Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le cinéaste fait son introspection dans un film de montage où il déploie largement son imagination sensorielle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Thomas Baurez
On plonge corps et âme dans ce film-monde aussi émouvant que stimulant.
Bande à part
par Nadia Meflah
À la commande d’un film pour une exposition qui n’a jamais eu lieu, Léos Carax a choisi de répondre par un sublime geste cinématographique : la lettre filmée. Dans ce tendre film, le cœur balance entre souvenirs cinéphiles et élégie de la filiation d’un citoyen-filmeur parcouru par l’amour.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
C’est pas moi documente le vertige d’un cinéaste jouant avec des images qui perdent leur sens, décharnées. On n’en voit plus que l’envers, la fabrication sur fond de ténèbres. Où en est-il, Leos Carax ? Il pleure et rit dans un grand nulle part, là où il fait tout noir.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
En 40 minutes d'une densité époustouflante, Carax nous offre un voyage dans son monde, qu'il déploie dans un mouvement incessant et joyeux, irriguant ce merveilleux petit film qu'on voudrait emporter avec soi en partant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
L’essai transgressif et déchirant de l’héritier spirituel de Godard.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par La rédaction
Avec ce moyen métrage de 41 minutes, Leos Carax rend hommage à l’un de ses maîtres, Jean-Luc Godard, tout en se livrant à un essai introspectif en forme de collage d’images qui balaie sa carrière et ses inspirations.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par S. B.
Le réalisateur se livre à une émouvante introspection avec cet autoportrait revisitant les temps forts de sa filmographie et de sa vie, compilant les images et les commentaires aussi poétiques que politiques, désespérés que féroces.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Portrait de l’artiste en Capitaine Nemo génial, hanté et asocial, autant que visite de son Nautilus mental, C’est pas moi est — dans une forme godardienne — un concentré de Carax, drôle, inventif, gonflé, touchant, et par là-même constamment stimulant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
Surplombé par le fantôme de son idole, Jean-Luc Godard, le moyen métrage du cinéaste est ponctué d’images mélancoliques, de visages familiers et d’extraits de home movies émouvants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par S.A.
Composite, volontairement fruste et frontal dans la forme, une puissante décharge poétique d'une insolente beauté : tant d'amour dans si peu d'artifice.
Première
par Thomas Baurez
Le cinéaste s’émeut que les images, comme nos yeux, ne clignent plus. Son film cligne bien. Poétique et généreux. Et par le jeu d’un montage incroyablement touffu et limpide, s’opère un vertige. C’est pas moi, c’est bien lui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Leos Carax revisite son œuvre sans solennité. Il préfère la légèreté, l’allusion. Par exemple en faisant danser la marionnette de son long métrage Annette sur Modern Love, de David Bowie, musique d’une scène-culte de Mauvais sang. Il parle avec profondeur du cinéma, du pouvoir des images. Attention, nous dit-il, le regard a besoin de se reposer !
Télérama
par Jacques Morice
Le film est à la fois un requiem et une ode à la vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Josué Morel
Si l'exercice se révèle joueur et assez inventif, il n'est pas sans revers : très (trop) inspiré par le Godard dernière manière, Carax s’aventure parfois sur des terrains qui, pour le coup, ne sont pas vraiment les siens.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Marie-Josée Sirach
Carax tente un "autoportrait de dos", "un rêve rêvé", allongé en pyjama sur un lit défait, avec ses chiens. Il allume une cigarette, les yeux entrouverts. On ne retient que ce que l’on veut des images. Regards subjectifs, éducation à l’image, dis-moi comment tu regardes, ce que tu regardes, et je te dirai qui tu es, ou tu n’es pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Dans ce film peuplé de fantômes, la culpabilité est l’un des ressorts. Culpabilité d’un siècle. Culpabilité de certains hommes. De ces coq-à-l’âne post-godardiens entre l’histoire, les images et l’intime surgit une enfant-marionnette. Annette. Encore.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Jacques Manzanera
Désigné par un carton comme un work in progress, il s'agit d'une sorte de chantier de réflexion godardien, guidé par les flux de conscience se bousculant dans la mémoire d'un cinéaste qui avoue chercher à "faire des plans déjà vus".
Le Point
par La rédaction
Que l'on soit ou non friand de cet exercice d'une indéniable radicalité artistique, on ne peut que s'agacer de séquences qui opèrent des raccourcis politiques douteux – ainsi d'un montage clairement destiné à jeter dans le même sac Vladimir Poutine, Donald Trump, Kim Jong-un et Benyamin Netanyahou…
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Le Figaro
par E.S.
40 minutes qui mêlent extraits de ses propres films, histoire intime et grande Histoire (...), calembour douteux et sentence prétentieuse. C'est pas moi ? Carax n'assume même pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
Le cinéaste fait son introspection dans un film de montage où il déploie largement son imagination sensorielle.
