Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un premier film audacieux et libre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Porté par une mise en scène solaire et gracile, L’Été l’éternité chronique avec délicatesse la fin d’une adolescence qu’on voudrait croire éternelle, et pose sa réalisatrice en espoir sûr du jeune cinéma d’auteur français.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
La réalisatrice saisit les rires éphémères, la joie de vivre, puis plonge dans le vide des souffrances solitaires. Sa manière de confronter l’élan invincible de ses personnages et le deuil qui vient révéler leurs fragilités touche par sa sincérité et sa grâce.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Lucile Commeaux
Un romantisme suranné joue d’oppositions un peu raides – être un homme/être un dieu, vivant/ mort, seul/ensemble –, et emboîte un peu complaisamment le pas à la naïveté supposée de ses personnages.
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Émilie Aussel souligne sa « volonté de mêler le trivial et le sacré » au sein de son film. La gouaille des personnages, les vannes qui fusent, les conversations entre jeunes filles sur le sexe laissent peu à peu la place à des récits de vie plus intimes où affleure le drame, sans lourdeur, jamais.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
On pense à « L’Avventura » d’Antonioni, référence qui écrase un film sympathique mais au goût d’inachevé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Critikat.com
par Valentin Denis
À l’image de la fin de l’adolescence qu’il dépeint, le film tend lui-même à se faire le parcours de différents passages obligés, dessinant une intrigue psychologique relativement convenue.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Si le charme opère furtivement, ce drame adolescent, trop ostentatoire dans ses intentions, bascule vite dans le maniérisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Malgré quelques failles mais un jeune casting épatant, Emilie Aussel signe un premier film teenage où les moments contemplatifs prennent favorablement le pas sur le récit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Film de sensations plus que de mots, L’Eté éternité convainc dans ses silences, ses jeux de regard. Moins quand, au fil de la reconstruction, les mots reviennent au centre du jeu jusqu’à une catharsis dont la théâtralité abimer la justesse du portrait tout en subtilité de l’adolescence que la réalisatrice avait su développer. Un geste inabouti.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
Un premier film audacieux et libre.
Les Inrockuptibles
Porté par une mise en scène solaire et gracile, L’Été l’éternité chronique avec délicatesse la fin d’une adolescence qu’on voudrait croire éternelle, et pose sa réalisatrice en espoir sûr du jeune cinéma d’auteur français.
Télérama
La réalisatrice saisit les rires éphémères, la joie de vivre, puis plonge dans le vide des souffrances solitaires. Sa manière de confronter l’élan invincible de ses personnages et le deuil qui vient révéler leurs fragilités touche par sa sincérité et sa grâce.
Cahiers du Cinéma
Un romantisme suranné joue d’oppositions un peu raides – être un homme/être un dieu, vivant/ mort, seul/ensemble –, et emboîte un peu complaisamment le pas à la naïveté supposée de ses personnages.
Culturopoing.com
Émilie Aussel souligne sa « volonté de mêler le trivial et le sacré » au sein de son film. La gouaille des personnages, les vannes qui fusent, les conversations entre jeunes filles sur le sexe laissent peu à peu la place à des récits de vie plus intimes où affleure le drame, sans lourdeur, jamais.
L'Obs
On pense à « L’Avventura » d’Antonioni, référence qui écrase un film sympathique mais au goût d’inachevé.
Critikat.com
À l’image de la fin de l’adolescence qu’il dépeint, le film tend lui-même à se faire le parcours de différents passages obligés, dessinant une intrigue psychologique relativement convenue.
Les Fiches du Cinéma
Si le charme opère furtivement, ce drame adolescent, trop ostentatoire dans ses intentions, bascule vite dans le maniérisme.
Libération
Malgré quelques failles mais un jeune casting épatant, Emilie Aussel signe un premier film teenage où les moments contemplatifs prennent favorablement le pas sur le récit.
Première
Film de sensations plus que de mots, L’Eté éternité convainc dans ses silences, ses jeux de regard. Moins quand, au fil de la reconstruction, les mots reviennent au centre du jeu jusqu’à une catharsis dont la théâtralité abimer la justesse du portrait tout en subtilité de l’adolescence que la réalisatrice avait su développer. Un geste inabouti.