objet, qui fait réfléchir, mille idées formelles à la seconde… une envie de pleurer par moments sans vraiment savoir pourquoi.