Ouest France
On plonge corps et âme dans ce film-monde aussi émouvant que stimulant.
Bande à part
À la commande d’un film pour une exposition qui n’a jamais eu lieu, Léos Carax a choisi de répondre par un sublime geste cinématographique : la lettre filmée. Dans ce tendre film, le cœur balance entre souvenirs cinéphiles et élégie de la filiation d’un citoyen-filmeur parcouru par l’amour.
Cahiers du Cinéma
C’est pas moi documente le vertige d’un cinéaste jouant avec des images qui perdent leur sens, décharnées. On n’en voit plus que l’envers, la fabrication sur fond de ténèbres. Où en est-il, Leos Carax ? Il pleure et rit dans un grand nulle part, là où il fait tout noir.
Franceinfo Culture
En 40 minutes d'une densité époustouflante, Carax nous offre un voyage dans son monde, qu'il déploie dans un mouvement incessant et joyeux, irriguant ce merveilleux petit film qu'on voudrait emporter avec soi en partant.
L'Obs
L’essai transgressif et déchirant de l’héritier spirituel de Godard.
La Croix
Avec ce moyen métrage de 41 minutes, Leos Carax rend hommage à l’un de ses maîtres, Jean-Luc Godard, tout en se livrant à un essai introspectif en forme de collage d’images qui balaie sa carrière et ses inspirations.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur se livre à une émouvante introspection avec cet autoportrait revisitant les temps forts de sa filmographie et de sa vie, compilant les images et les commentaires aussi poétiques que politiques, désespérés que féroces.
Les Fiches du Cinéma
Portrait de l’artiste en Capitaine Nemo génial, hanté et asocial, autant que visite de son Nautilus mental, C’est pas moi est — dans une forme godardienne — un concentré de Carax, drôle, inventif, gonflé, touchant, et par là-même constamment stimulant.
Libération
Surplombé par le fantôme de son idole, Jean-Luc Godard, le moyen métrage du cinéaste est ponctué d’images mélancoliques, de visages familiers et d’extraits de home movies émouvants.
Mad Movies
Composite, volontairement fruste et frontal dans la forme, une puissante décharge poétique d'une insolente beauté : tant d'amour dans si peu d'artifice.
Première
Le cinéaste s’émeut que les images, comme nos yeux, ne clignent plus. Son film cligne bien. Poétique et généreux. Et par le jeu d’un montage incroyablement touffu et limpide, s’opère un vertige. C’est pas moi, c’est bien lui.
Sud Ouest
Leos Carax revisite son œuvre sans solennité. Il préfère la légèreté, l’allusion. Par exemple en faisant danser la marionnette de son long métrage Annette sur Modern Love, de David Bowie, musique d’une scène-culte de Mauvais sang. Il parle avec profondeur du cinéma, du pouvoir des images. Attention, nous dit-il, le regard a besoin de se reposer !
Télérama
Le film est à la fois un requiem et une ode à la vie.
Critikat.com
Si l'exercice se révèle joueur et assez inventif, il n'est pas sans revers : très (trop) inspiré par le Godard dernière manière, Carax s’aventure parfois sur des terrains qui, pour le coup, ne sont pas vraiment les siens.
L'Humanité
Carax tente un "autoportrait de dos", "un rêve rêvé", allongé en pyjama sur un lit défait, avec ses chiens. Il allume une cigarette, les yeux entrouverts. On ne retient que ce que l’on veut des images. Regards subjectifs, éducation à l’image, dis-moi comment tu regardes, ce que tu regardes, et je te dirai qui tu es, ou tu n’es pas.
Les Inrockuptibles
Dans ce film peuplé de fantômes, la culpabilité est l’un des ressorts. Culpabilité d’un siècle. Culpabilité de certains hommes. De ces coq-à-l’âne post-godardiens entre l’histoire, les images et l’intime surgit une enfant-marionnette. Annette. Encore.
Positif
Désigné par un carton comme un work in progress, il s'agit d'une sorte de chantier de réflexion godardien, guidé par les flux de conscience se bousculant dans la mémoire d'un cinéaste qui avoue chercher à "faire des plans déjà vus".
Le Point
Que l'on soit ou non friand de cet exercice d'une indéniable radicalité artistique, on ne peut que s'agacer de séquences qui opèrent des raccourcis politiques douteux – ainsi d'un montage clairement destiné à jeter dans le même sac Vladimir Poutine, Donald Trump, Kim Jong-un et Benyamin Netanyahou…
Le Figaro
40 minutes qui mêlent extraits de ses propres films, histoire intime et grande Histoire (...), calembour douteux et sentence prétentieuse. C'est pas moi ? Carax n'assume même pas.